Peut On Désobéir A La Loi

Introduction A l’état de nature, nul n’est soumis à l’autorité d’autrui, pour répéter Rousseau. Allons qu’en est-il de societe, une fois que le contrat est passé, accepte par les différentes composantes sociales et qu’il doit de ce fait être respecte ? L’individu n’est –il pas alors contraint de se soumettre a l’autorité établi et de ses lois ?n’est-il pas contraint d’y obéir quoi qu’il arrive ? Cependant, cette obéissance a l’état est-elle toujours une obligation ?n’y a-t-il pas aussi des circonstances

Faire, dire ou même penser ce qu'on a envie quand on en a envie est pour moi la définition de la liberté spontanée. Mais agir comme cela serait déplacé, si tout le monde agit de cette façon ce serait l'anarchie. Il faut donc respecter certaines contraintes. On assimile toujours la liberté a l'absence de responsabilités de contraintes, prenons l'exemple du prisonnier, il doit respecter des règles strictes. Il a des contraintes comme rester incarcéré le temps de sa peine ou même il ne choisit pas comment

liberté et la loi. Rousseau a voulu montrer qu’il n’y a pas de liberté sans lois mais aussi il défend l’idée qu’indépendance et liberté ne doivent pas être confondues. Nous pouvons donc nous demander si être libre, c’est être indépendant et satisfaire ses désirs ? Car la liberté politique se définit comme la possibilité d’agir selon sa propre volonté sans gêner celle des autres, nous croyons bien que nous sommes libres que lorsque nous sommes indépendants et donc la loi gène notre liberté, peut-on concevoir

spirituelles. S’il y a conflit entre ces deux sortes de règles, exemple tiré du droit civil de la famille. > Paragraphe 1 : le mariage, le divorce et l’IVG. ● Le mariage est un problème central dans les rapports entre l’Eglise et l’Etat. Le principe qui s’applique c’est que le droit interne aux religions ne produit pas d’effet en droit civil. → Ce sont donc les règles posées par l’Etat qui vont s’appliquer au mariage et elles seules. La plupart des religions s’accordent à rejeter le projet

ANALYSE DU CRITON par Carole Proulx, Cégep de Trois-Rivières Autre titre du Criton: DU DEVOIR Auteur: Platon CLIN D’OEIL Schultz PRÉAMBULE • Socrate – Présentation – Rappel du procès • Contexte du Criton – Socrate condamné à mort – L’attente de l’exécution     Socrate (470-399) • Le « Père de la philosophie » • Le «  martyr » le plus célèbre de la philosophie • Il n’a laissé aucune œuvre écrite     PLATON (427-348/347) • Disciple de Socrate • 1ère source de connaissance sur Socrate

Quels sont à votre avis les principales injustices que la démocratie contemporaine devrait combattre? L'injustice est un souci largement porté dans les sociétés démocratiques. L’opinion y sensible, les politiques s’y veulent attentifs, les associations se montrent inventives, les médias jouent leur rôle de vigilance, les philosophes s’inquiètent des fondements... N’a-t-on pas, récemment, attiré l’attention à la fois sur les travailleurs sans papiers, sur les fonctionnements de l’école et l’égalité

qu’il n’a rien a se reprocher dans cette affaire. Tout d’abord, je vais rappeler les faits. Créon, roi de Thèbes avait jugé qu’il était interdit de recouvrir ou d’enterrer le corps de Polynice et pour cela il avait placé des gardes pour surveiller le corps. Mais Antigone, nièce de Créon et sœur de Polynice, a désobéit, elle a tenté de recouvrir le corps. Elle devait être condamnée a mort. Mais Créon qui tenait à Antigone refusait de faire cela, mais Antigone voulait mourir. Créon a tout fait pour

devoir, la justice et le droit. Il pose le problème suivant : Sous quelles conditions une puissance peut-elle être légitimé ? Il parle ici des puissances physiques. Pour lui, le plus fort doit nécessairement transformé son pouvoir en droit, afin de le conserver et devenir une puissance. Autrui est obligé d'obéir aux puissances. Mais si c'est sous la contrainte, il peut refuser de se soumettre à cette obligation, puisqu'en utilisant la force, cette puissance devient illégitime. Il definit sa thèse

?» met le juriste dans l’embarras. Cause = ambiguïté constitutive de la notion de droit. Deux sens = a) droit positif (« posé », institué) = ensemble des lois telles qu’elles sont instituées dans une communauté à une époque précise = le droit de fait b) droit en tant que norme supérieure à la loi (=ce qui est) dictant ce qui doit-être. La question se modalise ainsi en deux types de questions : a) « Que sont les lois ici et maintenant? » = domaine du juriste, réponse empirique (empeiria=expérience)

une opposition de 2 visions de l'existence, ►l'une fondée sur le respect de la loi des hommes <<mon édit>>, <<mon ordonnace>> <<la loi>> et <<sentiment commun>> chez Créon ►et l'autre fondée sur celui de la loi des dieux <<Zeus>><<la Justice qui siège auprès des dieux>> <<intangibles>>