Peur rouge

Georgette : Martine Thinières Enrique, le notaire : Thierry Gibault Oronte : Daniel Delabesse La pièce se déroule en plein air dans la cour d'honneur de l'ancien palais des papes. û La mise en scène de la pièce : Totalement obnubilé par la peur du cocuage (d’être cocu ou cornard), Arnolphe fait élever, dans l’ignorance la plus totale, Agnès alors âgée de 4 ans jusqu’à ce qu’il puisse l’épouser. Cependant, tout se détraque dès qu’un jeune blondin séduit la jeune fille. Agnès découvre alors

veut me faire comprendre que le danger approche : il faut se mobiliser et que deux camps lutte (le bien contre le mal) : c’est un combat de civilisation. pour faire comprendre cela l’auteur utilise : les émotions, les sentiments : ici, il utilise la peur. Il utilise aussi la combinaison d’effet rhétorique (slogan) et d’effet plastique (les couleurs ; la symbolique). Description et analyse : On peut voir : - une baïonnette sanglante sortant du cadre qui fait comprendre que l’ennemi arrive.

l’avais donc tué ! J’étais heurté par ce qu’il venait de se passer et décidai de stopper la boxe pendant quelques mois. Après une période de trêve, je repris mon activité sportive. Mais quelque chose avait changé, je frappais de moins en moins fort de peur de tuer encore une fois. Je perdais tous mes combats et j’allais finir parmi les moins bons boxeurs. Mais ce n’était pas ça le pire, le pire c’était que j’avais l’impression que l’esprit de Juan Hernandez me hantait ! La dernière fois, pendant que

esthétique des arts qui se répand. C'est un mouvement auquel on associe l'idée de surcharge décorative, d’exubérance, de contraste. Les modes en matière de maquillage suivent les courants artistiques. À cette époque, on ne supporte pas la nature, on en a peur, l'artifice prévaut. Contrairement au maquillage des Geishas, le maquillage à cette époque en France est un ''effet de mode'' et non une tradition. À la cour de Louis XIV on se considère comme beau seulement ce qui est ''artifice''. Pendant cette

de couleurs privilégiées, une trichromie de l’Antiquité : Le rouge, le noir et le blanc. Ces trois couleurs étaient directement liées aux éléments de la nature, le rouge couleur du feu, le blanc couleur de l’eau, le noir couleur de la terre. Le rouge ou pourpre était représenté grâce au sang ou la terre (ocre rouge) et avait un véritable statut de couleur dans l’Antiquité. Les symboliques du rouge différaient selon les cultures : En Égypte, il représentait

   Le soleil clair ne se voit pas:   Bouche qu'il est de lumière, fermée   Par le charbon et la fumée,  Un fleuve de naphte et de poix   Bat les môles de pierre et les pontons de bois;   Les sifflets crus des navires qui passent   Hurlent la peur dans le brouillard:   Un fanal vert est leur regard   Vers l'océan et les espaces.  Des quais sonnent aux entrechocs de leurs fourgons,   Des tombereaux grincent comme des gonds,   Des balances de fer font choir des cubes d'ombre   Et les glissent

yeux, prend une grande inspiration et regarde ses poignets, fragiles et zébrés de rouge sang, comme si un chat l’avait attaqué là, sauvagement, et elle comprend que ce n’était pas un rêve, hier. Qu’elle confond encore la réalité et le rêve. Elle pleure. Par sa fenêtre, elle entend les oiseaux et sent le vent frais sur sa peau. Elle sèche ses larmes avec ses doigts fins. Ses ongles sont longs et d’une couleur rouge vin, presque de la même couleur que ses cicatrices de poignet. Et de la même couleur

Erythrophores sont des pigments rouges qui contiennent des caroténoides. Les caroténoïdes sont des cellules pigmentaires, se sont elles qui donnent la couleur a la peau. Elles sont composées de carotène et de xanthophylles, se qui explique la couleur rouge du pigment. -La deuxième couche qui compose le derme est composé d'Iridophores : ce sont des chromatophore qui ne possèdent pas de pigments. En effet, -La dernière II.Les facteurs de son changement de couleur

Dans ce chapitre XLVIII , Boris Vian fait de l’usine où travaille Chick une véritable machine à tuer dans laquelle la peur règne . Le groupe nominal « la tôle bosselée » associé à l’adjectif attribut « chaude » affiche un côté insalubre  , ensuite Vian enchaîne en utilisant des personnifications  pour les machines : le groupe nominal « machine trapue » ainsi que « la gueule rouge sombre des fours de pierres » . Il utilise le groupe nominal « des appareils de toutes les tailles pour donner une impression

d'or, Le soleil clair ne se voit pas: Bouche qu'il est de lumière, fermée Par le charbon et la fumée, Un fleuve de naphte et de poix Bat les môles de pierre et les pontons de bois; Les sifflets crus des navires qui passent Hurlent la peur dans le brouillard: Un fanal vert est leur regard Vers l'océan et les espaces. Des quais sonnent aux entrechocs de leurs fourgons, Des tombereaux grincent comme des gonds, Des balances de fer font choir des cubes d'ombre Et les glissent