Personnages Debout Les Morts

FANTASTIQUE DANS LES VOIX DANS LE VENT Les Voix dans le vent, œuvre de Bernard Dadié publiée aux éditions CLE en 1970, est l’histoire d’un tyran qui, pour avoir tué son frère et sa mère est hanté par leurs fantômes. La présence menaçante de Vérité, personnage mystérieux, met en danger le pouvoir que Nahoubou conserve en vain. Ses gardes, eux, pensent qu’on ne peut lutter contre des voix et des fantômes invisibles. Bernard Dadié, par analepse, montre l’enfance tumultueuse de ce roi despote qui se signale

auxquelles il assiste. Dans ce recueil de J.M.G Le Clézio on peut aussi trouver du conditionnel pour évoquer les rêves d’une vie meilleure (O voleurs… p232) , (la grande vie… p161). On trouve aussi l’imparfait pour évoquer des tranches de vie des personnages avant le temps d’énonciation (le jeu d’Anne, la grande vie p158, le passeur, David) On rencontre encore l’imparfait et le-plus-que-parfait pour évoquer un temps qui n’existe plus (villa Aurore p111, le jeu d’Anne, David). Les souvenirs ainsi

que vous connaissez mais aussi sur les représentations auxquelles vous avez assisté, à votre expérience de spectateur. www.annabac.com © H A T I E R 2009 Document A La Critique de l’École des femmes met en scène un débat entre des personnages adversaires et partisans de la pièce L’École des femmes, « quatre jours après » la première représentation. Quand Dorante entre en scène, la discussion est en cours. SCÈNE V CLIMÈNE, ÉLISE, URANIE. DORANTE. Ne bougez, de grâce, et n’interrompez

moins évasif. Ici, le nombre de bras se réfère au nombre de morts, plus de milles, commises par une seule personne. On peut y trouver deux références : une référence exagérée à l'un des dieux Hindoux, Vishnou, qui possède de nombreux bras. Ce serait une référence ironique puisque Vishnou est un dieu protecteur, le contraire des morts provoquées par le géant. La deuxième référence pourrait évoquer Gargantua de Rabelais. Soit le personnage de frère Jean qui a tué des milliers de personne à lui

plusieurs personnages, Candide, Pangloss, et le matelot qui vient de tuer Jacques. Chacun est nettement individualisé : Candide cherche désespérément à comprendre comment ce monde peut être le meilleur ; Pangloss cherche dans tout événement le résultat d'une cause qu'il s'efforce de trouver ; le matelot, corrompu, profite de la situation. Ainsi, au désordre extérieur correspond un désordre moral, aggravé par l'inefficacité totale de la parole. Le conte permet en effet de présenter les personnages dans

travers les yeux du personnage. En effet, les preuves qui nous amènent à penser qu’il est dans un univers dangereux, n’en seraient pas vraiment si nous ne voyions pas tout cela par l’intermédiaire de la vision de l’homme. Nous analyserons comment l’auteur parvient à faire ressentir l’effet d’angoisse à l’aide des descriptions de la nature et de la vision de son personnage principal. En premier lieu, Maupassant fait ressentir aux lecteurs de la nouvelle Sur l’eau, que le personnage principal est envahi

à imaginer les vies. Pour l’heure, les propos qui lui parvenaient évoquaient la terrible offensive allemande dans la Somme, la difficulté qu’avaient les troupes française à tenir malgré le renfort des alliés anglais et américains, les blessés, les morts, les fils, les pères, les maris, les frères, dont on était sans nouvelles.La douleur se lisait sur les visages, sous le masque de la pudeur, de la dignité, de la compassion, mais la douleur était là, dans cette file de femmes. La bataille faisait rage

Examensarbete i franska Le Réalisme dans le roman policier Une Analyse du réalisme des décors, des personnages et de l’enquête dans deux romans policiers Table des matières Introduction........................................................................................ 3 Arrière-plan et cadre théorique............................................... 3 Méthode, but et questions......................................................... 5 1. Le réalisme des décors..............

mondiale fut un événement marquant qui s’inscrit dans l’histoire ce qui donna suite à de nombreux ouvrages sur ce sujet. Cette guerre est décrite de le roman de Barbusse « Le Feu ». Ce livre est un témoignage qui est raconté à travers plusieurs personnages imaginaires. Lorsqu’Henri Barbusse écrit ce roman sur la première guerre, il avantage l’horreur anatomique plutôt que l’enfer morale des soldats pour séduire le public. Jean Norton Cru, avec sa citation, remet en question le journal d’une escouade

absent des champs de bataille ». Il exprime cette idée à travers le vide de l’œuvre. Cette impression se retrouve également dans les soldats morts qu’il représente. D’autres trouvent dans la représentation de la compassion du Christ, de la Vierge ou des saints une échappatoire à leur angoisse. Rouault entreprend par exemple la série des Miserere, dont debout les morts et Schmidt -Rottluff demande à l’aide d’un christ gravé dont le front est marqué d’un 1918 « Christ ne vous est-il pas apparu ? ». Les