Personnages de Desperate Housewives

Étude du générique des « Desperate Housewives » Démarche : - J'ai choisi de traiter ce sujet dans le cadre de l'Histoire des Arts car d'une part, il faisait référence à une série américaine très populaire et d'autre part, le nombre d'oeuvres picturales utilisées m'avait interpellée. - En anticipation, j'ai fait écouter la bande son du générique pour que les élèves identifient le support. Ensuite, je leur ai montré le générique et ils ont travaillé sur l'introduction (type de document, l'auteur

atteindre. En regardant ces séries idéalisées, les adolescents prennent comme modèle les histoires mises en scène en s’en inspirant et pour les rapporter à leur propre vie. (parler des histoires hors du communs, du suspens, du cadre de vie = desperate housewives) A la période juvénile, les jeunes cherchent leur identité psychologique mais également physique. C’est pourquoi le corps constitue un élément primordial pour les séries américaines. C’est par une démonstration du corps à outrance que les

|[pic] | | | | | | | |6. Grey's Anatomy |7. Desperate Housewives |8. NCIS : enquêtes spéciales |9. Alice Nevers, le juge est |10. Scènes de ménages | | | | |une femme |

de nombreuses années, le cinéma et la télévision véhiculent des images, un certain style de vie américain (appelé « american way of life »). Des séries comme Friends, Desperate housewives, Ally Mcbeal, Charmed ou bien encore Lost drainent un public plus ou moins jeune. Chacun se reconnaît au moins une fois dans l’un des personnages de ces séries ou voudrait lui ressembler. C’est aussi une manière de montrer, voire de caricaturer, la société américaine. Les blockbusters mettent d’importants

vous avez souri. Poliment, parce que c’est le patron. Ça aurait été Joséphine l’hôtesse d’accueil qui vous plombe le moral tous les matins à vous raconter ses malheurs et sa vie de quadragénaire décalée d’un cran , adepte de la série télévisée Desperate Housewives, amatrice de pêche mais qui n’a jamais tenu une canne à pêche de sa vie, plaquée par Jean, un autre quadragénaire qui lui, à continuer sa vie dans le plus grand des calmes, comme le ferait un divorcé, tout en quelques fois, penser à Joséphine

Nous avons choisi de vous présenter aujourd’hui un exposé sur les différents stéréotypes présents dans les séries. plan: intro types de séries 1. drama 2. sitcoms 3. dramedy 4. soap opéra stéréotypes exemple de glee principaux personnages en général phénomène tv show time Mais tout d’abord il se pose une question importante : Est-ce que les Séries constituent réellement une forme d’art. Qu’en pensez-vous ? C’est un débat en cours, mais les séries télévisées ont investi la

idéal le bonheur. Selon lui, cela a peu de valeur. Le bonheur se résumerait donc à la satisfaction effrénée de nos propres désirs : notamment avec la société de consommation dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Ainsi, dans la série Desperate Housewives, le personnage de Gabrielle Solis incarne d’ailleurs une de ces personnes qui croient en un idéal du bonheur tourné vers la recherche du bien matériel. Dans la saison 4 de l’épisode 12, alors que son mari est aveugle, elle laisse celui-ci l’attendre

Facebook : La culture ne s'hérite pas elle se conquiert Résumé Scan de Lili Relecture et mise en page par Issa Il n'est jamais trop tard pour dire NON aux toasts brûlés ! Teri Hatcher, la Susan de la série culte Desperate Housewives, nous livre ses secrets. Finis les sacrifices, les échecs et les prises de tête. Être femme, sexy, maman, divorcée, quadra, bosseuse, célibataire, belle (ou moche), n'empêche pas de vivre sa vie, ses projets et de (re)trouver ENFIN le bonheur ! Humour, glamour, audace

catégories socio professionnelles. * Décor : Ambiance sex and the city ou desperate ouHousewiveshhousewives * Musique: “WCR” du groupe 7th Floor Analyse technique de la publicité * Quand a t’elle été lancée : Lancé en 2007 en France puis reprise en 2008 lors de la campagne Européenne * Directrice de publication : Pam THOMAS : Réalisatrice de certains épisodes de Sex and the city et Desperate Housewives. * Budget : 50% de son chiffre d’affaires étaient réinvesti en publicité

Mickey, qui fêtera ses 80 printemps en 2008, a su conserver son âme d'enfant tout en surfant allègrement sur le succès. Si « tout a commencé par une souris », selon les propos de Walt Disney luimême, le groupe compte désormais pas moins de 150 personnages et fait partie de ces marques qui ont su apposer leur empreinte sur plusieurs générations. Faut-il y voir la magie propre à Disney ? Philippe Laco, président de The Walt Disney Company France, Benelux, Italie, Ibérie et Afrique, parle plutôt d'une