Personnification

fable richement vêtue et la vérité vieille et nue, personnification de la vérité et du mensonge. Aussi pouvons-nous nous demander comment l’auteur s’y prend-il pour transmettre sa morale. Nous verrons tout d’abord la double personnification présente dans ce texte, avant de porter notre attention sur la dimension polémique de cette fable. I. La double personnification 1.1 L’hideuse vérité... •Une personnification péjorative On remarque qu’une première partie

est de transmettre une morale, mais comment l'auteur s'y prend-t-il ? Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons tout d'abord à la double personnification présente ainsi qu'à l'aspect satirique de cette fable. Tout d'abord, ce qui fait de cette fable un véritable chef d'œuvre, c'est la figure de style dominante: la personnification. Alain, durant toute cette fable fait en sorte d'attribuer des caractères humains à des êtres non humains. Nous pouvons dès lors remarquer les majuscules

quel point ce| |réalité. |désolé » (p.179). |lieu est froid et morbide en ces années. De | | |2. Personnification ; « Le vent, sans repos, |plus, en usant de la personnification, on peut| | |fatigue la mer, fatigue la côte nue » (p.179),|comparer le lieu avec les êtres qui y | | |« La Corse

(balancées, brise, berce) Ambiance feutrée : brume, profond, Personnification de l’Afrique : battre son pouls Sens auditif : bruissent, chanson, chant, écoutons, pouls, silence rythmé Sens tactil : les mains Image de la femme : nourricière (nourrice), mère (berce) protectrice (balsamiques) Lieu : village d’Afrique, la nuit Strophe 2 : début du sommeil 4 vers longs Anaphore voici Etale : sans mouvement Personnification de la lune Comparaison : comme les enfants Sens auditif :

est de la même envergure que les invités. Thérèse s'ennuie beaucoup, et en souffre par la même occasion. La personnification du décor dans cet extrait, nous rappelle la personnification de la nature et du soleil dans l'excipit Germinal, de Zola. Du côté de Thérèse Raquin la personnification du décor nous montre la souffrance et la folie de Thérèse alors que dans Germinal la personnification de la nature, la rend vivante et le soleil illumine le paysage dont celui-ci qui renaît comparer à l'incipit

compatie avec les sentiments du personnage. Il y a personnification de la nature en personne. Il se projette en la mature. La Nature est un symbiose (liée) avec le poète, elle souffre, elle tombe, elle vieillit comme lui. Elle lui sert donc de miroir. Elle tient le rôle d’un ami fidèle, le nb de personnification le souligne. La nature permet au poète de se confié et d’exprimer sa douleur. Chercher les principales figures de styles Personnification : Exemple « deuil de la nature » Parallèle : Exemple

fable richement vêtue et la vérité vieille et nue, personnification de la vérité et du mensonge. Aussi pouvons-nous nous demander comment l’auteur s’y prend-il pour transmettre sa morale. Nous verrons tout d’abord la double personnification présente dans ce texte, avant de porter notre attention sur la dimension polémique de cette fable. I. La double personnification 1.1 L’hideuse vérité... * Une personnification péjorative On remarque qu’une première

physique d’angelo L.1 arrivée dans le salon où il voit son reflet L.2-3 : détails de son visage en manque de soinL.3- 6 : détails de ses vêtements dans un état pitoyable L.6 : personnification arpions sauvagesL.7 : fin positive avec son regard + personnification « feux aimables » L.8 début du dialogue avec PaulineL.8 : Angelo s’excuse et se doute que pauline a peur de lui L.9 et 13 : Pauline fait tout pour s’occuper au mieux d’angelo en le mettant au

cailloux » (v4) → antithèse + métaphore « Le soleil rayonnait » (v9) → personnification « Et le ciel regardait » (v13) → personnification « Et de rendre au centuple à la grande Nature » (v11)→ hyperbole + personnification de la nature + allégorie « Carcasse superbe » (v13) → oxymore + hyperbole « Comme un fleur » (v14) → comparaison valorisante cohérente avec la strophe précédente « Noirs bataillons » (v18) → personnification= poétisation→ donner vie, animer ce qui est mort « Bourdonnaient » (v17)

violence. La métaphore est la façon que le poète a choisi pour mettre en scène le dépouillement et répète cette description en la synthétisant, par une personnification, celle de la nature et une nouvelle métaphore, celle de l’écrivain. Le rythme est ternaire. C’est l’aboutissement de ce qui précède, annoncé par ‘’puis’’. Poursuite de la personnification par un portrait physique : ‘’la stature, décoiffée, les bras ballants’’. Le cadre, le contexte, avec une accélération du rythme dans la description