Personnages Sans Morale

Introdution : La liste des personnages montre par son foisonnement une infraction au théâtre classique. Nous constaterons que ceci permet de mettre en place les caractéristiques du drame romantique mais aussi de creuser la portée morale et politique de la pièce. I - La multiplication des personnages secondaires comme moyen de mettre en place un drame romantique. Notons tout d'abord que dès la liste des personnages le lecteur est frappé par le très grand nombre de personnages secondaires mentionnés

roman Pierre et Jean, Maupassant distingue plusieurs types de romanciers et, corollairement, de personnages : certains « transforme[nt] la vérité […] pour en tirer une aventure exceptionnelle » et mettent en scène des héros extraordinaires, d’autres font de leurs créations des êtres du quotidien et évitent « tout enchaînement d’événements qui paraîtrait exceptionnel ». [Problématique] Existe-t-il un modèle type de personnage romanesque ? [Annonce du plan] Certes, le héros – au sens premier du terme : « surhomme » –

à une argumentation indirecte ? Quelles sont les limites d’un tel procédé ? ------------------------------------------------- L’argumentation indirecte se rencontre dans l’ensemble des récits de fiction renfermant un enseignement pratique et moral. Au XVIIème et début XVIIIème siècles, cette technique d’argumentation est de plus en plus utilisée par beaucoup de très grands auteurs comme Molière, Voltaire ou encore Jean de la Fontaine. Mais alors, quel est l’intérêt pour un auteur d’avoir recours

situation initiale ( Des Grieux : un homme vertueux) élément perturbateur (l’amour accordé à Manon) péripétie ( vole, fuite, évasion, meutre…) situation final (mort de Mano-> retour de Des Grieux vertueux)B : Le plaisir de lecture dans l’œuvre : · Personnage en marge dès le début: « parce qu’il me semble qu’elle vaut un peu mieux que ses compagnes »· Vraisemblance : - vrai prénom : « M. de G…M… » - vrai lieux «  Saint Lazare »- raconté par un homme de vertu : «  du moins lorsqu’ils sont écrits par une

présence de personnages fictifs, ici le Savetier et le Financier, qui mènent une discussion vive avec quelques pointes de comique. En outre, on peu extraire un morale qui n'est pas écrite explicitement mais qui est présente quand même. La morale est que Il vaut mieux sans argent et faire ce qu'on aime plutôt que de faire quelque chose qu'on n'apprécie pas forcement et avoir beaucoup d'argent. Enfin, un dernier aspect de la Fable, le double renversement des positions des deux personnages, en effet le

C\LES PERSONNAGES Dans ce récit les personnages sont décrits par couple sauf Boule de Suif qui est le personnage principale et le Cornudet. Maupassant commence par les descriptions des couples selon un ordre précis de hierachie sociale et termine par celle de Boule de Suif et Cornudet comme si ces deux personnages étaient opposés au autres, comme si Boule de suif et Cornudet était opposé à la morale que représente les couples. Maupassant a choisie des personnages qui représente

ETUDE DU PERSONNAGE PANGLOSS Plan : Introduction : - Personnage secondaire par ses apparitions sporadiques dans les 30 chapitres mais son omniprésence est remarquée à travers ses maximes, son enseignement. (lire chapitres : 1, 4, 24, 30 par exemple) - Pangloss est « Toute langue », du grec « pan » qui signifie tout et « glossa » qui signifie langue. Il est le maître à penser du château. - Conformément aux exigences du conte, Pangloss est plus un rôle qu’un personnage : il ne reçoit

cette fable dans le livre I en première position, avec l’occurrence unique et première des fourmis et des cigales, ainsi que l’absence de morale apparente. Elle s’inscrit dans une série de fables très courtes, à peine plus étendues que le canevas d’Esope, allant jusqu’à la suppression du sens moral du récit. LF s’éloigne ainsi du modèle ésopique qui avait une morale (« Il ne nous faut rien négliger, si petit que ce soit… ») et qui était parsemé de détails (les fourmis rient, le blé est mouillé…) LF

nuances 2) et que par delà quelques éléments caractéristiques du 17ème, La Bruyère trace ici les types éternels du riche et du pauvre. d) Une opposition physique des personnages Chez La Bruyère, rien n'est réellement un détail mais tout possède une importance. Ainsi, on peut relever que l'élément commun de l'œil des deux personnages est traité au singulier pour Giton (" œil fixe et assuré ") et au pluriel pour Phédon (" les yeux creux "). Pour Giton, il s'agit d'une métonymie (phénomène par lequel

affranchi laid et bègue mais très intelligent, il donnait des conseils à ces maitres jusqu’au roi. 2) Présentation de l’œuvre * Pour donner ces conseils il a inventé le genre de la fable, c’est un texte court, en prose qui termine avec une morale et il emploie des animaux pour moins choquer le lecteur et mieux faire la satire des hommes. Ses fables ont inspiré des auteurs européens et arabes dont Phèdre Ier siècle av JC et la Fontaine au XVIIème siècle. 3) Présentation du texte * Dans