Personnification De La Foret

texte → argumentation indirect, implicite Corps & l'Ame HistoireMorale v.3/4 : situation initial v.5 : présent de narration qui actualise la scène → décor : 'courant d'une onde pure' situation initiale : bucolique Opposition 'au fond des forêts' situation finale, meurtre → dialogue entre . Différentes péripéties mais conflit . Dialogue argumentatif . Fin = violence qui emporte sur le droit 'sans autre forme de procès' → court récit d'une tragédie (= bienséance opposé) La Fontaine

elle consiste à employer une expression au lieu du terme précis ex: Le roi de la jungle Accumulation ou énumération (f) : elle consiste à énoncer une longue série de terme de même nature ou de même fonction ex: Il y a toute sorte d'oiseaux ans cette forêt tels les colombes, les hirondelles, les pigeons, les corbeaux... Asyndète (f) : elle consiste à enlever les conjonctions de coordinations qui unissent les parties dans une phrase. ex: La pluie, le vent, le trèfle, les feuilles sont venues... Allégorie

au précédent par la conjonction de coordination « et » qui fait un lien sans interruption en terme de thèmes avec le vers précédent. De plus, nous pouvons voir que l’auteur utilise une personnification puisque qu’il attribue des soupirs et donc une expiration qui exprime l’émotion au soleil. Cette personnification se double d’une métaphore puisque le « soupir d’adieu du soleil à la terre » signifie la brise du soir qui elle tombe contrairement à l’herbe qui s’élève. Nous pouvons dire que Vigny use

MAL , Charles Baudelaire THEME : LA FEMME POEME 1 : " La Beauté " P47 Analyse : Dans un premier temps Baudelaire crée une allegorie de la beauté , ceci est visible grace a l'utilistion du pronom personnel " je " qui introduit une personnification dans ce poéme . Cette Beauté apparait fière et méprisante en effet le champs lexical du mepris est bien present : " je hais le mouvement qui déplace les lignes " v7 , " je trône sur l'azur " v5 , " jamais je ne pleure et jamais je ne ris " v8

qui représente l’air ou des "rocs sauvages"(v.55) qui représente la terre et une image minérale de la nature. Au contraire, la "forêt"(v.49), les "coteaux"(v.54), les "sapins"(v.55) et le "roseau" (v.61) en dressent une image végétale. Le poète invoque tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent son passé et les sentiments qu’il a éprouvé : la personnification du Lac présente dans tout le poème donne l’idée du rapport intime que le poète a établi avec la nature, comme s’il avait vécu ses

fait qu’il y a une présence divine dans chacun de ces extraits.     La nature, pour les romantiques, est une beauté originelle. Lamartine la voit comme une source de contemplation. La nature est personnifiée par le procédé stylistique de la personnification. C'est au lac que le poète s'adresse non seulement pour lui faire revivre son amour mais pour le prolonger. Il prend le lac à témoin dans une sorte de familiarité avec le tutoiement . C'est un thème cher aux romantiques, la nature est une personne

la nuit son ici assimilées à l’inertie, par extension à la mort, de plus les phrases sont négatives « rien ne bougeait », « ne quittait pas ». Le poète insiste ainsi encore sur l’immobilité, l’absence de vie. Avant le passage du poète à travers la forêt, la nature était morte mais elle s’est peu à peu s’éveillée. En opposition à cette vision nocturne, le "je poétique" est celui qui est en vie, en mouvement : ""réveillant", « j’ai marché", au vers 2. Ce passé composé montre une action brève

oiseaux à l'être humain. Analyse : La grenouille de La Fontaine : Jean de La Fontaine est un poète français du XVII eme siècle. Il appartient à la période classique qui retient essentiellement les fables. Jean de La Fontaine utilise la personnification afin de critiquer les défauts humain Cette fable très connu met en scène une grenouille représentant la vanité de l'Homme. Le loup et l'agneau , La Fontaine Cette fable fait partie du livre Ier du Recueil de Fables de Jean de la Fontaine

éléments qui le dépassent, en effet malgré l’allusion à Cérès qui regarde avec effroi « les misères du laboureur » ce Dieu ne vient pas en aide à l’Homme. Il essaye de sauver ses récoltes lui-même par des solutions extrêmes comme « brûler même les forêts » (IV, v4) mais le vers suivant nous montre que toute tentative s’avère inutile avec la comparaison des champs devenus marais, l’attente de l’été, comme nous le prouve la formule restrictive « n’… plus » (v6) n’est même plus une consolation et n’apporte

lamenter l'autan Et du fleuve prochain à grand'voix triomphales Les elfes rire au vent ou corner aux rafales Attys Attys Attys charmant et débraillé C'est ton nom qu'en la nuit les elfes ont raillé Parce qu'un de tes pins s'abat au vent gothique La forêt fuit au loin comme une armée antique Dont les lances ô pins s'agitent au tournant Les villages éteints méditent maintenant Comme les vierges les vieillards et les poètes Et ne s'éveilleront au pas de nul venant Ni quand sur leurs pigeons fondront