Peut On Dire A Chacun Son Gout

d'un médiateur culturelle peut bénéficier des travaux réalisés par Antoine Hennion sur le goût? » Introduction : Les sciences sociales remplissent différentes fonctions au sein de toutes les sociétés. Par exemple, les travaux d'Antoine Hennion ont apporté leur contribution à la sociologie du goût de conception pragmatique. En effet, « le goût est une modalité problématique d'attachement au monde », définit Hennion (A.Hennion, Pour une pragmatique du goût, 2005). Le goût est une activité réflexive

discute pas” entend-on souvent, ce qui voudrait dire que le jugement de goût est tout entier livré à l’arbitraire de chacun, et ce qui, au fond, reléguerait l’appréciation esthétique au même rang que le goût en matière de cuisine. Tout comme chacun est libre de préférer le couscous au cassoulet (et vice versa), il n’y aurait qu’une différence subjective entre Bach et le dernier des Boys Band. N’y a-t-il donc rien de beau en soi, aucun critère universel du goût, aucune hiérarchie qui puisse nous permettre

Peut-on convaincre autrui de la beauté d’un objet ? Kant. « Quand quelqu’un ne trouve pas beau un édifice, un paysage, un poème, il ne se laisse pas imposer intérieurement l’assentiment par cent voix, qui toutes les célèbrent hautement. Il peut certes faire comme si cela lui plaisait à lui aussi, afin de ne pas être considéré comme dépourvu de goût; il peut même commencer à douter d’avoir assez formé son goût par la connaissance d’une quantité suffisante d’objets de ce genre (de même que quelqu’un

Première partie (§1-5) : Kant détermine la qualité du jugement de goût Le jugement de goût n’est pas un jugement de connaissance, car la représentation d’un objet donné est rapportée au sujet et au plaisir (ou au déplaisir) causé par l’objet ; par conséquent, ce n’est pas un jugement logique mais esthétique, ce qui signifie que son principe déterminant est subjectif (§1). La satisfaction qui s’attache au pur jugement de goût ne doit pas dépendre de l’existence de l’objet de la représentation

très clairement c’est qu’est un jugement de goût (jugements qui attribuent le beau et le sublime) puis il fait une comparaison du beau avec l'agréable. Les jugements de goût sont esthétiques: dans les jugements de goût, la représentation est rapportée au sujet, et non à l'objet. Dans les jugements des sens (ceci m'apparaît rouge, j'entends un bruit), la représentation est rapportée aux seules facultés de connaître du sujet. Dans les jugements de goût, elle est rapportée aux sentiments de plaisir

Sujet : Une histoire de la beauté a-t-elle un sens ? La beauté est une notion extrêmement difficile voir quasiment impossible à définir de manière satisfaisante. Cependant ici par le concept d’histoire on comprend qu’il va s’agir d’analyser si le beau est susceptible d’admettre une temporalité. Pour y répondre, il va falloir s’interroger sur l’universalité du beau. Or, notre conception de la beauté semble inévitablement liée et influencée par la tendance de notre temps. Notre perception

Microsoft Word - À quoi reconnaît-on une oeuvre d'art ? .docxPage 1 sur 19 « À quoi reconnaît-on une œuvre d’art ? » Exercice introductif 1) Déterminez, parmi la série suivante, les objets qui à vos yeux peuvent être qualifiés d'œuvre d’art. 2) Pour chaque exemple, expliquez la ou les raisons qui ont motivé votre choix. 3) À partir des réponses précédentes, dégagez les différents critères qui permettent selon vous d’identifier une œuvre d’art. Remarque : afin d’éviter les

activité créatrice ? On peut penser que la nature incarne un tel model, car elle crée des êtres et des objets qui nous frappent par leurs beauté, de plus la variété et la richesse de ces créations semblent sans égales. La nature serait ainsi le model de toute création (nature = model car infinité de ces création pleine de beauté). Pb : si l’art copie la nature, en quoi est-il lui-même créateur, s’il se contente de reproduire ce qui existe déjà avant lui ? Donc l’art est condamné à la création monotone

qu’on ne peut discuter des goûts ? Le goût est lié aux tendances, aux préférences qui se manifestent dans le genre de vie et les habitudes de chacun. Ceci laisse ainsi penser que les goûts d’autrui sont différents des nôtres. Cependant, nous pouvons nous demander si les goûts doivent être purement personnels ; ou si, au contraire, ils peuvent être partagés, s’ils peuvent évoluer ou encore changer avec le temps. Est-il alors vrai qu’on ne peut discuter des goûts ? Est-il vrai que l’on ne peut en faire

Dissertation : « Est-ce que tous les goûts sont dans la nature ? » En matière de beauté et de goût, on répète volontiers que les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Le jugement de goût est une affaire personnelle et subjective, « tous les goûts sont dans la nature ». Peut-on affirmer de la sorte une totale relativité des goûts, chacun ayant le sien, c’est-à-dire chacun considérant beau ou laid ce qui lui plaît ou déplaît sans se soucier de devoir annoncer le moindre argument ? Dans ce