Personnification De La Foret

sans interruption à travers un paysage aux aspects variés. Il y a ensuite une progression dans l'espace qui est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant le passage et la succession des paysages différents « j'irai par », « par la forêt », « par la montagne » au vers 3. On peut également noter le caractère vague, sauvage et difficile de l'itinéraire choisi. Dans la strophe 3 il y a un changement de paysage (maritime et fluvial) « les voiles », « Harfleur ». Cela souligne une progression

rapprochement de deux objets au moyen d’un terme de comparaison. Ex. Je suis comme un lion en cage. Métaphore : création d’une relation de similitude entre deux objets mais sans terme de comparaison. Ex. C’est un vrai lion. Personnification : fait de parler de quelque chose comme s’il s’agissait de quelqu’un. Ex. Ma jeunesse s’est enfouie comme une voleuse. b) Les figures d’opposition Antithèse : opposition entre deux termes non voisins. Ex. Un gros point

le roseau, La Fontaine (1668) I-Introduction Jean de La Fontaine au XVIIème. Il écrit des fables avec moral pour dénoncer abus et états de la société. Appartenance au milieu de la nature car il était maitre des eaux et forets donc de nombreuses idées comme personnification des animaux et végétaux pour les rendre actuels à la société. Il traite souvent de « la loi du plus fort » grâce à son expérience du protectorat de Fouquet arrêté par Louis XIV. Sa morale est un pilier de ses fables,

filée entre la Nature, qui elle-même est une allégorie (personnification d’un élément abstrait), et le temple Temple domaine du religieux du mysticisme du sacré Métaphore ou périphrase « vivants piliers » pour dire arbre (rappel du temple) Référence à la ville de Dodone ville de la Grèce antique, célèbre pour ces oracles dits des « sibyes » ou des « phities » qui interprétaient le bruit du vent dans les feuillages des chênes des forêts voisines pour prédire l’avenir. Dans le 2nd quatrain il

quatrain dresse un tableau très coloré et illuminé de celle-ci. D’ailleurs le « val » est considéré tel un lieu rempli de vie et de joie. Cette joie de vivre est aussi marquée par de nombreuses personnifications comme celle de la rivière qui « chante » ou encore de la montagne qui est « fière ». Ces personnifications donnent l’image d’un lieu de rêve, qui donne envie. En effet, grâce à la luminosité renvoyée par les mots, la nature apparait comme idyllique. L’expression « la lumière pleut » nous le traduit

suggère la puissance du vent qui va me�re fin à sa vie. L’allitération en r : « mourras/ ouragan / roseraies » fait résonner le souffle de l’ouragan et mime la mort de ce�e saison. La compassion du poète s’exprime dans le cinquième vers grâce à la personnification : « Pauvre automne ». En effet, l’hiver chasse l’automne comme le montre la référence, à deux reprises, à la neige : « blancheur » (v 6), « de neige » (v 7) Sa mort est imminente, il ne peut l’éviter et le futur laisse place à l’impératif « Meurs

pour amplifier l’envie du plaisir de la mort sans fin. De plus, à la seconde strophe, l’image du plaisir de la mort se dessine de plus en plus. On retrouve le champ lexical de la nature, je cite: “les déserts, les roches” vers 5, “les chênes, les forêts (2)” vers 6 et vers 7, “les feuilles” vers 7. Cependant, ce champ lexical de la nature est toujours suivi soit d’un adjectif qualificatif péjoratif “ les chênes périssants” vers 6, “les roches égarées” vers 8, soit suivi de verbe comme "haïr" qui

moments de bonheur, qui disparaissent aussi vite qu’ils ont éclos. Poème = plainte de toute la nature humaine = Le temps passe et nous n'y pouvons rien. Expression "O temps suspends ton vol", = adresse au temps pour qu'il s'arrete = Personnification = Passivité et l’impuissance de l’homme face au temps : il est soumis au mouvement du temps. Visible dans l'opposition entre verbes au passé et au présent = Mélange les souvenirs et le présent = renforce l'idée de plainte du poète.

un petit nid de guèpes. (Giono) Métaphore rapprochement de deux termes sans que l’outil de comparaison soit exprimé. la neige de ses cheveux ; mon cœur ; ma flamme; mettez un tigre dans votre moteur; le chant grave de la forêt ondulait lentement (Giono) Personnification représentation d’une chose ou d’une idée sous des traits humains. Ces flots, ces vents... mes premiers maîtres (Chateaubriand) Allégorie L'allégorie rend concrète une idée abstraite. Elle la représente dans une mise en

fondamentalement sur un lexique inspirant la peur et la terreur. Également, il consiste à introduire brusquement des faits étranges dans un monde connu du lecteur. Les images qui représentent mieux le surnaturel comme la métaphore, la comparaison, la personnification sont plus souvent utilisées.D'autres indices du fantastique : · Le champ lexical de la souffrance et de la douleur· Les phrases interrogatives, les questions rhétoriques· Les phrases exclamatives qui manifestent des sentiments de la peur, l’angoisse