Personnage

'mais', par lesquelles différentes possibilités sont mises en balance. Souvent, la langue du personnage fictif ne se distingue pas de celle du narrateur, ce qui contribue à l'impression de rêve des récits. Cette impression naît de l'interpénétration de faits réels et irréels, ainsi que de faits et de jugements, d'interprétations, de réflexions sur les faits. Le lecteur est comme enfermé dans le cerveau du personnage principal, mais ressent en même temps que les choses sont « autres » que l'expérience de

44) | Ironie par Sarcasme | Conclure le débat en montrant  l’irréalité de l’optimisme | ------------------------------------------------- TRANSITION ------------------------------------------------- PARTIE II : LES PARTICULARITÉS DES PERSONNAGES a) Memnon présenté comme un héros « Rends-moi donc mon œil, ma santé, mon bien, ma sagesse » (l. 11-12) | -utilisation du présent de l’impératif-Effet de reprise | Mettre en évidence l'aspiration métaphysique de Memnon de dépasser la condition

Parme de Stendhal. L’œuvre est publiée en deux volumes en mars 1839. Elle ne recevra que peu d'échos et d'éloges dans la presse, si ce n’est le soutien de Balzac qui a écrit un article élogieux. C’est une œuvre réaliste qui raconte l’histoire d’un personnage imaginaire Fabrice Del Dongo. Stendhal rédige une histoire qui s’étend de 1796 au 19eme siècle avec notamment la bataille de Waterloo (18 juin 1815). Le Livre I raconte l’entrée de Bonaparte dans Milan en tant que libérateur de l’occupation autrichienne

(le marquis de Renoncour) y est un homme d'un certain âge qui, évoquant l'histoire de sa vie, laisse parfois la parole aux personnages qu'il rencontre, ceux-ci devenant dès lors les narrateurs de leurs aventures. Ainsi, le roman combine deux structures. Il fait tout d’abord apparaître un récit cadre à la première personne. Le narrateur est le marquis de Renoncour, personnage fictif, ainsi que le rappelle l’avis liminaire de l’auteur, Antoine-François Prévost, plus connu sous son nom ecclésiastique

de mettre en évidence la façon particulière dont chaque aire culturelle interprète l'expérience humaine et construit des œuvres pour l'exprimer. Chaque époque emprunte et réactualise certains mythes ou en crée de nouveaux. Le héros peut être un personnage fictif ou réel qui a marqué la tradition, l'histoire, la vie quotidienne. La culture populaire et la contre-culture ne cessent de produire leurs propres héros (folklore, bandes dessinées, etc.). Problématiques : En quoi Barack Obama est-il une

injustifiés. Chez Prévert, plus question de monarchie, de noblesse et de privilèges innés : c’est la société démocratique et républicaine contemporaine qui produit un égoïsme de masse. Dans les textes de Hugo et de Prévert, on observe que les personnages victimes de l'injustice ont tous deux été poussés au crime par leur situation: vol chez Hugo ("le peuple disait autour de lui qu'il avait volé ce pain") et même meurtre chez Prévert (" Un homme très estimé dans son quartier a été égorgé en plein

acteurs portent leurs vrais noms sur scène. C'est l'homme qui parle en premier et la femme l'écoute attentivement puis après le passage d'une choral d'enfant c'est a la femme de repondre a l'homme sans que ce dernier ne puisse dire un mots. Si leurs personnages de fiction portent leurs prénoms, c'est que ce spectacle a été écrit pour eux. Pour leur corps, pour leur façon de dire, pour ce qu'ils sont dans l'imagination de l'auteur et metteur en scène Pascal Rambert. C'est simple, même si l'intime exposé

dont il se détachera non sans effort lui laisse une impression forte et durable. En effet, nous le trouverons plongé dans une lecture compulsive et intensive lors de laquelle il confond fiction et réalité. Après avoir étudié les caractéristiques du personnage principal, ses relations et sa punition, nous nous intéresserons au type de lecture pratiquée et à ses effets. I) L’Enfant 1) Sa relation aux autres : entre humour et ironie Ses parents ne lui ont jamais donné de tendresse. Sentiment de

dans les meurtres qu'il a commis à cet endroit. Malheureusement, l'opération s'est mal terminée : Alex a tué le policier. Retournant chez ses parents, Étienne leur parle d'Alex Salvail. Ils expliquent à leur fils qu'Alex Salvail est en fait un personnage imaginaire qu'Étienne a inventé durant sa période de solitude. Alex n'est nul autre que son alter ego maléfique. Malgré la vérité fournie par ses parents, Étienne refuse de les croire et prend la fuite pour ensuite découvrir avec horreur les corps

qui a changée. Maintenant les mentalités veulent qu’il y ait des surhommes qui réussissent tout, des héros auxquels il arrive beaucoup de déboires et de contraintes et que finalement ils réussissent. Les lecteurs aiment pouvoir s’identifier à ces personnages de fiction car, c’est bien connu, nous nous considérons tous comme les plus forts et rares sont ceux qui admettent avoir fait une erreur. Nous, lycéens ne sommes pas habitués à réfléchir tout est écrit, expliqué, mais