Personnification

de Ronsard L’auteur a utilisé comme figure de style une allégorie. D’après la définition du guide des procèdes d’écriture qui dit : « L’allégorie consiste à représenter une notion abstraite par un élément concret. Elle repose souvent sur une personnification qui est élaborée dans un court récit ou dans une description qu’a une portée symbolique. » On peut remarquer qu’on ne peut pas cueillir notre jeunesse, dont l’auteur fait allusion à la fleur mais parle de notre jeunesse. On peut donc en soutirer

Nuit d’été (p.58) c) Potiche (p.89) d) Le Regret des joujoux (p.23) e) Le Puits hanté (p.93) 9. Quelle figure de style est employée dans le poème «Ruines» (p.31) pour montrer qu’il est malheureux ? a) Antithèse b) Hyperbole c) Comparaison d) Personnification e) Métaphore Citez le passage : __«S’écroule nos bonheurs comme des murs de briques !» (l.14)__ 10. Les poèmes «Gretchen la pâle» (p.46) et «Beauté cruelle» (p.42) abordent quel thème commun ? a) L’amour b) La religion c) La mort d) L’enfance

fleur comparé à la femme est une menace, car la fleur ce renouvelle tout le temps d'après le texte tout les jours → « que du matin jusques au soir » La beauté est menacer par le temps à cause de la vieillesse, du coup l'auteur montre grâce à la personnification de la fleur en femme que la beauté et la jeunesse n'ont qu'un temps et qu'il faut en profiter avant que ce soit trop tard → pour Ronsard il n'a jamais pu revoir Cassandra. Dans ce poème la fuite du temps est montré par la beauté, la fleur qui

| | |De la belle aube au triste soir. (Apollinaire) | | |La personnification |A = Elle attribue à des éléments inanimés les propriétés des être animés. Elle permet aussi de représenter de façon plus concrète des idées |A = Trois mille six cents fois par heure, la Seconde | | | |abstraites

normal est SUJET, VERBE, COMPLÉMENTS (directs, indirects, circonstanciels). À la place du complément, il y a parfois un attribut. Exemples : Rares sont les vrais amis. (A V S) À l'automne, les feuilles tombent. (CC, S V) • La personnification ou la prosopopée Figure de style dans laquelle on prête tout ce qui appartient à l'humain (gestes, paroles, sentiments, etc.) à des êtres inanimés, à des animaux, à des choses. • Le pléonasme Addition de mots qui ne sont pas indispensables

de désir d’étoiles ». Dans cet extrait, il est juste d’affirmer que l’auteur désigne les soutes comme des entrepôts où sont gardé précieusement l’espoir du bonheur retrouvé, soit le désir d’étoiles. Par conséquent, Alain Grandbois emploie la personnification en attribuant les sentiments d’espoir ressentis par les humains à ces soutes. En somme, nous pouvons constater que les deux auteurs ont un désir ardent d’échapper à la mort, par le fait même à la fatalité. Tout bien considéré, on peut affirmer

pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison. La métaphore est dite filée lorsqu’elle s’étant à plusieurs termes. Ex : Ce garçon, c’est un dieu! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. LA PERSONNIFICATION : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. Ex : Le vent mugissait dans les branches et hurlait sous les portes (perosnnification du vent). L’ALLEGORIE : on utilise un être vivant ou une chose pour représenter

bleue comme une orange » Eluard b. La métaphore : comparaison sans outil de comparaison. Ex : « Par delà des vagues de toits, j’aperçois… » Baudelaire / « Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin » Apollinaire c. La personnification : représentation sous les traits d’une personne. Ex : « Les horloges volontaires et vigilantes » Verhaeren d. L’allégorie : représentation d’une notion par une personne. Ex : La liberté guidant le peuple, Delacroix / Le Printemps, Botticelli

rapproche deux éléments, avec au moins un élément en commun, sans outil de comparaison. Quand cette figure se poursuit sur plusieurs lignes, qu’elle est développée, on dit que c’est une métaphore filée. Ce vieillard est une tortue. C’est un géant. Personnification Elle attribue à une chose ou à un animal un comportement humain, un sentiment, une qualité humaine. Mon écharpe a essayé de m’étrangler. Les arbres font le gros dos sous la pluie. Allégorie Elle rend concrète une idée abstraite : elle devient

d’entretien de la gare depuis longtemps. On perçoit une certaine nostalgie du poète à travers les « Ô » qui traduisent des regrets et de l’admiration pour la gare. Le poète parle des « lézards » qui grimpent sur les pierres délaissaient de la gare. La personnification « Des doigts légers du vent » montre que le vent est protecteur et affectueux envers la gare il lui tient compagnie on trouve aussi « Est ton seul ami » qui renforce cette idée. L’allitération en [r], qui est une sonorité dure, au vers 21 avec