Personnages Ridicules Dans La Comedie

Préfaces de Victor Hugo : définir le drame romantique Le drame romantique est un genre théatral, inventé par les auteurs romantiques pour s'opposer au théâtre classique dans lequel tragédie et comédie sont deux genres différents qui ne peuvent pas se mélanger. Les auteurs romantiques considèrent qu'on a le droit de mélanger les genres et les registres, et proposent ainsi un nouveau type de pièce, appelé « drame romantique » : drame, car ce mot vient du grec Drama, qui signifie action : un «

probable que cette période eût constaté les débuts de Molière comme auteur comique, avec La Jalousie du barbouillé et Le Médecin volant. 1652-1657 En 1652, la troupe attira le patronage du prince de Conti. Ces comédiens jouèrent deux nouvelles comédies de la plume de Molière : L’Étourdi ou Le Contre-Temps en 1655 et, en 1656, Le Dépit amoureux. Ces deux œuvres montrent une forte influence de la Commedia Dell’Arte italienne. Malgré la réussite de ces pièces, la troupe perdit son protecteur : le

L'histoire littéraire a coutume de présenter la tragédie et la comédie comme des genres bien tranchés : la tragédie étant noble et sérieuse et la comédie étant futile et amusante. Dans la scène VI de la Critique de l'Ecole des Femmes de Molière, les personnages s'opposent par leurs goûts qui les portent soit vers la comédie, soit vers la tragédie. Cependant, Uranie considère que les deux genres ont leurs lettres de noblesse. Tout d’abord, nous analyserons ce qui peut faire " le plaisir de la

Document sans titreLes caractères de la Bruyère La comédie sociale Présentation de l’oeuvre La Bruyère puise son inspiration dans les tourments de son époque pour écrire son œuvre. Son titre complet, Les Caractères ou Les Mœurs de ce siècle, y fait d'ailleurs référence. L'ouvrage est divisé en seize livres. Chacun s'attarde sur un aspect de la société du XVIIe siècle, à travers différents portraits. Le contexte Le contexte historique est primordial dans cette œuvre. En effet, La Bruyère s'en inspire

I) Les origines grecques : Ve et IVe siècle av. J-C * La comédie naît à partir des cérémonies religieuses données en l'honneur de Dionysos = réjouissances populaires sous forme de cortège de danseurs ( le cômos ) qui échangeait des plaisanteries avec le public. Le terme cômos a donné le mot comédie. * La comédie ancienne ( Aristophane, Ve siècle av. J-C ) désacralise les mythes en mettant en scène les héros mythologiques et les dieux. Elle attaque violemment les contemporains : les hommes politiques

« Pas d’œuvres littéraires qui vieillissent aussi vite que des comédies » ------------------------------------------------- « Le temps use les oeuvres littéraires; les chefs-d’oeuvre même, quoi qu'on en dise », affirmait Montherlant dans ses Carnets. En effet, toute œuvre littéraire, roman, poème ou pièce de théâtre, est soumise au temps qui passe et coure le risque de tomber dans l’oubli, dans la désuétude, de « vieillir » au fil des années et des siècles. On ne compte d’ailleurs plus le nombre

que le passé, satisfaire par lui-même, sans le secours de l'interprétation, aux conditions de la poésie. Il n'offrait que des héros de boudoir ou de cour d'assises, des chevaliers d'industrie ou des charlatans de tribune; et quoique chacun de ces personnages, interprété par une imagination féconde, pût devenir un type poétique, il n'a pas été donné aux hommes les plus habiles dans l'art de dialoguer leurs souvenirs d'élever la réalité au rang de la poésie. Non-seulement en dialoguant leurs souvenirs

mettre en scène la fonction catharsis (tragique), autrement dit la purgation des passions. Le mélange de ces deux genres amène la tragi-comédie. La tragi-comédie est une forme théâtrale caractérisée par une action romanesque, des personnages de haute extraction, un dénouement heureux et un refus des règles de la tragédie. La comédie, elle, met en scène des personnages souvent stéréotypés qui provoquent le rire dans des actions entravées par des obstacles dus, non plus à la fatalité (comme dans la tragédie)

caractéristiques spécifiques. 1. LA COMÉDIE Si depuis toujours bon nombre de spectacles de théâtre avaient pour but de faire rire les spectateurs, la comédie proprement dite n’apparait en France qu’au 16e siècle, promue par les humanistes qui admiraient les comédies de l’Antiquité, et notamment celles d’ARISTOPHANE (Grèce, vers 450 – 385 AC), de PLAUTE (Rome 254-184 AC) et de TÉRENCE (Rome, 190-159 AC). Ce dernier, dans une formule célèbre, a assigné à la comédie un but précis qui sera celui de nombreux

(18 à 20). Il est un peu malin, ne souhaite pas dire combien il gagne → prudence, méfiance. C’est un personnage qui appartient à la classe populaire : « chaque jour amène son pain » (vers 22 ; expressions populaires des vers 21-22 et 24). Au vers 28, le curé est évoqué : le personnage va à la messe. Il est présenté comme étant heureux (4), il est « gaillard ». Le financier C’est un personnage opposé au savetier (« au contraire ») : il est riche (« tout cousu d’or »). C’est sans doute un parvenu :