Personnification Du Temps

ressentit dans un décor musical et marin, visuel mais aussi sensoriel. Que se soit la mer ou la musique, elles sont tantôt paisibles, tantôt tumultueuses donnant ainsi cour à notre voyage. Nous verrons dans un premier temps le lien entre la mer et la musique. Puis dans un second temps nous étudierons comment l'auteur nous transmet les sentiments du bateau. Tout d'abord, le lien entre la mer et la musique est prouvé par la comparaison de la phrase une avec le comparant ''comme'' du vers 1 : « La

hyperbole. '' elle les appelle : Neiges, petites neiges ! '' C'est une personnification. p. 60 : '' Dans les neiges, les villages chavirent '' C'est une personnification. '' Ne restent plus que leurs portes noires ouvertes pour le cri, comme ces grottes au flanc des rochers [...]. '' C'est une comparaison. '' Et le temps passait sous la rétine fixe des yeux d'Emerentia. '' C'est une métaphore, car le temps qui passe n'est pas visible comme une image. p. 61 : '' Mais la petite

deuxième phrase occupe les trois autres vers du quatrain. Au vers 2, la «Douleur» ayant, comme un enfant, réclamé ce qu'elle n'avait pas, le poète semble satisfaire son caprice : «Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici». Le «Soir», nouvelle personnification, autre allégorie, qui vient comme un sauveur, descend parce que l’obscurité vient du ciel où le soleil a disparu. Les deux premiers vers, fortement coupés, aux sonorités étouffées, sont marqués par un rythme lent, dont la progression ascendante

peut pas le supporter, il entre dans une rage folle et la bat.Extrait : Dans cet extrait il raconte l’amour que Jacques Lantier éprouve envers sa locomotive et de son lieu de travail ou il a pu créer Lison (La Locomotive) mais qui entame en même temps une relation avec Severine Roudard (sa maitresse).Lecture du texte Problématique : comment la machine est-elle mise en valeur ?1er mouvement : La Description de la machine2ème mouvement : Le sentiment éprouver envers sa machineLes personnages de l’extrait :

versification fait l'objet d'une véritable recherche: diversité métrique à l'intérieur d'une même fable, variations dans la césure, enjambements. L'œuvre: 1). La fiction animale Fondatrice des Fables, la fiction animale, qui repose essentiellement sur la personnification, permet à la Fontaine de parler indirectement des hommes et de brosser une satire des conduites humaines. Les animaux leur empruntent de nombreux traits (apparence, physique, mœurs, caractère, comportement, parole, situations, etc). Cette association

: gradation descendante « palais / murs / arcs » : spectacle des ruines Vers 3 : ces adj démonstratifs : le poète montre et fait visiter Rome Vers 3 : répétition de l’antéposé adj vieux : défini Rome en fonction du passé et la destruction du temps Vers 4 : reprise de l’anaphore conjonction « et » : lien pour poser deux évènements = passé / présent Vers 4 : répétition de Rome + changement sur le dernier mot : expression d’une Rome qui a disparu si on n’en parle pas Vers 4 : la tournure

guide l'homme dans la connaissance de l'inconnu. « Paroles sur la Dune « appartient à la deuxième partie du recueil et est composé de cinq strophes. A travers ce poème, Hugo cherche à démontrer les effets de l'exil sur la psychologie, la vitesse du temps qui emporte avec elle la jeunesse et ses bonheurs. Comment à travers son poème, Victor Hugo manifeste son désespoir ? Comment arrive-il à un certain apaisement ? Nous étudierons ce poème en évoquant tout d'abord la plainte du poète, puis le sentiment

lexical montre la dangerosité mais aussi l’animalité de cette ville. Les figures de style de ce texte reflètent que la vie du soir est risquée. Nous le voyons notamment dans les nombreuses figures de styles du texte comme dès le début avec la personnification du soir par le « il » mais aussi la comparaison qui compare le soir a un complice. Cette comparaison montre tout particulièrement que la criminalité et le soir marchent ensemble, ils sont pairs. De nombreuses autres comparaisons insistent sur

presque religieux » I- Une personnification de la France : La France est un être vivant qui revêt souvent le visage de la même patrie. → Un être vivant : Enfant, De Gaulle, dans son imaginaire patriotique, voyait déjà la France en « princesse des contes » ou en « Madone » devenu le chef d'un gouvernement de pays ruiné, il l'avait moins auréolé mais toujours comme un être humain. Cette conviction s'exprime par le recours fréquent au procédé stylistique de la personnification. La France est souvent

encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à employer plusieurs formes grammaticales (genre, nombre, personnes, modes, temps) d’un même mot, dans une phrase. Exemple dans l’Oraison funèbre d’Henriette-Anne d’Angleterre de Bossuet : « […]