Perte D Humanité

c’est-à-dire l’antériorité à toute réflexion, de ma responsabilité envers autrui, de mon respect de lui, responsabilité engagée, respect incité par la reconnaissance spontanée de son humanité, lisible en particulier dans l’expression, dans « l’apparition » du visage et, plus particulièrement, du regard de l’autre, humanité d’autrui dont le rejet constitue ainsi d’emblée une conduite criminelle et inhumaine- Lévinas s’appuie ici sur les analyses de la phénoménologie pour souligner, dans la manifestation

garantir sa source de revenu… sûrement Logique du donnant/donnant: « Nous ne nous adressons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme ; et ce n’est jamais de nos besoins que nous leurs parlons, c’est toujours de leur avantage » Même s’il n’est pas moral, il me rendra le service que je lui demande le mieux possible Parler à son égoïsme est toujours utile (sans le dévaloriser), parler à son humanité ne l’est pas toujours La main invisible II « Chaque individu met sans cesse tous ses efforts à chercher

semblent coupés du monde Les détails: Le sexe du joueur de droite est apparent (perte de dignité ?) Un joueur a deux cartes identiques (on peut être mutilé et garder sa personnalité). Importance de l'oeuvre Ce tableau nous montre les horreurs de la guerre. En effet, les personnages sont tous blessés, ils ont des prothèses à la place des mâchoires, des jambes etc … Pourtant, ils sourient. La guerre retire toute humanité aux combattants. Ces hommes sont coupés du monde. Ils sont exclus de la société

heureux ». - La censure : «Mais qui donc est de taille à pouvoir m’arrêter ? » (vers 29) et «On me dit à présent que ces mots n’ont plus cours» (vers 25). Le texte fait référence à la Shoah, où les déportés subissaient une déshumanisation, une perte de leur identité. Bien que la chanson soit un hommage aux victimes des camps nazis, Jean Ferrat parle d’Auschwitz seul camp où les prisonniers avaient un numéro tatoué « Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres » (vers 5) il exprime

nouvellement acquis (par fortune heureuse ou vertu) Les subdivisions en deux parties donnent une impression d’assurance et d’objectivité - Chap II : Dans un principat héréditaire le prince a seulement à prolonger l’ordre établi. En cas de perte du pouvoir il peut espérer y revenir dès la tourmente passée. (référence au Prince Naturel, inscrit dans la coutume). Un prince héréditaire n’a pas besoin de violence car le peuple est accoutumé à l’oppression, les sujets n’ont ainsi pas plus le goût

valeurs tandis que l’altérité devrais renvoyer à la bestialité. On préfère diagnostiquer l’absence de culture plutôt que la diversité. Les distinctions du type « sauvage « « civilisé » révèle un mode de pensé archaïque. Il faut donc penser une humanité qui transcende les différences culturelles. L’idée est de dire que toutes les cultures se valent. 5. Autrui est la conception phénoménologique du monde. Il s’agit de se demander quelle est le statut de l’autre dans une philosophie de la conscience

| |L’humanité est broyée |L’homme devient un |La crise de civilisation entraî- |L’homme est obligé de se | | |par la machine ; seule |animal, voire un robot |-ne la perte de certaines |plier au rythme de la machi- | | |compte la production |asservi à la machine |valeurs (sentiments… |-ne, alors que ce devrait être |

produits qu’il produit. On pourrait aller plus loin, l’homme de la société des échanges va s’aliéné aux besoins d’autres hommes, cette aliénation retire à l’homme son humanité en faisant de lui une marchandise. Ainsi, l’homme en passant de la communauté du don à la communauté de l’échange, à gagner en évolution mais aurait perdu son humanité. La société des communautés régit par l’échange a conduit à un asservissement des hommes. Mais par de là cette forme de deshumanisation par la domination de

intervenait ce printemps dans un établissement après une formation à l’Humanitude me précisait : « les professionnelles s’interrogent sur le fait qu’on leur dise qu’elles travaillaient avant en dehors de toute Humanitude, ce qu’elles traduisent par humanité. Elles en sont apparemment très choquées et culpabilisées ». Le risque est aussi que, dans l’esprit de certains, les vieux ne relèvent plus de l’humanité mais de l’Humanitude, une sous-classe dans l’embranchement de sapiens. On voit déjà combien

le naturel est au service de l'illusion théâtrale. En effet, le jeu des acteurs, lorsqu'il annule la distance entre le personnage et la personne, peut servir l'illusion. Il y a alors une confusion entre lieu de la représentation et réalité. Cette perte de repère, pour le spectateur, génère l'illusion. Ainsi, il y a confusion entre le personnage et la personne. En effet, les acteurs jouent « avec naturel » en se servant de leur expérience émotionnelle pour jouer. Ils s'inspirent donc directement