Pèse-personne

|Il ne peut y avoir aucune entente entre les|Autant de poursuites que de |Vol en réunion commis par | | |personnes : seul le hasard d'un |participants. Comme si |plusieurs personnes | | |rassemblement de personnes les a fait |l’infraction avait été commise par| | | |participer à une même infraction

vie au détriment de la mort. Elle doit garantir ce traitement égal, car il n’y a personne qui mérite plus de vivre qu’un autre, à mon point de vue. Voici comment j’élabore cette solution. Je crois que les personnes les plus en danger de mort, démunie ou riche, devraient avoir la priorité sur tout être vivant. Par exemple, nous devons favoriser une personne qui a reçu une balle de fusil dans le cœur comparé à une personne qui s’est coupé le doigt. Je nommerai donc ce concept comme suit : choisir la

collectif, « on vient de le voir se dresser » et d’une énonciation tout au long du texte du pronom personnel indéfini de la troisième personne du singulier « On » appuyant donc sur la réflexion intérieure du narrateur. Dans le texte C, nous sommes au début du roman, où le narrateur se retrouve sur un champ de bataille. Il utilise comme énonciation la première personne du singulier « je », c’est donc à la fois lui qui décrit la scène et qui la vît. De ce fait il met en avant ses opinions, « ces allemands

services dont la consommation respecte le principe de non rivalité et à la charge de l’Etat. Il s’agit de biens non divisible dont toutes personnes peuvent bénéficier de leurs usages ( tel que l’éclairage public, les équipements sportifs, aller à l’école..) contrairement aux biens privés dont la consommation par une personne exclue toute consommation d’une autre personne. C’est la distorsion entre une rentabilité privée insuffisante et une rentabilité collective élevée qui rend nécessaire l’intervention

Le parloir est le lieu de rencontre où le détenu peut être visité par sa famille, ou encore des visiteurs de prison bénévoles. Généralement, le parloir se déroule dans une petite pièce, où se trouvent une table et deux chaises. Mais i peut aussi y avoir le parloir,où le visiteur et le détenu sont séparés par une vitre, et communiquent par le biais de téléphones placés de chaque coté de la vitre. Un parloir doit obligatoirement être pris sur rendez-vous. Le nombre de visites permises varie

d'arbres. Le sol était fait d’une matière extrêmement lisse que je ne réussissais pas à identifier. De longs véhicules aux formes étranges, harmonieuses, planaient à environ un mètre du sol, se croisaient avec sûreté sur cette voie. De nombreuses personnes se déplaçaient également de part et d’autre, sur des chaussées au moins aussi larges que la voie principale. Ces gens utilisaient toutes sortes de moyens de transport : les piétons côtoyaient des cyclistes, qui croisaient des cavaliers, d’autres

sont criantes. Son intention n'est pas explicite mais on peut la distinguer très facilement lors de la lecture du texte. Elle est directement liée à un intérêt collectif, en effet, la société ne condamne rarement qu'une seule personne, ce sont souvent un groupe de personnes qui est opprimé. L'extrait dont il faut rendre compte est séparé en trois grandes parties, ces trois grandes parties contiennent chacune une thèse appuyée par toute une série d'arguments différents. Nous avons ici un raisonnement

ne semble former qu’un personnage ou un personnage unique. Lorsqu’ils sont eux-mêmes narrateur, ils se désignent par le pronom personnel sujet « on » « on est des vieux fous » l.28; quand l’homme est le narrateur ils sont désignés par la deuxième personne du pluriel « Si quelqu’un vous faisait une offre supérieure » l.3, « J’ai votre parole » l.4 dans le dialogue. Et « je les ai vus » l.36, « je leur ai parlé » l.36 dans le récit. Le couple s’identifie aussi avec des termes péjoratif : « tu es une

l’impression, comme lui-même le dit qu’un lien de confiance s’est tissé entre les détenus et lui. Ralph ne trouve pas les détenus comme extrêmement dangereux. Il les qualifie seulement «d’enfants dangereux ». Pour Ralph, les personnes détenues a la prison des Baumettes sont des personnes comme toutes les autres, a part peut-être qu’elles ont commis une ou deux erreurs plus ou moins graves. Ce qui en passant peut arriver à tout le monde. Ralph s’étonne même que jusque-là aucun détenu ne lui ait demandé de

chaque personne. La preuve en est que les divergences sur des sujets identiques sont innombrables. C’est constatable en politique, ou lors de débats quelconques. La vision des choses varie alors d’un individu à l’autre, en fonction de facteurs variables tel que son passé, ses acquis, ses opinions, son éducation, son esprit et son développement jusqu’au moment ou il interprète l’information. En effet, ces différents facteurs modifient la façon d’encaisser une information pour la personne. Par exemple