Personnages Perdican Camille

(1834), III, 3 – de « CAMILLE, cachée à part. Que veut dire cela ? […] » jusqu’à la fin de la scène. Notes introductives : A. de Musset (1810-1857) = poète et dramaturge romantique. Quelques œuvres : Les Caprices de Marianne (1833), Lorenzaccio (1834), Il ne faut jurer de rien (1836)… Un unique roman : La Confession d’un enfant du siècle (1836), en lien avec sa liaison avec G. Sand (1833-35). La pièce = genre du proverbe  illustration de l’adage du titre. Perdican et Camille sont deux jeunes gens

2006 b) narrateur : Il n'y a pas de narrateur car c'est une pièce de théâtre . c) Personnages principaux : LE BARON PERDICAN, son fils MAITRE BLAZIUS, gouverneur de Perdican MAITRE BRIDAINE, curé CAMILLE, nièce du baron DAME PLUCHE, sa gouvernante

un des grands écrivains romantiques français. Une scène dans laquelle un ou des personnages (se) « jouent la comédie » est un ressort dramatique efficace. Perdican aime Camille, mais celle-ci, sous l'influence des religieuses qui l'ont élevée, le repousse. Pour se venger, il badine avec une jeune paysanne, Rosette, alors qu'il sait que Camille, cachée, l'entend. La tension dramatique est alors à son comble : Perdican se joue de Rosette et n'épargne pas ses efforts pour la persuader de l'aimer, mais

narrateur dans un roman, c’est-à-dire qu’il sert à présenter les personnages quand ceux-ci entre en scène, il use de redondances pour magnifier les personnages mais il sert aussi à donner les répliques aux autres personnages. Dans sa troisième répliques (ligne 27): « il n’était pas besoin, du moment qu’il arrive ; de nous en dire si long » le chœur dit qu’il n’a pas besoin de la description de Maitre Blazius car il connaît déjà Perdican, mais le spectateur lui ne le connaît pas et a donc besoin de

reste flou: d’un côté les personnages semblent contemporains du règne de Louis-Philippe (roi de France de 1830 à 1848), de l’autre ils paraissent hors du temps puisqu’il est question de rapports féodaux rappelant un Ancien Régime aboli depuis près d’un demi-siècle. L’action. Précédés par leurs éducateurs, Camille et Perdican se retrouvent après dix ans de séparation dans le château de leur enfance, où le Baron a prévu qu’ils se marieraient; mais la pieuse Camille faits mine de refuser ce mariage

XIXème siècle que des auteurs comme Victor Hugo ou Alfred deMusset vont révolutionner le théâtre en écrivant des pièces de théâtre qui ne respecte pas les règles du classicisme fixé par Boileau. A ce moment là les sentiments de l’auteur et des personnages deviennent plus présent dans les pièces. On se demandera donc si le théâtre est le moyen le plus adapté à l'expression des sentiments. Nous répondrons a cette question en montrant d'abord que le théâtre est un moyen où l'on peut facilement exprimer

présence d’un « personnage », le Chœur, qui représente les villageois, mais aussi sert à commenter, annoncer les événements. Utilisation d’une convention du théâtre antique. Contexte : Musset, poète et dramaturge romantique du XIXe siècle. Sens : Scène d’exposition originale et fantaisiste, construite à la fois sur des effets de symétrie et d’opposition. Scène d’exposition dans laquelle le Chœur annonce et décrit 2 personnages antithétiques. Chacun de ces personnages décrit à

Musset La pièce se déroule au château du Baron et a pour principaux personnages Camille, sa nièce, une jeune fille de 18 ans qui sort du couvent, et son fils de 21 ans, Perdican, récemment titulaire d'un doctorat. Les deux jeunes gens se retrouvent après dix ans de séparation dans ce château si cher à leurs cœurs, où ils ont grandi, joué, et où ils se sont aimés. Le Baron projette de marier les deux cousins.Perdican et Camille s'aiment depuis toujours, mais cette dernière, endoctrinée par les sœurs

e drame de l’orgueil Camille et Perdican, en effet, étaient promis l'un à l'autre depuis longtemps et la rencontre trop habilement combinée par le baron devait préluder à un mariage heureux. Mais chacun d'eux repousse à son tour l'heureux projet en se laissant aller à un mouvement de vanité. Camille ouvre le jeu : à la joie admirative de Perdican, elle répond avec froideur, de façon hautaine, elle renie "ce pauvre temps passé, si bon, si doux" qui fait encore rêver son cousin (I, 3). Cet orgueil

Musset I/ Résumé : Le Baron a fait revenir en son château Perdican et Camillle car il compte les marier. Perdican, fils du Baron, revient de Paris où il a fait ses études et Camille, nièce du Baron, sort du couvent. Le premier contact est froid, Camille se montre distante au désespoir du Baron (acte I). Percican fait donc la cour à Rosette, jeune paysanne, sœur de lait de Camille.Il cherche cependant à comprendre l'attitude de Camille qui lui confie qu'elle veut devenir religieuse. En effet, elle