Personnages Portraits Négatifs

rencontre donne lieu à un portrait très évocateur du personnage qui éveille d'emblée la curiosité du lecteur. En effet, en présentant cet être mystérieux, la description oscille entre réalisme et fantastique tout en présentant ce peintre comme un véritable sujet pictural. Comment ce passage offre-t-il un portrait saisissant de Frenhofer ? Nous verrons tout d'abord comment le texte offre une description assez réaliste d'un riche vieillard. Nous étudierons ensuite comment ce portrait s'apparente à un véritable

quoi la description des époux est-elle obscure ? Dans un premier temps nous étudierons le portrait dévalorisant et dans une seconde partie les pistes que peut nous donner cette description pour la suite du roman. Dans ce passage, Hugo se focalise sur la description des Thénardier qui n’est pas flatteuse, elle est même dévalorisante. Il peint tout d’abord le portrait moral. Ce sont deux personnages appartenant à une classe inférieure, l’auteur lui donne même le nom de « classe bâtarde »

partie : prendre du recul, 2ème niveau : technique de l'auteur JLF pour éviter la censure : recours aux animaux I / raconter brièvement l'histoire, place originale de la morale didactique : au début et non à la fin, fable en vers variables selon le personnage qui s'exprime, comparaison entre prise de parole du loup et celle de l'agneau, II/ Fable dénonce le pouvoir absolu des plus forts. On peut tout à fait concevoir que le loup représente en fait le monarque Louis XIV et son pouvoir absolu. Vers 10

en est donc très clairement didactique et les caractères souvent des caricatures. La Bruyère y analyse les mœurs de son temps et en particulier les travers de la société de cour. Chez lui, la morale est toujours implicite et se diversifie de portrait en portrait. D’ailleurs, il le signale sans ambiguïté, dès le sous-titre de son ouvrage : il a prétendu décrire « les mœurs de ce siècle », donc d’un siècle qui n’est plus le nôtre. Dans la préface, il prétend également avoir pour visée l’instruction,

Dans ce début de roman, Pierre Lemaître brosse avant toute chose le portrait à charge d’un personnage antipathique. Le lieutenant Pradelle est d’abord un bel homme et la formule brève, très synthétique « il était beau », qui inaugure sa description physique, témoigne d’une beauté objective, indéniable, même pour le narrateur qui pourtant ne l’aime pas. L’énumération de ses atouts physiques confirme qu’il s’agit d’un homme à la beauté classique, parfaitement

Auteur engagé dans son époque : article dans l’Aurore le fameux J’accuse qui prenait la défense du capitaine Dreyfus. Reste comme le fondateur du naturalisme. Oeuvre qui témoigne des conditions sociales de toutes les couches de la société. Dresse un portrait assez large de son temps. • Le Naturalisme : création de ce mouvement dans les années 1870 et qui se veut à la fois en opposition au réalisme et en même temps une évolution de ce mouvement littéraire. But : représentation exacte de la nature et

définir la préciosité et les salons de ce siècle. Ensuite nous montrerons ces différents points de vue cités présents dans la pièce. Et pour terminer, nous avons trouvé intéressant d’analyser plus précisément la scène 4 de l’acte II – scène des portraits – qui illustre parfaitement l’hypocrisie et la fausseté de cette société. Histoire et définitions des salons et de la préciosité : Molière est un auteur qui s’est surtout attaché à décrire les milieux bourgeois de son époque, milieux

difficulté d’être une femme à son époque, le sexisme étant un des problèmes majeurs de ce siècle. En 1855, elle publie Histoire de ma vie, une œuvre romanesque sous forme autobiographique. Ce passage qui se situe au début de l’œuvre nous dresse un portrait de l’auteur durant sa jeunesse. Elle y exprime sa difficulté à cultiver la beauté et son refus de se laissé enfermer dans une féminité de convention. Nous verrons comment Georges Sand à travers ce texte se décrit et s’affirme comme une femme libre

roman publié en Mai 1678 décrit avec beaucoup de minutie les étapes du sentiment amoureux chez les personnages, ses effets sur leur comportement ainsi que la lutte de la princesse pour ne pas trahir les enseignements maternels. Il montre aussi l'effet ravageur de la passion dans une âme qui se veut maîtresse d'elle-même. Le passage que nous allons étudié se situe dans la première partie du livre. Le portrait arrive juste après le tableau général de la cour d’Henri II. Il marque l’entrée en scène de celle

péjorative des courtisans. Ils font donc une critique du courtisan, mais chacun la font différement. Ce sont tous des auteurs humanistes. Dans le texte A, Erasme fait un portrait positif du courtisan qui n'existe pas, il décrit donc le courtisan idéal selon lui, il ne parle pas de la réalité. Lui seul fait un portrait positif, les trois autres auteurs eux partagent une vision négative du courtisan. Castiglione souhaite que le courtisan est des valeurs humanistes, on le comprend par le fait