Petits frères des Pauvres

|- « en 3ème classe » (n’existe plus aujourd’hui). | |- employés de bureau |- le voc des persos [« Fichtre ! » (Bon sang !), « Ca enfonce Valognes » (surpasse la petite ville normande] et | |- un grand magasin  |du narrateur : « magasin de nouveautés » (ancêtre de la grande surface, surtout tissus), « capelines » (cf | |- ( « voiture » (calèche) |image).

pas Enthousiasmés, nous nous précipitâmes, dans ses jambes, à la portière La fin de cette tirade s'adressait à un monsieur ennuyé que nous sûmes ainsi être notre père Au même instant, elle annonça Nous nous retrouvâmes par terre Où était-il le petit frère ? Celle qui m'échut était beaucoup trop lourde pour mes huit ans Bien entendu, nous sanglotions s'enquit prudemment ce jeune homme, déjà peu loquace Il portait un grand nez et des bottines à boutons Il portait un grand nez et des bottines

situé au début dans l’angle de la rue Michodière. C’est le lieu principal où se déroule l’histoire. Durant le livre, il s’agrandit beaucoup car son directeur M. Mouret gagne beaucoup d’argent. Ce grand magasin ne fait que nuire aux petits commerces des rues voisines. Les petits magasins ne gagnent plus d’argent car le Bonheur des Dames contient tous ce qu’il faut. Impossible pour eux de survivre. C’est ainsi que Robineau, Bourras, et l’oncle Baudu sont ruinés. Chaque les recettes du magasin ne font qu’augmenter

Situer lʼartiste et son oeuvre dans son époque Lʼartiste : Son origine sociale et son milieu : Il naît dans un quartier pauvre de Londres, il est le fils de deux artistes du musique-hall de Londres, il as plusieurs petits et grand frères, sa mère tombe malade et doit se faire placer dans un hôpital pendant que son père est en tournée au États Unis, il doit alors aller lui et ses frères dans un orphelinat Londonien, sa mère allant mieux, elle reprends le théâtre jusquʼau jour ou sur scène elle ne peut

sais pas. Ca me fait une belle jambe à moi d'être belle. Je suis pauvre et j'habite dans le trou du cul du monde. Avec mon père, ma mère, mes quatre frère et mes trois sœurs. Mon père serait incapable de vous dire, si je suis belle, ma mère aussi. Ils diraient tout au plus: « C'est une fille travailleuse Jbara. » Il me pénètre et moi je ne pense qu'à mon Raïbi Jamila, un délicieux yaourt à la grenadine. Un jour, ma mère la pauvre elle m'a dit que ce qu'il y avait de plus haram (interdit) dans la

de pauvreté et se nourrit grâce au travail et à l'aumône. Il se vêtit d'une tunique simple, une corde lui servant de ceinture. Il travaille au près des pauvres et des lépreux. Il est alors rejoint par Bernard et Pierre de Catane, puis d'autres compagnons se présentent à eux. François se retrouve vite à la tête d'une petite communauté. A ces frères , il impose la pauvreté, en effet, sa conviction première est de mépriser la gloire et la richesse dans l'unique but de se consacrer à Dieu et sa création

Poésies, « L’Epitaphe Villon » (dite « Ballade des pendus »), XVème siècle. Dans cette ballade, Villon donne la parole aux pendus qui s’adresse aux vivants. |1 |Frères humains, qui après nous vivez, | | |N'ayez les cœurs contre nous endurcis, | | |Car, si pitié de nous pauvres avez, | | |Dieu en aura plus tôt de vous mercis[1]. | |5 |Vous nous voyez ci[2] attachés, cinq, six :

Emile Zola La Fortune des Rougons Dans la préface de Germinie Lacerteux (1864), les fréres Goncourt écrivent, en s'excusant auprés des lecteurs : "Le puplic aime les romans faux, ce roman est vrai." Commentez et discuter ce jugement à partir du roman La fortune des rougons de Zola. Emile Zola (1840-1902) est un écrivain célèbre du XIXe siècle. La Fortune des Rougon (1871) sert d'introductions aux vingts volumes qui suivront, où il retrace la vie d'une famille : les Rougon-Macquart. Dans

dans ses origines les origines d’un ordre religieux. C’est moins une institution qu’un idéal ! La Chevalerie du XI et XIIième siècle n’a jamais été héréditaire et il a toujours fallu un rite spécial (adoubement) pour faire un chevalier. Le plus pauvre, le plus humble des chevaliers était l’égal d’un chevalier-roi, d’un chevalier-empereur. Ils avaient passé le même rite et appartenaient à la même confrérie ! C’est l’affirmation du Droit égal pour tous. Cependant, aucune femme n’est admise

Fiche de lecture n°3I- La partie informative« Petite Princesse » est un roman pour la jeunesse écrit par Frances Hodgson Burnett . Il est publié en 1905 aux États-Unis et édité par Pocket junior. Frances Hodgson Burnett de son vrai nom Frances Eliza Hodgson, née le 24 novembre à Manchester  et décédée le 29 octobre 1924 à New York. C’est une romancière anglo-américaine, elle est connue pour être l'une des pionnières du  roman d'apprentissage