Personnification

: partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) ♥ La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois  Il y a aussi des figures d'analogie : ♥ L'allégorie : on représente des valeurs abstraites avec des images concrètes ♥ La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal... ♥ La comparaison : Il y a un comparé (celui que l'on compare à quelque chose), un comparant ('quelque chose') et un outil grammatical de comparaison (comme, tel que...)

qui contraste avec le langage de Cy.- longue rep de Cy, virtuosité de son langage + personnification « vos mots à vous descendent : ils vont plus vite. Les miens montent, Madame : ils leur faut plus de temps ! » (l.7-8) => raisonnement logique. « ils trouvent tout de suite, oh ! Cela va de soit » (l.4) > question théorique.-connecteurs «puisque», «d’ailleurs» (l.5-7) raisonnement logique > personnification continue-rides d’opposition : «descendent»/«montent» ; «moi»/«vous» ; «vos mots»/«les

verbes sont après le complément : comme le verbe aller est avant le complément. Cela montre que le poète met un doute sur ce qu’il dit. Dans le 4ème vers de cette strophe, le vent est personnifié. « Le vent profond, pleure, on veut croire ». Cette personnification peut nous faire penser que le vent est triste car des mineurs sont morts à cause des Kobolds qui se trouvaient dans les mines.2ème Partie : Le 1er mouvement de questions-réponses Enrichissement du paysage haché parle ventLes strophes 2 et 3 sont

substitution Equivalence - figure de style d’équivalence 2- Les figures d’équivalences * Définition ; Elles montrent une similitude, un point commun entre 2 réalités * On y trouve ; la comparaison, la métaphore, la réification, la personnification, l’allégorie et la métonymie COMPARAISON ET METAPHORE COMPARE | COMPARAISON | OUTIL | COMPARANT | IMAGE | EFFET | Mme V | Est grande | comme | asperge | | Lien explicite | Mme V | Est * dure | *comme | Peau de

douze" Rimbaud parle de la guerre à travers la notion de liberté comme le souligne la personnification (v2) :" Qui , pâles du baiser fort de la liberté" La liberté est ici mise en avant et élevée au niveau de grande puissance avec l'adjectif qualificatif "fort"  : les morts sont libres et sont liberté. Dans "le dormeur du val" Rimbaud traite la guerre a travers une nature féerisée comme le souligne la personnification (v1) "chante une rivière" Rimbaud place ici la nature en marge , elle est bonheur

l'orange Phrase 1 – comparaison entre deux objets : l'orange et l'éponge. Elément de comparaison : veulent reprendre contenance après avoir été pressées – mais il y a également personnification : on comprend alors le lien avec le poète. "éponge" = Ponge. "avoir une aspiration", "reprendre contenance" : personnification. "subir l'épreuve de l'expression" : double sens sur "expression". Accent mis sur la difficulté de créer. La création poétique : le jus de l'orange ou de l'éponge. – Allitération

le lecteur dans une atmosphère idyllique et adopte un ton poétique. Le syntagme ainsi que introduit une première illustration qui présente la personnification de la couronne qui s’est composée sur deux rangs (l.11) et existe par elle-même. Celle-ci ceint le front clair-obscur des eaux (l.11 et 12). L’auteur procède donc à une double personnification de la couronne, symbole de la royauté. L’inversion du sujet et du verbe (…s’était composée…, la couronne naturelle,…) met en évidence la couronne

Lecture linéaire n°2 :« Le crépuscule », L’Ame en fleurs, Livre 2 : Les Contemplations , Victor Hugo Introduction : Il s’agit du poème « Le crépuscule », de Victor Hugo datant de 1856. Ce poème se situe dans la première partie des Contemplations, « Autrefois », dans le livre « L’Ame en Fleurs ». Il s’agit d’un poème composé de 7 quatrains en rimes riches. Ce poème est un souvenir amoureux.LectureAnnonce problématique :En quoi ce crépuscule présente la

réalité humain : «Elle vous fixe avec ses grands yeux blancs…On dirait qu’elle vous dévisage. On baisse les yeux, oui, en la regardant. » (p.11, ligne 72-74). Ainsi, la personnification utilisée justifie encore une fois que le récit de La Vénus d’Ille est bel et bien du genre littéraire fantastique. Enfin, la comparaison et la personnification employées dans ce récit exposent le lecteur à un malaise, puisqu’il ne sait plus différencier le réel du surnaturel. C’est ainsi à lui de décider s’il croit en la

Terre, la divinité Gaïa. GAÏA Mère Terre, fille du dieu Chaos, elle est l'élément primordial d'où naquirent les races divines. Elle donna naissance, sans la présence d'aucun élément mâle à Ouréa (personnification masculine des montagnes), Pontos (personnification masculine de la mer) Ouranos (personnification masculine du ciel). Unie à Ouranos, elle donna naissance aux Titans, aux Titanides, aux Cyclopes et aux Hécatonchires. OURANOS Fils de Gaïa, il devient son égal et même le père de ses enfants.