Personnification Du Temps

Saintes et personnifications allégoriques offrent des représentations de femmes idéales et fortes qui peuplent les créations artistiques de l'époque. Réunissant une sélection d'œuvres d'art que sont enluminures, manuscrits, sculptures, textiles et tapisseries ou encore objets d'art, la présente exposition est organisée selon cinq thèmes : 1) Les femmes et le cloître; 2) Les femmes et la famille; 3) Les femmes et le commerce; 4) Les saintes femmes; et enfin 5) Femmes, personnifications et allégories

de la vigne”. Date précise = le 16 Janvier, en lien avec le titre : “nouvel an”. Cette rêverie est associée à un moment précis de l’année. Ce moment charnière (le passage d’une année à une autre) va occasionner une réflexion sur la vie, le temps qui passe, l’approche de la mort (“Encore une fois me voici, comme au début de l’autre année, assise en face de mon feu, de ma solitude, en face de moi-même...”) et s’achève sur un hymne à la vie, avec une grande sagesse épicurienne : “Eloigne-toi

Objective spécifique 3. Biographie 4. Thème principal 5. Personnages 5.1 Personnages principaux 5.2 Personnages secondaires 6. Espace 7. Temps 7.1 Temps de narration 7.2 Temps historique 8. Resource littéraire 8.1 La métaphore 8.2 L’hyperbole 8.3 La Comparaison 8.4 La Description 8.5 La Personnification 8.6 Expression idiomatique 9. Commentaire personnel 10. Conclusion 1. INTRODUCTION L'objectif principal de ce travail est l'analyse littéraire

de retour au pays natal du poète peut apparaître comme une alchimie de la misère de son peuple ? Pour répondre à cela nous verrons dans une première partie comment la misère de la rue Paille symbolise la misère de son pays natal puis dans un second temps nous montrerons que cet extrait constitue un itinéraire partant de la misère et arrivant à la dénonciation de toutes discriminations. I.Description de la rue Paille, de la misère de son peuple (l.1 à20)*Blanc important entre « Et une honte

rose. Le motif de la nature introduit une dimension lyrique ainsi que le motif d’une rose couleur « pourpre » , vers 3. La rose symbolise en effet l’amour d’autant plus qu’elle est associée à la jeune fille par la comparaison au vers 6 et par la personnification de la fleur qui a revêtu « une robe de pourpre ». * Ce qui sert au récit d’un micro-drame : les indicateurs temporels indiquent différentes étapes d’une petite saynète à la tonalité tragique. La première strophe correspond à un premier

une célébration de la nature, permise par l’utilisation de longues phrases symbolisant une certaine douceur, par l‘utilisation du temps de l‘imparfait et du plus que parfait , dominant également et par les deux répétitions de "après "dès le début de l'extrait . De longues descriptions qui ont pour but de mettre l’action en suspend, il y a absence de toute notion du temps, comme si l‘auteur avait pour volonté de figer l‘image ayant pour effet : une vision de la scène au ralentit. Le choix

expressions soulignent la fragilité des enfants, leur vulnérabilité et leur pureté. 4. a) Relevez trois indicateurs de temps. [1 pt] « quinze heures » (v. 4) ; « de l’aube au soir », « éternellement » (v. 5). b) Sur quoi insistent-ils ? (0,5 point) Ces indicateurs montrent que les enfants travaillent continuellement. 5. À quel temps sont les verbes ? Précisez la valeur de ce temps. [1 pt] Les verbes sont au présent de l’indicatif avec, ici, une valeur d’habitude. 6. « Innocents dans un bagne, anges

pleine de vie ,ce qui suscite naturellement des sentiments pathetiques et de la piété du lecteur. Partie II:Le sens styliste a .Les expressions artistiques:la personnification ,la synesthésie Le poète emploie quelques expressions artistiques pour dessiner la nature animée et enchanteresse.Dans le premier quatrain ,trois personnifications (,, )sont consacrées à la description de la nature:la rivière semble une fée dotée du pouvoir magique d’habiller les herbes qui l’environnent d’argent;la haute

deuxième phrase occupe les trois autres vers du quatrain. Au vers 2, la «Douleur» ayant, comme un enfant, réclamé ce qu'elle n'avait pas, le poète semble satisfaire son caprice : «Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici». Le «Soir», nouvelle personnification, autre allégorie, qui vient comme un sauveur, descend parce que l’obscurité vient du ciel où le soleil a disparu. Les deux premiers vers, fortement coupés, aux sonorités étouffées, sont marqués par un rythme lent, dont la progression ascendante

but on peut remarquer une surreprésentation de la couleur : (l.18) « une horrible tâche verdâtre » , (l.22) « coloration pistache » etc. On peut également noter une référence au sang l.22 : « au pourpre ou au safran » Ces couleurs appuient la personnification du gaz faite par l’auteur qui nous décrit cette arme comme un monstre . ( couleur verte pour le monstre et rouge pour les conséquences de celui-ci ) A l’aide d’une atmosphère mystérieuse dès le départ et une description très abstraite de la nature