Personnification

poète --> Même si l’énonciation reste évasive, le lecteur perçoit la présence du locuteur à travers la transfiguration du paysage, la personnification du paysage --> tonalité fantastique b) Personnification du paysage - Cadre naturel d’emblée hostile : réf. à des êtres vivants qui sont dans le folklore germanique des gnomes vivant dans les mines. - Personnification du décor à travers des phénomènes angoissants : « le vent pleure », « l’avoine siffle », « les buissons giflent », « les métaux crient

paisiblement ", " bercée ", " légère ". " à peine " et " un peu " accentue cet effet 2eme passage personnification du vent " arrivé " " lent " " tendait " -harmonie entre l'eau et la lumière " se baissant " et " se mêlait ", personnification du soleil " montait ", " sous lui ", " coquetterie ", " s'enveloppa " " voilait " " dardait ", " faire fondre ", " toute sa force " 2eme passage personnification du soleil " épuisé " " suivant sa route " " arrondie " " s'approche " -harmonie entre l'eau et la

ondulations, crevasses ». L’effet de la métaphore filée s’accompagne subtilement de celui de la personnification, elle-même filée : après le constat du magma « en train d’éructer » (L.5). Ponge décrit ainsi une lumière qui « couche ses feux, sans un regard », préparant, dans le paragraphe suivant, la personnification péjorative « du lâche et froid sous-sol ». * Par la métaphore et la personnification filée, le poète engage ainsi son écriture dans un processus de confusion de l’anthropologique

Séverine a réchappé de l'accident, Flore  se donnera la mort en se jetant sous un train. Le déraillement de la Lison vient juste de se produire. Plan : I) Pourquoi j'ai choisi cet extrait  - Scène tragique, scène clé du roman - Personnification de la Lison ---> La Bête Humaine - Comportement de Jacques II) Analyse de l'extrait - Agonie et Mort de la Lison, un des principaux personnages. - point de vue narratif : la scène est vue à travers le regard de Lantier (focalisation

affirmations. -présence d'une personnification(donner des caractéristiques animées à quelque chose d'inanimé) -> voyelle=abstraite+ inanimé -présence vrb de mouv « courir » => animation -personnification ici-> rendre concrète idée abstraite -> va permettre d'imaginer, visualiser l'idée de Boileau -heur= synonyme  « douleur », si la voyelle se précipite elle risque de se prendre un mur. si la voyelle se précipite le poème ne peut avancer.V7-V10 : poursuite personnification-> « blessé »(V10)

plate » : désigne les habitants d'Argos. Connotation péjorative. « Je bondis sur l'insecte, je vous le saisis et je vous le ramène » : rythme ternaire qui dévoile la facilité d'attraper la femme. « Voilà ma pêche » : métaphore filée d'Argos. Dé-personnification. « Regardez-moi l'horreur ! Hou ! » exclamative, interjection de dégoût. Impératif. « Vous autres » : désigne Argos. Généralisation. « Glaives » : évocation du meurtre. « Rougis à blanc » : connotation évoquant le sang. « Ces soubresauts

procédé fiche f) voir fiche Exercice 2 : Procédés rhétoriques : sur feuille ⁃ Personnification : vert ⁃ Périphrase valorisante : jaune ⁃ Enumération qui met en valeur la personnification, rythme ternaire = amplification de la personnification : entouré au crayon gris ⁃ Anaphore de la forme « l'échafaud n'est pas... » = de la négation = Pas de machine, etc = donc humaine = donc personnification. Exercice 3 : Rappel d'un discours bien mené dans le domaine de la justice : ⁃ Exorde :

bergère (référence à la littérature ancienne : Honoré d’Urfé (début du XVII) auteur d’un interminable roman, mettant en scène, dans un cadre bucolique les amours de bergers et de bergères. Référence à la littérature du début du XVIIe siècle ? + Personnification // robemétaphore filée du troupeau (de moutons) qui bêlentGardée par la bergère tour Eiffel (petit jeu de mots : elle se trouve sur les berges de Paris)Associations, à nouveau d’un élément de la modernité : les pontsApollinaire annonce ainsi

LECTURE ANALYTIQUE 1 Comparaisons, métaphores et personnifications La récurrence du mot comme dans le sonnet souligne le nombre et l'importance de rapprochements qui se font sous forme de comparaisons. On observe aussi d'autres figures d'analogie comme les personnifications et les métaphores. Ces différents figures mettent l'accent sur la notion de « correspondances », encore appelées synesthésies, et explicitent le titre. Métaphores et personnifications : les premières analogies du texte se situent

choix du terme « teint » (v. 6) désigne explicitement une femme puisqu’il s’agit d’une particularité humaine. Cette mise en parallèle se marque également par le déterminant possessif « votre » et la structure comparative « au votre pareil ».  La personnification de la fleur « elle a dessus la place » (v. 8), « ses beautés laissé choir » (v. 9), donne à la fleur des attitudes humaines, favorisant le rapprochement entre la femme et la fleur.  Son mode d’apparition « ce matin avait déclose » (v. 2), « …