Peut On Concevoir Une Société Sans Violence

contemporains dans leur fondement ont essayé de rendre compte, d’analyser et d’interpréter les conditions sociales à l’ordre du jour dans les sociétés modernes. Ainsi présentant la société moderne comme une société ambivalente, celle du progrès et de la dégradation, de la liberté et de l’aliénation, de l’intégration et de l’exclusion, c’est aussi une société épistémologiquement en crise ; il s’agit pour les auteurs de comprendre les grandes tendances sociologiques dominant de cette époque. PIERRE

possible, elle ne peut se fonder que sur une lecture lucide du désir car la hiérarchie des désirs n'as pas d'autre but que d'assurer la santé du corps et la tranquillité de l'âme. Sans ces conditions primaires, aucune sagesse n'est possible puisqu'il n'est question de sagesse que dans l'absence de tout manque. GANDHI le bonheur passe par la capacité à profiter de l'instant présent, être ici et maintenant.Le désir est à la base de la souffrance qui est la première source de violence. Le désir se situe

se sait en elle-même infinie c'est-à-dire un pouvoir d’action illimité. Or pour cette volonté infinie la loi représente un obstacle puisqu’elle impose une limite à mon action. Le libre arbitre a donc une attitude négative à l’égard de la loi et l’on peut dire que la volonté infinie est en soi négation de toute limite, elle doit cependant le devenir pour soi, c'est-à-dire nier par son action toute tentative d’organisation sociale : « c’est seulement dans la mesure où elle détruit quelque chose que cette

Violences urbaines, réactions collectives et représentations de classe chez les jeunes des quartiers relégués de la France des années 1990 Laurent Mucchielli (article paru dans Actuel Marx, 1999, n°26, pp. 85-108) Résumé : Cet article propose une réflexion sociologique sur les « violences urbaines ». Il s'efforce de clarifier des débats parfois confus et des notions souvent mal définies. S'appuyant sur de nombreux travaux de terrain menés dans les quartiers relégués depuis

avec ce contrat de confiance : avec lui, chacun se dessaisit de son droit naturel (la seule chose qu’il « possède »). En adoptant ce dispositif, Hobbes rompt avec tous les penseurs qui ont usé de la notion de contrat pour penser l’origine de la société civile : il refuse toute convention ou pacte de soumission entre le souverain et ses sujets ; il défend le principe d’une souveraineté absolue : « En effet, un pouvoir sans limite, c’est la souveraineté absolue » (p. 238). Nous aurons à y revenir

. Dans la pensée antique, la politique était une science noble, c’est le lieu du bien vivre, l’homme peut atteindre le souverain-Bien. Avec Machiavel, la politique ne permet plus à l’homme de réaliser l’excellence de sa nature , mais un mal nécessaire , une nécessité imposée par la nature de l’homme ou la nature de la société. De Machiavel à Hobbes, se développe un nouveau courant de pensée, dont nous sommes encore

Elle est de plus un devoir, car elle doit faire passer l’enfant de la nature à la liberté ; c’est donc l’éducation qui doit et peut réprimer notre violence naturelle et nos penchants égoïstes. Kant nous montre bien que la discipline a l’avantage de faire disparaître les " penchants animaux " au moment même où la raison individuelle n’est pas encore constituée, et ne peut donc en annuler les effets. Cet accès à l’humanité signifie la découverte des lois qui la composent : il s’agit d’habituer l’enfant

l’AE-MCX, dont le président est Jean-Louis Le Moigne 2  D’APRES NOUS, QU’EST-CE QU’IL EST ESSENTIEL DE RETENIR DE CETTE LECTURE ? Après la lecture de cet ouvrage, la problématique posée est de savoir "comment peut-on réfléchir de la manière dont nous agissons dans un environnement complexe". Peut-on, par exemple, appréhender certains phénomènes sociaux sur la base d’une modélisation de la complexité, afin de prendre la décision la plus acceptable possible, vis-à-vis des parties en présence... ? Nous

institution politique souveraine qui organise la société au sein d’un territoire et est reconnu par chacun des individus, S'il est fréquent que la présence de l'État soit perçue de manière assez négative par les citoyens lorsqu’une sensation d’injustice se fait sentir, rare sont ceux qui s'affirmeraient prêts à vivre en dehors de toute organisation étatique : c'est que l'État présente aussi des avantages, que ce soit pour la stabilité de chacun ou de la vie collective en société, l’Etat est garant de la sécurité

sont fait pour mettre en valeur le comique. Ainsi les costumes sont choisis pour que les personnages paraissent plus drôles. Le metteur en scène peut également, par un choix intelligent rendre une pièce plus cocasse. Car si l’acteur joue la comédie, il doit s’investir dans son rôle en mettant une part de lui-même, de son propre caractère. De plus il peut préférer un acteur plus hilarant qu’un autre pour jouer le rôle du comique. Avec toutes ces facettes, le théâtre nous amuse. Cependant,