Peur rouge

les coudes. Il tenait sa casquette dans son battoir de main, ce qui était aussi bien car perché sur sa tête ronde comme un ballon, elle aurait fait penser au petit calot du singe joueur d’orgue de barbarie, sauf qu’elle était bleue au lieu d’être rouge. » Dans ce passage, nous pouvons remarquer la taille gigantesque et la carrure de John Caffey décris par Paul. L’auteur utilise dans sa description différentes métaphores qui servirons à mieux nous le représenter. Tel que  : « Une véritable armoire »

couleurs • Primaires : Rouge/Magenta, Jaune, Bleu/Cyan • Secondaires : Orange Violet Vert, sont obtenues par le mélange en quantité égale de deux couleurs primaires bleu + jaune = vert jaune + rouge = orange bleu + rouge = violet • Tertiaires : couleurs obtenues par le mélange en quantité égale d’une couleur primaire et d’une couleur secondaire voisine c’est à dire consécutive sur le cercle chromatique : violet bleuté - vert bleuté - jaune verdâtre - jaune orangé - rouge orangé - rouge violacé • Complémentaires

présentes dans l'ensemble du triptyque comme symbole de calme dans les panneaux latéraux. Dans le panneau de gauche, les soldats quittent le calmer pour monter au front et faire face au massacre tandis que pour le panneau de droite, le noir et le rouge sont derrière les soldats qui reviennent dans le blanc. Ce même blanc peut également symboliser l'espoir. Les couleurs claires sont au loin, à l'horizon à l'instar de l'espoir. Cependant, dans l'ensemble de l'œuvre, ces couleurs prennent le pas sur

grand nombre d’autre dangers. 2. Analyse de l’œuvre, dénotation Définition du mouvement artistique Cette œuvre fait partie du mouvement romantique. Dans le romantisme, les artistes montrent dans leur peinture des émotions fortes comme la peur, l’affliction, l’amour vrai. Le langage de l’œuvre L’œuvre est une peinture sur toile. Le tableau est composé de lignes horizontales et verticales voulant montrer les enfants et les différents symboles. Chaque coin est un domaine d’intérêt

qui nous annonce déjà l'atmosphère macabre, fantastique et enchanteresse dans laquelle la pièce va se dérouler. La nourrice arrive en chantant sur scène avec un costume somptueux propre à l'opéra chinois. Elle porte une grande coiffe, sa robe est rouge pourpre et blanche avec quelques dorures et de très grandes manches. Elle est maquillée assez simplement par rapport à ce que nous avons pu voir dans d'autres pièces, élément contemporain nous semble-t-il. Son visage est blanc avec des joues roses

il explosa en un million de petites particules dorées et argentées. Un magnifique papillon d’un bleu profond apparut et vint se poser si délicatement sur l’épaule rougi par le soleil de la jeune femme qu’elle n’osa pas interpeller son compagnon par peur d’interrompre ce moment si beau , magique comme on aimerait tous en vivre au moins une fois : une parfaite communion avec la nature, la fusion. Pourtant, de l’autre côté du rivage, il avait tout vu. Au fur et à mesure, il se rapprocha de sa tendre

que l'absence du narrateur rend encore plus brutale. Les sensations visuelles reposent d'abord sur deux couleurs contrastées et franches : le noir de l'herbe et le rouge des forges. C'est donc une scène de nuit, sans repères, un univers angoissant dont la lueur de la lune, si chère à Verlaine, est absente. La violence de la couleur rouge s'oppose aux habituelles demi-teintes du poète. Les sensations sont soudaines et brusques, le buisson qui " gifle l'œil" se comprend comme une marche dans une nature

fer, conduit leur marche, l'Orgueil ricane d'une façon stridente. Antoine dans sa cellule frémit. à mesure qu'elles approchent, une des ombres précédentes apparaît dans sa forme particulière et se mêle à leurs groupes. C'est d'abord : la Luxure, rouge de cheveux, blanche de peau, très grasse, vêtue d'une robe jaune rehaussée de perles et de diamants. Elle est aveugle. De ses doigts chargés d'émeraudes, elle relève sa robe doucement, jusqu'à la hauteur des chevilles. La Gourmandise a le cou maigre

longtemps, il a pris l’habitude de se scarifier les cuisses, incapable qu’il est d’exprimer sa souffrance et sa solitude. Il lui faut chaque soir « libérer son sang » pour se sentir mieux. « Tant que je saigne, je suis vivant », dit-il. Car Dam a peur, de tout le monde et surtout de luimême. Samy, à l’inverse, est un garçon bien dans sa tête et dans son corps, et sait dire très naturellement son attirance pour Dam. Les deux garçons finissent par s’afficher ensemble au collège et tant pis si on

chef la courbe et le vert, pour ne plus s'exprimer que par « l’abstraction de toute forme et couleur, c'est-à-dire [...] la ligne droite et la couleur primaire nettement définie14. » Il travaille donc à partir de 1920 avec les couleurs primaires : rouge, jaune et bleu, qu’il associe au blanc, qui lui sert de fond, et au noir, qui délimite les couleurs entre elles. Il structure ses œuvres de manière géométrique en utilisant essentiellement des formes rectangulaires et des lignes d’épaisseur variable