Peut On Fonder La Morale Sur Les Sentiments

Sartre, Goffmann) PAGEREF _Toc196743907 h 16 III. Approches morales PAGEREF _Toc196743908 h 18 A. La conscience morale PAGEREF _Toc196743909 h 18 1. La voix de la conscience PAGEREF _Toc196743910 h 18 2. Conscience et conscience morale PAGEREF _Toc196743911 h 18 3. La conscience comme indpendance lgard de nos instincts PAGEREF _Toc196743912 h 18 B. Quest-ce quune personne PAGEREF _Toc196743913 h 19 1. Conscience, identit et personne morale (Locke) PAGEREF _Toc196743914 h 19 2. Une personne, cest

comprend que selon La Fontaine le bonheur est caractérisé par le goût de la tranquillité, des plaisirs simple de la vie et de la beauté de la nature. Selon Madame du Chatelet, épicurienne, le bonheur serait le fait de ce procurer des sensations, des sentiments agréables et de satisfaire des passions. Selon Créon, le bonheur serait tout simplement la vie, « l’eau que les jeunes gens laissent couler sans le savoir, entre leur doigts ouverts. »(lignes 2-3). Mais selon lui, pour saisir ce bonheur, il faut

1- une espérance, peut-être toujours déçue ; 2- une exigence, ravivée par un constat d’injustice dénoncée comme un scandale qui appelle jugement ; 3- une nécessité. Pourtant à la question, essentielle, philosophique par excellence, puisque ontologique, morale, éthique, sociale, juridique et politique : « qu’est-ce que la justice ? », nous ne pouvons répondre par une définition univoque. La 1ère difficulté vient de ce que la réflexion sur la justice naît le + souvent d’un sentiment, incertain et impur

Analyse de l’énoncé Peut-on : a) a-t-on la capacité (est-ce possible, ou bien est-ce une contradiction) ; b) at-on le droit ; est-ce un devoir. NB : la question « peut-on » sous-entend, ici, que l’opinion commune croit qu’il est possible de … et que c’est peut-être en fait impossible, contradictoire. On : l’homme ? l’individu concret ? l’Etat ? Vouloir : désirer, se donner comme but Bonheur : a) bien-être, satisfaction, plaisir ; b) état de satisfaction totale ; c) but que poursuivent tous les hommes

Sujet : La morale n’est-elle qu’une convention sociale ? La morale est propre à une société donné, à une époque donnée, en effet, elle se réactualise sur plusieurs années, c’est ainsi qu’au XXème siècle la morale recoupe des sujets comme la protection de l’environnement : « il est immoral de polluer » ; or ce problème ne se présentait pas durant l’Antiquité, c’est pourquoi on ne doit pas parler d’une mais de plusieurs morales. Se pose donc le problème de savoir si la morale n’est qu’une

et qu’il peut atteindre ; ce qu’il gagne, c’est la liberté civile et la propriété de ce qu’il possède » (Contrat social) En faisant partie d’une communauté l’homme remet en cause son indépendance. Dans la seconde partie du Discours sur l’origine et les fondements parmi les hommes, Rousseau écrira : « […] le sauvage vit en lui-même ; l’homme sociable toujours hors de lui ne fait vivre que dans l’opinion des autres, et c’est, pour ainsi dire, de leur seul jugement qu’il tire le sentiment de sa propre

Pour les séries générales Le commentaire peut prendre des formes d’organisation variées : plan en deux ou trois parties, ou élaboration plus souple d’un mouvement qui épouse la construction du sens. [...] Quelle que soit l’organisation adoptée par le candidat, on peut recenser pour cet exercice les critères d’évaluation suivants : - compréhension des niveaux essentiels du texte ; - interprétation fondée sur une observation méthodique ; - mobilisation, pour éclairer le texte, des connaissances

instincts, elle soumit son corps. • Elle appariât dénuée de tout sens moral, dominée par son goût de luxe et du plaisir. • Elle préfère partager ses plaisirs avec Des Grieux tant qu'il a de l'argent, elle se montre alors tendre • Si l'argent manque à son amant, elle cherche le plaisir ailleurs. • Elle est toute disposée à revenir à lui dès qu'il dispose de nouveau de l'argent: ce n'est pas l'argent qu'elle aime mais ce qu'il peut procurer. "Je connaissais Manon (….) elle aimait trop l'abondance

l’égalité, etc.) La sociabilité : C’est le « droit » de fonder une famille et d’appartenir à une communauté. La raisonnabilité : L’être humain est doué de la raison à la naissance. La liberté naturelle : L’homme nait avec le droit d’indépendance. Il est indépendant dans ses choix et il dispose des droits et des domaines où personne ne peut intervenir. Les droits naturels : Ce sont les droits fondamentaux. Si l’homme a des devoirs naturels (fondés sur la nature de l’être humain) il est également porteur

manque pas d’argent et mange largement à sa faim. A travers ce portrait physique, le narrateur fait le portrait moral du personnage. Les métaphores et animalisation suggèrent l’avarice et la spéculation du personnage : « comme un rat d’église », « l’amer renfrognement de l’escompteur » sans oublier son hypocrisie : « sourire prescrit aux danseuses ». Ainsi, portrait physique et moral sont étroitement liés en vertu de la loi physiognomonique EXTRAITIII:: Entre ces deux personnages et les autres