Personnages Perdican Camille

persuasion : Perdican va ici essayer de persuader Camille de la mauvaise foi des nonnes, pour cela il utilise des questions rhétoriques dénonçant le discours des nonnes avec l’anaphore du verbe savoir « savent-elles/sais-tu » qui prend à partie Camille. Les interpellations répétées à Camille « malheureuse fille » et « Eh bien Camille ». Dans cette tirade, Perdican émet un jugement sur ce que sont les nonnes et sur leur comportement vis-à-vis de Camille. Perdican rappel a Camille sont enfance

scène dans laquelle un ou des personnages (se) « jouent la comédie » est un ressort dramatique efficace. Molière dans Le Malade imaginaire, Beaumarchais dans Le Barbier de Séville, Hugo dans Ruy Blas ont eu recours à ce procédé, que Musset reprend dans On ne badine pas avec l'amour. Perdican aime Camille, mais celle-ci, sous l'influence des religieuses qui l'ont élevée, le repousse. Pour se venger, il badine avec une jeune paysanne, Rosette, alors qu'il sait que Camille, cachée, l'entend. La tension

la deuxième de l’acte 1 dans laquelle Camille et Perdican se retrouve après de longue années de séparation. Perdican pris conscience que Camille n’est plus une petite fille mais une femme. Le Baron voudrait que Perdican et Camille se marient. Mais Camille n’est pas de cet avis-là, et utilise des phrases brèves, qui montrent la froideur. Annonce du plan + Problématique Dans cette scène, on remarque que Musset se moque de l'aristocratie avec des personnages grotesques. En effet, prenons exemple

La répartition de la parole : On remarque que c’est Perdican qui monopolise la parole alors que plus haut dans la scène, c’était Camille. Ici, son intervention se résume à une simple question. Perdican lui dicte ici ce qu’elle devra dire aux religieuses, Camille se retrouve à nouveau à répéter la leçon. Ce déséquilibre donne une force considérable à l’argumentation de Perdican. Sur le plan structurel, deux tirades ont des thèmes et des registres communs : - Première tirade : dénonciation du

extrait (« Y croyez-vous, vous qui parlez » jusqu’à la fin de la scène) INTRO. 4ème rencontre Camille/Perdican. Camille a envoyé un billet à son cousin, lui demandant de la retrouver près d’une fontaine dans un bois. Scène fait suite et écho à 1, II, où Camille avait fraîchement éconduit Perdican. Elle semble ici vouloir s’expliquer sur les raisons de la distance qu’elle a prise avec Perdican au début de la pièce. Mais il s’agit plutôt d’un test : jusqu’où va l’amour de ce dernier à son égard 

III, sc 7 et 8. (p. 196) Problématique: L'amour entre Perdican et Camille pourra-t-il s'épanouir ou l'aveu sera-t-il lourd de conséquence ? En quoi cet aveu suggère t-il un caractère dramatique ? Les obstacles à l'aveu. L'extrait de la scène d'aveu dans la pièce. Cette scène d'aveu intervient en toute fin de pièce et en constitue donc le dénouement. Cette œuvre met en valeur le long cheminement de 2 personnages (Camille et Perdican) qui ne s'avouent leurs sentiments qu'au dernier moment

En effet, Musset insère ici des personnages typiques de la comédie comme un ivrogne, Maître Blazius (gouvernant de Perdican), Le Baron (père de Perdican) n'entend rien à l'amour et ne comprend qu'à demi-mot les répliques des autres personnages, créant ainsi des raccourcis tout à fait amusants, Maître Bridaine (un curé), et Dame Pluche (gouvernante de Camille) qui est une véritable caricature d’une vieille femme fervente de sa religion. Mais, on

Originalité : présence d’un « personnage », le Chœur, qui représente les villageois, mais aussi sert à commenter, annoncer les événements. Utilisation d’une convention du théâtre antique. Contexte : Musset, poète et dramaturge romantique du XIXe siècle. Sens : Scène d’exposition originale et fantaisiste, construite à la fois sur des effets de symétrie et d’opposition. Scène d’exposition dans laquelle le Chœur annonce et décrit 2 personnages antithétiques. Chacun de ces personnages décrit à son tour,

les tirades de Perdican, de “Il y a deux cents femmes dans ton monastère (…) à la fin. Introduction: On ne badine pas avec l’amour a été écrit par Alfred de Musset, grand poète et dramaturge du 19ème, en 1834. La pièce On ne badine pas avec l’amour n’était pas destinée à être jouée au départ. Sa première représentation a été faite après la mort de Musset en 1861. Elle raconte sur un ton tragi-comique les amours compliqués de Perdican, jeune homme sorti des études, et de Camille, jeune fille sortie

dans el flirt. Ce n’est pas dans les propos de Camille et Perdican qu’apparait le badinage mais dans les stratagèmes qu’ils inventent pour faire reconnaitre à l’autre son amour. b. Personnages de comédie : liste des personnages avant la pièce = Personnage de comédie – des gens du peuple (les paysans, Rosette) – le bas clergé (le curé Bridaine, Maître Blazius) – une gouvernante (Pluche) – des membres de la petite noblesse (le baron, Perdican, Camille) c. Un proverbe : Jeu de salon au XVII°, sorte