Personnification De La Foret

« la chambre nue aux persiennes closes » qui est décrite telle un jardin secret. Pour échapper à ce monde étriqué, le petit garçon du poème s’évade en imaginant un monde exotique « des romans, sur la vie du grand désert, où luit la Liberté ravie, forêts, soleils, rives, savanes ! » qui s’inspirent des faits d’un journal dont les photos alimentent son imagination; ou encore, il manifeste sa révolte en ne respectant pas le moule des conventions et « L'été […] il était entêté à se renfermer dans la

Chapitre 2 Portrait du maire à travers ce qu’en disent les habitants et quelques habitudes. Retour sur le quai face au mort. Erreur du maire qui accuse les Shuars. Le vieux prend la parole, explique ce qui s’est passé comme un détective de la forêt avec l’ocelote. Le vieux et le dentiste parlent des livres. Les taxes du maire. Idée du Vieux qui l’ennuie : la battue à venir. Départ du dentiste sur le bateau. Le Vieux enlève son dentier et va dans sa cabane. Chapitre 3 Le vieux, sa lecture

La chevelure », Baudelaire compare la chevelure à la nature, « forêt aromatique », « l’ardeur des climats », « d’un ciel ». Dans cette chevelure il y a aussi une histoire « des souvenirs dormant dans cette chevelure ». Dans « Tout entière » Baudelaire utilise comme dans les autres poèmes, le champ lexical de la beauté. On peut observer dans ce poème ce champ lexical « belles », « doux », « beau ». Il utilise aussi la personnification « son haleine fait la musique », « Comme sa voix fait le parfum

le désir et l'intimité, "Je la veux", "j'irai là-bas", et l'opposition "dormant"/"agiter"nous indique la détermination de l'auteur et son désir d'ouverture vers un autre monde.     On relèvera la métaphore "forêt aromatique" d'où l'on tire une correspondance visuel/olfactif; la personnification des continents "langoureuse Asie", "brûlante Afrique" qui ajoute à la sensualité puis la gradation "lointain, absent, presque défunt" en opposition avec "langoureuse", "brûlante" annoncant un voyage plus spirituel

le jour de ces noces revoit son ancien fiancé Léonardo des Félix, famille ennemie de son futur mari. Et les deux amants, entrainés par leur passion, décident de filer le parfait amour et s’enfuient. Le futur mari poursuit Leonardo jusque dans la forêt où ces derniers meurent lors d’un duel. Quant à la fiancée, celle-ci rendre au village et pleure son amant. Les deux amants, guidés par la folie, tout en sachant quelle serait l’issue de leur histoire, ne sentent démunis face à la fatalité. 1

par une nature aquatique et montagneuse. On peut relever les champs lexicaux de la nuit : « Le soleil s’est couché », « ce soir », « la nuit », du temps : « Demain », « les jours », « temps » et de la nature : « mers », « monts », « fleuves », « forêts », « montagnes », qui sont omniprésents dans ce poème. Les temps verbaux dominants sont le présent de l’indicatif et le futur simple. Ces temps jouent un rôle majeur pour le sens du texte. On peut tout de même relever l’emploie unique du passé composé

L’allégorie est la représentation imagée d’une idée abstraite, sous la forme d’un tableau concret. L’allégorie de la justice est ainsi une femme qui a les yeux bandés (elle est impartiale) et qui porte une balance (elle juge) et un glaive (elle punit). La personnification attribue à un animal, un objet ou une abstraction les propriétés d’un être humain.« Rome à ne vous plus voir m’a-t-elle condamnée ? » (Racine) 2 Les figures de substitution La périphrase remplace un mot par une expression complexe. Le compositeur

arbres de l'antiquité qui donné des messages de Dieu ??? Ici le devin de l'antiquité = le poète : celui qui sait et l'homme ordinaire (les matelots??). Il y'a ici une supériorité du poète, «  l'homme passe à travers des forêts de symbole » mais ne les voit pas , il y'a une personnification : ce sont les symboles qui le regarde (V4 « qui l'observent avec des regard familier) Platon écrit les dialogues de Socrate maïeutique (accouche les idées). Les Grecs pensent que nous avons plusieurs vies et que nous

qui participe d’un vocabulaire mélioratif, laisse entendre que ce souvenir est heureux. *2e* idée secondaire : La nature entière conserve la mémoire de ce passé idyllique. Preuves : 13e strophe (« Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! / Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir, / Gardez de cette nuit, gardez, belle nature / Au moins le souvenir »). L’accumulation personnifie non seulement le lac, mais aussi la nature dans son ensemble. Les adjectifs

de lieux différents, comme au vers 1 « abbaye », au vers 2 « une forêt », au vers 8-9 «  dans la cendre », au vers 10 « sur les rayons de la roue ». Il n'y a que dans les rêves qu'on peut passer d'un endroit à un autre, l'auteur semble nous emmener dans des lieux inconnus, dans son imaginaire. De plus, on retrouve de nombreux éléments invraisemblables, comme par exemple au vers 6 « frissonnait chaque fleur » avec une personnification, au vers 14 « la barre du bourreau...brisée comme un verre » ou