Peut On Désirer Malgré Soi

XVIème siècle, le mythe connait un ralentissement: le XVIème siècle préfère les références antiques, qui avec Racine au XVIIème siècle ressemblent de loin aux motifs tristaniens. C'est le cas de l'amour incestueux de Phèdre, victime de Vénus, que l'on peut comparer au philtre de notre mythe, ou du moins la main de la fatalité. Le XVIIIème siècle ne semble pas ou peu utiliser la matière tristanienne. Mais à partir de là, les romantiques vont s'intéresser passionnément à cette histoire. Or, observant que

Dissertation sur la relation entre désir et souffrance Dans la passion amoureuse, s’entremêlent des désirs et des souffrances. L’attente de l’aimé, la peur de perdre l’autre, mettent l’être désirant dans un état d’angoisse. Mais peut-on désirer sans souffrir ? ou alors faire une sélection des désirs ? Et dans ce cas, en renonçant à certains désirs pour éviter ainsi quelques souffrances, ne risque-t-on pas de passer à côté du bonheur ? D’autre part, le désir n’est-il pas aussi ce qui permet à

temporalité prédéfinie ne fait-elle pas prendre conscience de la préciosité du bonheur et donc de l’accentuer ? Ainsi, de quelle nature provient le bonheur ? Le sentiment heureux peut-il être soit illusoire soit réel ?Le bonheur est avant tout la ligne d’arrivée d’un long parcours d’accomplissement de nos désirs. Malgré tout, ce long chemin, a-t-il toujours une ligne d’arrivée ? Est-ce seulement par l’accomplissement de chacun de nos désirs que le bonheur nous sera octroyé ? Eh bien, selon Schopenhauer

Eluard. Nous pouvons donc légitimement nous demander si ce recueil peut se lire comme un éloge de la main. Nous analyserons dans un premier temps comment ses différentes représentations constituent un motif privilégié et une célébration, un hommage. Puis nous interrogerons sur l’ambigüité de cette main et ses valeurs plus négatives. I La main est un motif privilégié dans le recueil Man Ray, qui s’est imposé comme peintre du désir et comme génial photographe de la femme, privilégie le nu dans ce

[FULLMETAL ALCHEMIST] L’humanité ne peut rien obtenir sans donner quelque chose en retour Pour chaque chose reçut il faut en abandonner une autre de même valeur En alchimie c’est les lois fondamentales de l’échange équivalent A cet époque nous pensions que c’était la seule et unique vérité au monde Nous, nous trempions … mais il a fallut céder quelque chose pour l’apprendre Un simple caillou de la couleur du sang grâce au quel il était possible de transformer la souffrance en délice

Tout est trouble, l’opium est peut-être la solution… b) Créateur en proie à « l’opium poétique » : Les pavots de *****, sont peut-être de l’opium, que Rimbaud déclare avoir « trop pris » quelques lignes plus tard, faisant alors échos, au « baiser du poison mille fois maudit » de la Nuit d’Enfer. Ainsi aimer la beauté et la renier par la suite, se rapproche d’un comportement, sous l’influence d’une drogue, de la folie. L’ « affreux rire de l’idiot » est peut –être le rire machinal du fou dans

de l’autres, pour montrer tout d’abord en quoi le thème de l’ascension social et du succès se retrouvent dans les deux textes et comment la situation sociale de Georges a évoluée depuis le début de l’oeuvre. Nous allons ensuite expliquer en quoi, malgré cette évolution sociale, le personnage en lui-même n’a pas évolué et est resté le même qu’au début de l’oeuvre c’est à dire ambitieux, calculateur, séducteur, mais également nostalgique. Enfin nous allons montrer que ces deux textes traduisent la

Dom Juan désir continuellement, et ses objectifs et ses envies sont inlassablement renouvelés. Malgré cela, sa vie du séducteur n'est pas apprécié et un dilemme s'impose à lui : mourir ou arriver a se fixer avec une femme et vivre sainement. Pensant être intouchable, sa recherche perpétuelle du désir va lui porter préjudice et va finalement le mener à sa perte. Mais est-ce que le désir de dom Juan le rend malade ou justement le comble ? Car maladie est associé avec souffrance, elle peut être aussi

Le désir est-il la marque de la misére de l'homme? L'homme est un être de désir: c'est dire qu'il aspire à avoir davantage qu'il ne possède. On indique donc par là un manque, une faiblesse, qui serait le propre de l'homme. Faut-il considérer ainsi le désir, comme « la marque » c'est à dire l'indice, le signe qui témoigne de la « misère de l'homme », c'est-à-dire qui signale une faiblesse, une impuissance caractéristique de l'humanité? Le désir est-il la témoignage de ce qu'est la condition humaine

* Le point de vue externe met en scene le couple, et donc le regard du temoin. Suzanne n'apparait d'ailleurs qu'avec lui elle n'a donc plus d'intéret pour Bel-Ami et peut aller rejoindre les coulisses. * Le point de vue interne nous montre les sentiments de Bel-Ami, son premier regard se porte sur "Madame de Marelle" (désir) et le second sur "la foule". On retrouve les deux soifs du héros de l'incipit: les femmes et l'ambition. * Le point de vue omniscient nous montre que les femmes