Personnification

Premièrement, nous verrons que Rimbaud humanise progressivement le buffet au cours du temps, puis nous remarquerons que le buffet est un lieu de vie et de mémoire des générations. Proposition de plan : I – L’humanisation progressive du buffet A – La personnification de l’objet B – Familiarité avec l’objet II – Le buffet, un lieu de mémoire et de vie A – Témoin du passé B – Un flot de souvenir Conclusion : Dans ce poème, Rimbaud transforme le buffet, un objet trivial, en un objet extraordinaire témoin

déterminants démonstratifs - ce sont ses compagnons, ses amis car ils ont bercé ses moments heureux avec George Sand. Il se reconnaît en eux et elle n’étant plus là, il se ressource auprès d’eux : personnification de la nature et synesthésie dans « sable muet» - peint la nature avec justesse, mais associée à des évènements intimes, vécus :

représentent les danseurs c’est une métonymie a effet de personnification et enjambement interne. V7 : « la musique » jetant les notes à poignées », c’est une métonymie a effet de personnification avec un enjambement à la fois interne et externe sur ce vers. V8/9 : « et l’archet, Bondissant », c’est une métonymie à effet avec un enjambement externe V11 : « L’heure emporte en riant », c’est une métonymie à effet de personnification Un mouvement de tourbillon donne la qualification

mais garde une régularité et une harmonie au niveau des rythmes. Au début le poète donne une définition de la Nature. Il évoque aussi et beaucoup les sensations. On peut voir aussi qu'il joue sur différentes figures de réthorique telles que la personnification "vivants piliers" = arbres, l'antithèse "nuit/clarté", l'harmonie imitative de l'échos au vers 5... etc. Pour Baudelaire tout est lié et le poète est l'intermédiaire entre la Nature et l'Homme. L'albatros p.54 : Ici apparaît le registre pathétique

nécessitais par le billait de l’accumulation « l’huile est cher, le bois est cher, le pain est cher » (v.13). On apprend donc que le coût de la vie augmente en hiver. Le poète insiste sur le fait que la fille manque d’argent via l’euphémisme et personnification « La faim passe bientôt sa griffe sous la porte » (v.15) le poète personnifie la faim comme étant un monstre qui qui viens tuer la jeune fille. Et désigne la mort par la faim. Puisque cette dernière peut mener à la mort. Dans cette

remords, qui signifie : « une peine morale d'avoir mal agi »DictSansAgent. Donc son secret, son amour voilé en autres mots, est donc attribué à une honte selon elle, une honte d'avoir mal agi. Ensuite, elle attribue la personnification de son secret à des cris. Cette personnification est ce que Phèdre nous illustre du portrait de son amour. Des hurlements de la honte qu'elle éprouve en parallèle avec son amour pour Hippolyte. Bref, l'on peut imaginer Phèdre courant en pleine vitesse tête directe vers

le monde à conjurer la puissance maléfique des ondines en s’entourant de femmes ordinaires « fille blonde » inexpressive « regard immobile » sages « nattes repliées » Strophe 3 : L’ivresse du Rhin Surprise car REPETITION x2 du « Rhin » et PERSONNIFICATION du Rhin METAPHORE des étoiles qui « tombent » dans l’eau Au chant est associé le thème de la mort « râle » « mourir ». On découvre le vrai visage des Ondines, sorcières jeteuses de sorts car « incanter » = ensorceler Dernier vers : L’éclatement

pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous au côté droit. Octobre 1870 . Arthur RIMBAUD, Poésies, 1870-1871 QUESTIONS I. La personnification de la nature 1. Qu’est-ce qui permet de dire que ce texte est une poésie. Appuyez-vous au moins sur trois éléments. (1.5 point) 2. Vers 2-3 : « Accrochant follement aux herbes des haillons d’argent ». Quelle est la figure de style utilisée

tout, le personnage accepte la mort de la nature. IS1-En effet, il ne montre aucun signe de révolte face à ce deuil prochain. * « Le deuil de la nature convient à la douleur et plaît à mes regards » (vers 3 et 4) Cette citation est une personnification puisqu’on attribue le concept abstrait d’un deuil à la nature qui ne peut visiblement pas ressentir des sentiments. L’automne est la mort de la nature, mais cette mort est belle d’un sens puisqu’elle est remplie de feuilles de couleurs, d’air

femme joyeuse et séduisante. Cette image est soulignée par la musicalité de la répétition « d’un rire insensé, d’un rire de fin du jour ». Le Poète évoque également la sensualité de la femme : le terme « chevelure » y renvoie, ainsi que la personnification du baiser « le baiser se repose » (l. 1 et 2), qui semble montrer que la femme éveille le désir. En outre, la femme est gracieuse, comme le souligne l’hyperbole « ses pas majestueux » (l.10). Ainsi, le Poète évoque la femme aimée très élogieusement