Perversion narcissique

situation d’allégeance par rapport à la réalité, réprime un fragment du ça (vie pulsionnelle), tandis que le même moi dans la psychose, se met au service du ça en se retirant un fragment de réalité » (extrait de son ouvrage Névrose, psychose et perversion). Et plus loin : « …la névrose ne dénie pas la réalité, elle veut seulement ne rien savoir d’elle, la psychose la dénie et cherche à la remplacer ». Pour élaborer votre réponse, vous pouviez vous référer au début du livret : Quelques points de

Attribut de Typhon (le monstre qui, en s’attaquant aux dieux de l’Olympe, engagea la lutte entre la lumière et les forces souterraines), le roux a symbolisé dans toutes les mythologies les tendances animales de l’homme, la fécondité extravagante, la perversion, la concupiscence et leurs conséquences : intempérance, débauche, violence, égoïsme. Le Vert: Couleur de la nature, douée d’un pouvoir de régénération, car elle capte l’énergie solaire et la transforme en énergie vitale. C’est le symbole de le

victime + "triste" (sens au XVIIème siècle = malheureux) • vocabulaire de la violence mis en relief par le contraste douceur / victime : "arracher" vers 9 (enjambement), "flambeaux", "cris", "farouche aspect", "fiers ravisseurs" (oxymore). B. La perversion • voyeurisme de Néron qui se nourrit de cette vision pour fantasmer toute la nuit ensuite • amour d'une image seulement : Junie = une idole = l'incarnation de l'innocence, d'où le champ lexical du regard : son image le poursuit + "j'idolâtre" :

le fils de sa nourrice, ils vécurent tous deux leur enfance vêtus de robes et couverts de bijoux. Voilà d’où provient pour Timoléon de Choisy cette apparence féminine dont il ne pourra jamais se défaire. De plus, c’était un être extrêmement narcissique, il fut toujours adoré et adulé par tout le monde, de la province à la cour de Louis XIV. Malgré son apparence féminine et très soignée, ses traits fins, ses apparats omniprésents, cet homme était hétérosexuel et eu nombre de conquêtes dans

sociales ambiantes, aux manières dont, dans un milieu culturel donné, l'on définit implicitement ce qu'est une vie estimable parce que réussie. Freud nomme « idéal du moi » ce pôle de référence. C'est en ce sens que, d’après lui, la structure narcissique implique paradoxalement un moment social, une intégration de quelque chose de social au cœur même de l'intimité subjective. En 1920, dans Psychologie des masses et analyse du moi, cette approche se trouve confirmée2, à cette nuance près que

c) La « crise de l’esprit » selon Paul Valéry d) La « catastrophe » de l’homme contemporain selon W. Benjamin 2) L’émergence du patrimoine lors de la crise révolutionnaire de 1789 3) La question de l’identité communautaire 4) Mauvaise identité narcissique et bonne identité ulysséenne IV - Le concept de culture 1) Le sens ontologique 2) Le sens anthropologique 3) Le sens humaniste V - Identité et patrimoine entre mémoire et histoire 1) Le patrimoine entre identification et désidentification 2) Culture-enseignement

mécanismes de défense sont la pour laisser le temps au moi de réagir sans se détruire, le temps de s’adapter à une représentation t de permettre à la personne d’établir un nouveau rapport entre le monde et elle-même. Ce sera plus supportable sur le plan narcissique et plus économique sur son fonctionnement psychique. Il faut qu’elle soit adaptée à la réalité environnante. Freud étudie différentes défenses : Le refoulement : c’est le mécanisme le plus important. Le refoulement est le rejet dans l’inconscient

magnétisme et somnambulisme. Ainsi va naitre un nouvel objet d’étude : la psychologie des foules dont les pères fondateurs sont Le Bon, Tarde et Freud. Ces derniers pensent que le meneur dans une foule est un hypnotiseur et particulièrement un narcissique pour Freud et que l’homme en foule est semblable à un somnambule pour Tarde. Pour résumer, ces penseurs ont institué une dualité de non réciprocité définissant le rapport d’influence: une source et une cible d’influence qui chacune à sa loi psychologique

processus d’organisation de la personne-ce processus incluant à la dois des facteurs relationnels et des aspects de structure. »[7] Ajuriaguerra les définit comme "diverses organisations dynamiques, qui à la faveur d'une carence précoce d'apport narcissique, se traduisent un jour ou l'autre, de façon immédiate ou progressive, par l'indistinction du sujet et de l'objet, l'absence des limites du Moi, par l'indistinction entre pulsion, réalité, fantasme". Ou encore comme « un trouble de la personnalité

des narcissismes en quête d’un nouvel espace d’épanouissement et de conquêtes. C’est ainsi que les espoirs déçus se redéployèrent dans un nouveau credo : une « libération homosexuelle », fondée sur l’amour du même. Amour-miroir, plus que jamais narcissique où est éludée la rencontre avec l’Autre, c’est-à-dire la problématique de la différence sexuelle qui lui est sous-jacente. Un avant-gardisme régressif Si l’homosexualisme ambitionne de promouvoir l’émergence d’une post-humanité affanchie de la