Personnages Portraits Négatifs

Corrigé dissertation Pour apprécier un roman, un lecteur a –t-il besoin de s’identifier au personnage principal et de partager ses sentiments ? I Comment et pourquoi l’identification du lecteur au personnage se produit. A- Le cas des romans rédigés à la première personne Romans rédigés à la première personne permettent au lecteur de s’identifier au héros-narrateur. Celui-ci, en racontant son histoire, livre ses sentiments, et semble s’adresser au lecteur qu’il prend comme confident. On s’identifie

d’être mort.Annonce du Plan : L.1 à L.10 : Annonce de la mort d’ArganL.11 à L.10 : Le vrai visage de BélineL .24 à 29 : La vérité dévoiléeProjet de Lecture : Comment cette scène de comédie dans la comédie permet-elle de révéler la vérité cachée des personnages 1er mouvement : Annonce de la mort d’Argan 1) Affolement feint de Toinette-Toinette à la fois metteur en scène + comédienne -> elle fait démarrer sa scène avec son cri « en s’écriant »-TOIN accueille Béline par 4x exclamations qui signalent

brouiller les repères traditionnels auxquels nous sommes habitués. - personnages : mise en avant d'un narrateur / personnage dès la 2ème phrase. L'expression « Moi, je » appuie sur sa présence, son individualité très marquée. Narration interne qui permet un phénomène d'identification avec le narrateur / héros + identité complète d'un personnage qui semble alors réel (Arthur Ganate) car énumération définitionnelle pour un portrait rapide « un étudiant, un carabin, [...], un camarade »). - « étudiant »

La description n'est pas qu'une information sur le contexte chez Balzac, il s'inspire des thèses de Geoffrey Saint-Hilaire pour qui le milieu est en interaction avec les organismes qui y vivent. La description de la pension préfigure donc les personnages du roman, c'est un microcosme ( petit monde ) comprenant toutes les classes, révélant les passions et les intérêts humains. La description précède le lever de rideau. L'intérieur de la pension Vauquer p24 l.124 à p26 à l.179 questions:

d’enchantement. - Caractère presque divin de la femme : le terme d’ « apparition » suggère une forme d’illumination mystique, donnant à la jeune femme un caractère surnaturel. Le personnage semble d’ailleurs baigné de lumière. Sa personne se découpe « sur le fond de l’air bleu ». On retrouve ce champ lexical dans le portrait qui est faite d’elle : « cette finesse des doigts que la lumière traversait ». Mme Arnoux diffuse également une lumière éblouissante, qui provoque chez Frédéric un véritable aveuglement

son titre, nous présenterons Esméralda après que le chapitre 5 du livre I est brossé le portrait de Quasimodo. Nous pourrons nous demander de quelle manière Esméralda est mise en valeur dans sa première apparition. Dans un 1er temps nous verrons comment est restitué le portrait d'un être quasi magique et dans un 2nd temps nous observerons les spectateurs qu'elle subjugue. On peut remarquer que le personnage n'est pas nommé directement, mais il fait l'objet de nombreuses périphrases (L.2,3,4,6

passe lors de l'entrée à la cour. Le moyen utilisé pour présenter la princesse de Chartres est le regard des autres personnes de la cour. La vertu : comportement d'une femme se comportant avec dignité contre ses passions. L'art du portrait. 1. L'effet de surprise. → gens de la cours surpris par cette arrivée. Indéfini → prolonge le mystère sur cette personne. → arrivée qui fait penser à celle de Perault, Cendrillon. On est dans un conte de fée. → ce sentiment de surprise

temple de Vesta, -- et tout l'appartement sentait un peu le moisi, car le plancher était plus bas que le jardin.       Au premier étage, il y avait d'abord la chambre de "Madame", très grande, tendue d'un papier à fleurs pâles, et contenant le portrait de "Monsieur" en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l'on voyait deux couchettes d'enfants, sans matelas. Puis venait le salon, toujours fermé, et rempli de meubles recouverts d'un drap. Ensuite un corridor menait

étudier les interventions du narrateur pour montrer que les objets deviennent des personnages. "La pendule sonna", "les bougies s’allumèrent", "le soufflet [...] se prit à souffler le feu", "les pincettes fourgonnaient", "une cafetière se jeta en bas d’une table, [...] et se dirigea […] vers le foyer", "les fauteuils commencèrent à s’ébranler, et [...] vinrent se ranger autour de la cheminée", "un des portraits [...] sortit la tête de son cadre et [...] sauta par terre [...] tira de la poche de

libération en 1945, il publiera son plus célèbre roman, Aurélien. Situation du passage dans l’œuvre Aurélien raconte l'amour impossible entre le personnage éponyme, jeune bourgeois désœuvré, et Bérénice, jeune femme en quête absolu, au cours des années 1920. Nous étudierons ici l'incipit du roman. ProblématiqueEn quoi Aragon, dans cet incipit déroutant fait-il le portrait d'un anti-héros en prenant le contre-pied des récits traditionnels ?Mouvements- Un incipit qui rompt avec la tradition, le regard d’Aurélien