Peut On Gouverner Sans La Violence

rendre compte scientifiquement des phénomènes pol (la discipline est plutôt tournée vers les sciences historiques et sociales) Des contraintes spécifiques pèsent sur la discipline - Contrainte de distance à la pratique : Ne vise pas à apprendre à gouverner ; il s’agit juste de comprendre les phénomènes pol ( comme un spectateur qui analyserait la pol) - Pour se mettre ainsi à distance de la pratique on doit s’imposer une contrainte d’objectivité et de neutralité : En aucun cas on ne va discuter

satisferont au plus haut point la population gouvernée. On définit les hommes politiques comme des personnes peu scrupuleuses, et qui, facilement abusent de leur pouvoir. La politique est-elle en ce sens morale ? Et que serait un dirigeant immoral ? On peut penser qu'une telle personne ne serait pas soutenue par son peuple ou on pourrait s’attendre à ce que les votes ne favorisent pas une personne immorale. Parce qu’elle permet de vivre ensemble, la morale à un rôle de politique de l’ordinaire. Mais la

puissance paternelle »l.3. Cependant cette autorité naturelle est éphémère puisqu’un enfant arrivé à maturité peut se gouverner lui-même et donc elle cesse définitivement d’exister. Diderot accumule les expressions «mais, bornes ; finirait aussitôt que » afin de bien insister sur le fait que cette autorité a une durée limitée dans le temps et poursuivre sur son idée qui est : « aucun homme ne peut commander aux autres »l.1. En second, il affirme alors que toutes les autres formes d’autorité ne sont pas

forme juridique. En effet, l’État est la forme juridique de la forme politique. L’État dans le langage courant désigne la puissance publique, c’est-à-dire les pouvoirs publics, dans leur ensemble, et donc à travers l’opposition entre gouvernants et gouvernés. On évoque ici le mot « État » dans le sens des pouvoirs publics. L’État représente le pouvoir central opposé aux collectivités locales ; c’est une société politique organisée opposée à la société civile constitutionnelle de personnes physiques

l’expression « Raison d’Etat » peut sembler ambiguë. Il est en effet possible de luirattacher deux définitions, à savoir d’une part la capacité de l’homme à distinguer le vrai d’avec le faux, et d’autre part les mobiles qui motivent des actes. La notion même de la raison d’Etat peut elle trouver une réelle légitimité dans les sociétés contemporaines ? Dans ce sens, y-a-t-il vraiment une raison d’Etat ? Si la raison d’Etat semble indispensable au pouvoir pour gouverner efficacement, elle apparait

tiendraient point leur parole, pourquoi devriez-vous leur tenir la vôtre? Et d'ailleurs, un prince peut-il manquer de raisons légitimes pour colorer l'inexécution de ce qu'il a promis? A ce propos on peut citer une infinité d'exemples modernes, et alléguer un très grand nombre de traités de paix, d'accords de toute espèce, devenus vains et inutiles par l'infidélité des princes qui les avaient conclus. On peut faire voir que ceux qui ont su le mieux agir en renard sont ceux qui ont le plus prospéré. Mais

Sujet : Dans la célèbre conférence sur Le métier et la vocation d’homme politique, on peut lire sous la plume de Max Weber cette citation de Léon Trotski : « Tout Etat est fondé sur la force ». Et Max Weber d’estimer : « En effet, cela est vrai ». En quoi ce jugement se justifie-t-il ? ANALYSE DU SUJET - « Tout Etat » : Le sujet vise l’Etat dans sa forme générique. La suite du sujet se rapporte donc à quelque chose que tous les Etats ont en commun. Il faut ainsi mener une réflexion sur le concept

- Pouvoir : Prérogative permettant a une personne de gouverner une autre personne publique ou privée ou de gerer les biens d’une autre personne - Etat : Ensemble des organes politique des gouvernants par opposition aux gouvernés - Nation : Groupement d’hommes ayant entre eux des affinités tenant à des elements communs a la fois objectif (race, langue, religion, mode de vie) que subjectif (souvenirs communs, sentiments) qui les unissentet les distinguent des hommes appartenant aux autres groupements

remplacé par l'armée qui gouverne le pays depuis 1962. d'autant plus que le principal parti révolutionnaire n'a pas la confiance du peuple et que seule une révolution orchestré par l'ONG de la ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme aurait une chance d'aboutir mais cette dernière est présidé par un homme de 82 ans qui n'a peut être plus l'âge de se « battre »dans un pays où les émeutes sont devenus fréquentes et n'aboutissent qu'à une banalisation de la violence et de la répression.

est le fait social. Des exemples de faits sociaux : la mode, la culture, le suicide, la religion, le droit, les manifestions, la famille, la morale, le goût., la sexualité...etc. Un fait social c'est un fait collectif, qui ne peut pas être produit tout seul, qui ne peut pas être produit par un seul individu. Nous sommes dans l'idée de relations, de rapports sociaux. Les faits sociaux sont variables, historiques. Dire qu'un fait un historique, c'est dire que cette chose n'a pas toujours existé