Personnification

machines « qui produit la richesse en créant la misère ». Leurs conditions de travail sont totalement « infâmes ». Pour Victor Hugo, le monde de l’usine est comparable à l’enfer, il emploie à différents moments des métaphores pour insister sur la personnification des machines Sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre Dans ce passage, il y a trois allitérations « m, r et ch », le « r » étant la consonne de la menace

vision : « je vis » (l.13) « regard » (l.14) annonce une nouvelle naissance confrontée à une révélation brutale. Cette naissance introduit alors l’apparition du double ténébreux, Lorenzaccio, suivie de la révélation de sa misanthropie. La personnification de l’Humanité en catin : « l’humanité souleva sa robe et me montra, comme à un adepte digne d’elle, sa monstrueuse nudité » (l.14-15) est une déception brusque. Alors que Lorenzo persévère dans sa recherche de gens honnêtes, il finit déçu et

FIGURES DE STYLE TABLEAU RECAPITULATIF NOM DEFINITION EXEMPLE ALLEGORIE n.f. Personnification d'une idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ANACOLUTHE Rupture ou discontinuité dans la construction d’une phrase. - « et pleurés du vieillard, il grava sur leur marbre » [La Fontaine] ; tantôt il est content, ou alors il pleure). ANADIPLOSE Procédé par lequel le dernier mot d’une proposition ou expression est utilisé comme premier mot de la deuxième proposition. - marre

1658. C'est un contemporain de Molière « L'Avare » (1668), La Fayette « la princesse de Clève » (1678). La fable que nous etudions est «  Les membres et l'estomac écrite en 1668, cette fable nous décrit le peuple et le pouvoir royal grâce à la personnification des membres et de l'estomac. C'est pour cela que nous venons a nous demander «  En quoi cette fable est elle un apologue ? » Pour y répondre nous allons nous interesser au fait que ce soit une fable atypique et poursuivrons avec le fait que

petit et modeste village, mais unifié. « En quelle saison » au vers 6 est un euphémisme car l’auteur sait bien qu’il attendra plutôt des années avant son retour. « Le clos » désigne ici la petite clôture ou barrière entourant sa maison. Par la personnification de la « pauvre » maison au vers 7, du Bellay insiste sur l’amour de son modeste foyer qu’il compare par métaphore à une province. Le « séjour » dont l’auteur parle au neuvième vers désigne à nouveau sa région natale, celle de ses « ayeux ». Le

s’installe avec le Roitelet, comparé à un pesant fardeau pour le faible arbuste, l’antithèse est aussi présente et sonore avec le son lourd des consonnes dans « pesant fardeau » face à la petitesse de l’oiseau. Dans les vers 4 à 6, on retrouve la personnification avec l’action de baisser la tête pour le Roseau, qui est présente tout au long de la fable, et l’emploi du pronom « vous », complément d’objet direct du verbe obliger, ce qui met en évidence la force du vent qui oblige l’arbuste à subir. L’harmonie

comparé est présent. « Dans ma main resplendit un soleil minuscule. » (Pierres, Roger Caillois). Métaphore in absentia : le comparé n’est pas clairement désigné. Le lecteur doit le retrouver par la logique. Il s’agit ici d’une pierre précieuse) Personnification : Attribuer des caractéristiques humaines à des êtres inanimés ou des animaux. « Les arbres sur ma route fuyaient » (Nerval) II. Les figures de substitution (remplacement) La métonymie : Remplacer un mot par un autre. Le premier conserve

d'une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n'ont d'habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison. Ex : Cegarçon, c'est un dieu!Les agates de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. La personnification : c'est la représentation d'une chose ou d'un animal sous une forme humaine : on attribue à cette chose, à cet animal, des traits (caractéristiques) habituellement réservés à l'homme (la parole, la pensée...) (c'est un cas particulier de la métaphore)

antique, couleur symbolisant le pouvoir. Il veut qu’il peigne sa femme comme quelque chose de précieux. Le corps, dit blanc, de sa bien-aimée fait référence à sa pureté, la bouche rose, à sa jeunesse. Il parle aussi du carquois d’Eros (Eros est la personnification du désir). Il y a des anacoluthes qui mettent en évidence le talent de l’artiste, l’auteur s’adresse au plus grand peintre de Rhode, à l’artiste, à celui qui a été couronné, il le flatte, il l’interpelle. Il met une première fois en évidence

leur fatigue « bien las ». L’auteur interroge puis répond, ce qui fait de ce poème texte argumentatif. Pour Victor Hugo, le monde de l’usine est comparable à l’enfer, il emploie à différents moments des métaphores pour insister sur la personnification des machines Sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre En fait, le travail possède une double image contradictoire : Hugo oppose la faiblesse des enfants (« doux êtres pensifs », « accroupis