Personnage type

famille, c’est pourtant bel et bien « la grosse femme » qui est le point central et le symbole maternel par excellence. Son obésité jointe à sa grossesse la condamne à l’inactivité, assise seule dans sa chambre, et tous les autres personnages composent leur vie autour d’elle. Son absence même de prénom lui accorde une nature universelle et c’est auprès d’elle que les uns et les autres viennent s’exprimer et se confesser. Ce thème de la maternité est omniprésent dans le récit

l’action, surtout dans les tragédies plus anciennes où tous les rôles étaient joués par un seul acteur ; comme l’acteur devait fréquemment quitter la scène pour changer de personnage, le chœur avait un rôle dominant. Généralement par le chant, mais aussi parfois en langage parlé le chœur présentait le contexte de l’action, les personnages, résumait les situations pour aider au public à suivre les événements, préparait l’action en exposant la situation, comme elle va arriver, ou même il peut s’anticiper

l’admiration de l’auteur. Je lui sais gré particulièrement d’éclairer cette vérité paradoxale, pour moi d’une importance psychologique considérable : que le bonheur de l’homme n’est pas dans la liberté, mais dans l’acceptation d’un devoir. Chacun des personnages de ce livre est ardemment, totalement dévoué à ce qu’il doit faire, à cette tâche périlleuse dans le seul accomplissement de laquelle il trouvera le repos du bonheur. »

moyens. Il y parvient par le biais des caractéristiques des personnages, de leurs opinions et de leurs actions.  1) Voltaire , dans son œuvre fait passer son opinion sur l’église a travers les personnages. En effet, on peut remarquer qu’il attributs tous les défauts, tous les vices aux religieux (vols , luxure ,hypocrisie … ) , dès qu’un travers est mentionné , il est aussitôt associé a une figure du clergé . Comme avec le personnage de l’Abbé périgourdin qui n’est autre qu’un imposteur qui vole

1 : « L’armée des ombres ». De Joseph Kessel. Editio ns Classiques et compagnie-Collège, n°53. Hatier. 3,90 euros. Destiné aux collégiens, le livret propose des extra its du livre . Il comporte aussi : - une introduction présentant les personnages et le contexte historique. - Un dossier proposant des activités et des pistes de travail pages 98 à 114. Partie très utile, tant pour le professeur de Lettres que d’histoire. - Bémol : ce sont des extraits. D’autres parties, e xtrêmement

pâtissière ». On peut noter au passage qu’elle manque cruellement de sens moral mais que c’est aussi sans doute ce qui lui permet de traverser facilement chaque épreuve. Cacambo: Le personnage de Cacambo devient à la fin du conte l’intendant de Candide. Malgré sa condition de sauvage, Cacambo fait partie des premiers personnages à exprimer des idées rationnelles. Il apporte une aide précieuse à Candide, puisant son savoir de son expérience, il est une figure du savoir concret, contrairement à Pangloss

homme femme . C’est particulièrement vrai dans l’extrait que nous allons étudier où sont mis en scène Monsieur et Madame Sorbin, deux des personnages principaux , en pleine confrontation. Alors, en quoi peut on dire que Madame Sorbin l’emporte sur son mari? Afin de répondre à cette question nous montrerons dans un premier temps dans quelles mesures les personnages s’opposent puis nous étudierons l’efficacité de l’argumentation de ces derniers. Dans un premier temps nous verrons que cet extrait est

la mort de Narcisse et la métamorphose de Echo. Il s'agit d'un tableau classique, inspiré de la mythologie grecque. L'utilisation des couleurs stables révèle un sentiment de paix et de sérénité sans oublier que les personnages (Narcisse, Echo et Cupidon) sont en pose. Ces personnages sont placés au centre du tableau,entourés des éléments de la nature. Au premier plan, Narcisse est allongé sur la rive du fleuve ou il a vu son image. L'utilisation de la couleur grisâtre sur la peau de Narcisse reflète

(ligne 25) qui personnifient la fosse. Celle-ci est donc présentée comme une bête chimérique « qu’on ne voyait point » (ligne 26), tapie en silence, prête à attaquer sournoisement, ce qui présage à nouveau la menace de la mine. Finalement, même les personnages sont présentés sous cette même lumière surnaturelle. En effet, les travailleurs sont décrits comme des spectres dépourvus de vie et d’individualité par la périphrase « ombres vivantes ». Toutes ces « apparitions fantastiques » (lignes 24-25) créent

coup d'Etat, comptant sur l'Empire qu'ils prévoient pour contenter leurs appétits. Cet épisode a surtout quatre grandes figures qui ne reparaîtront plus dans les autres récits : l'aïeule, tante Dide, la souche dont sont issus les principaux personnages de la série ; ses deux fils, l'un légitime, Pierre Rougon, l'autre illégitime, Antoine Machard, et un de ses petits-fils, Silvère. L'aïeule est la haute personnification d'un tempérament, d'un état physiologique particulier se propageant et se