Peut On Désirer Malgré Soi

Sujet : Peut-on désirer l’autre sans l’assujettir d’une manière ou d’une autre ? Dissertation : Ma réflexion portera d’abord sur les définitions du désir et de l’assujettissement en les mettant en perspective de celles données par quelques philosophes. J’aborderai ensuite les questions « En quoi désirer l’autre peut-il l’assujettir ? » puis « La personne désirée peut-elle se soustraire à l’assujettissement ? ». Je conclurai mon essai en y apportant ma propre opinion. En première approche, le

Le désir, du latin desiderae (l’astre manquant) est un manque, une absence que l’on veut combler. Il est la quête de l’objet d’une possible satisfaction, qui dépend alors de ce que chacun peut se représenter comme bien ou mal et de ce que chacun peut voir comme possible source de plaisir. La réalité, elle, est l’ensemble des choses réelles et existantes pour l’individu, ce à quoi il peut accéder. En se penchant sur la question « Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? », on suppose alors

voyage, refus de ce qui l’entoure et désir de l’ailleurs: I°) lassitude d’être « ici » et le désir d’être « là-bas » Ici s’oppose à là-bas comme ce qui est petit à ce qui est vaste ce qui est connu de ce qui est inconnu ce qui est clos à ce qui est ouvert Constat désabusé accentué par « ennui » et sa majusc. II°) Fuir, la décision de partir, le refus des liens (v 4) : insistance ac structure originale qui coordonne les 21° négations. Décision prise malgré tout ce qui retient le poète (les

Dissertation : Désir et réalité sujet I– PRESENTATION DE LA QUESTION ET DE SES DIFFICULTES Ce sujet est tout à fait classique mais il est plus riche qu'il n'y paraît au premier abord. Il ne s'agit pas, en effet, de se centrer sur la seule notion dedésir bien que, évidemment, cette notion soit ici centrale. En analysant la question, on voit que les notions dedevoir, debonheur, deliberté et, éventuellement d'inconscient, sont également impliquées dans la problématique de ce sujet. Il convient

circularité : « Rien n'est plus drôle que le malheur » dit Nell à Nagg. Aussi, en quoi peut-on dire que Fin de partie est tout autant une pièce tragique que comique ? En quoi la pièce montre-t-elle l'imbrication du tragique et du comique ? I-Le tragique Dans Fin de Partie, comme dans toutes les pièces de Beckett, les personnages souffrent et font souffrir. En effet, tous sont handicapés ou estropiés et souffrent mais malgré ça ils se font souffrir entre eux : on remarque la tyrannie de Hamm sur Clov

morale, la morale entraine le raisonnable; on fais ce que l'on fait parce qu'on doit le faire, il n'y a pas de désir dans la raison on fais quelque chose parce que c'est nécessaire de le faire sans point de vue particulier; le raisonnable entraine nécessairement la prudence. le terme "rennoncer" ici nous indique le thème du sujet il s'agit de savoir si il est bon ou pas de stopper tout désir de se défaire de tout ce qui n'est pas nécessaire. Le mot "tout" a son importance ici car il indique qu'il s'agit

pour y montrer la précision donnée à cette description emplie de détails. Ensuite, il utilise le connecteur “et” de manière répétitive dans une anaphore pour y montrer le désir et exagérer son désir de tout décrire. Montrant qu’il en est impossible car même avec une répétition, il n’est pas capable de tout énoncer, montrant son désir de répandre la beauté de cette

d'être riche s'imagine heureux lorsque son désir sera comblé. Nos vie sont dirigées par nos désirs, qu'ils soient amoureux, professionnel ou personnel. On pense alors qu'une vie heureuse est une vie qui exauce nos souhaits. Mais le désir n'est-il pas, au contraire, une sorte de manque qui nous obsède jusqu'à son accomplissement? Le désir ne peut être la cause du bonheur dans le sens où c'est un manque et donc une souffrance. Alors devons-nous combler nos désir? Comment être heureux? C'est le problème

jugent ? Sartre, dans le Huis clos disait ainsi : « l’enfer c’est les autres », soulignant comment les autres semblent être des obstacles à une vie paisible et heureuse. Faut-il alors penser qu’il faut vivre sans les autres pour être heureux ? Mais peut-on être heureux sans les autres ? Les autres ne sont-ils pas ceux avec qui un échange et un partage sont possibles ? Cet échange et ce partage ne sont-ils pas des conditions du bonheur ? le bonheur est-il possible dans la solitude ? Une fois le problème

confirmer, manifestant seulement une relativité dans les conceptions du bonheur ?( il manque l’énoncé de la problématique)Les objets du désir sont multiples et varient d’un individu à l’autre voire chez le même individu, au cours d’une vie, au cours d’une journée ; de même l’intensité du désir peut être tout à fait variable, allant du simple souhait à l’obsession. Le désir est donc quelque chose de totalement relatif de ces deux points de vue. L’honneur est-il plus désirable que la richesse, la richesse