Peut On Juger Autrui

un peu de moi et largement des autres, les secondes ne dépendent que de moi. Pour les vérités de fait, soit je suis présent et n'ai alors qu'à en croire mes propres yeux, soit je n'ai pu assister à l'événement et je suis forcé de m'en remettre à autrui. Qu'il fasse beau ou qu'il pleuve aujourd'hui, que mes collègues de travail aient été odieux ou chaleureux, je peux en témoigner, car j'y étais. En revanche, que Vercingétorix, que Jésus, que Charles de Gaulle aient vécu et accompli tout ce qu'on

Commentaire de texte : Aristote Quand sommes nous jugés coupables de nos mauvais actes ? L’ignorance peut-elle excuser un délit ? Selon Aristote, nous sommes responsables de nos actions lorsqu’elles sont faîtes volontairement et en toute connaissance de cause, ainsi si notre ignorance à une cause extérieur, on ne peut pas en être tenu responsable, mais si au contraire elle vient de nous, alors on peut nous châtier pour elle. L’auteur commence par définir quelles sont les actions volontaires : celles

nos désirs, nos sentiments, nos valeurs interfèrent dans la construction de nos pensées Il est nécessaire de peser, comparer, calculer, faire le tri. Penser, selon Kant, c’est « connaître par concepts et juger ». Cela demande d’exercer une activité proprement intellectuelle ou rationnelle ; juger, exercer son esprit sur la matière de la connaissance, unir des représentations dans une conscience. En quelque sorte penser c’est contrôler ses pensées ! La liberté, La liberté désigne habituellement

discordante avec le réel. Mais sait-on toujours où finit le réel et où commence l’illusion? On peut caractériser l’illusion comme la confusion de deux plans : celui de la subjectivité, d’une part, celui de l’objectivité, d’autre part. Dans l’illusion, nous serions victimes d’une puissance trompeuse impossible à vaincre, contrairement à l’erreur dont nous sommes responsables et que nous pourrions corriger. L’illusion peut bien, si nous n’y prenons garde, induire en erreur, mais elle n’est pas une erreur en

Peut-on penser par soi-même ? Introduction : La vie offre de larges domaines où la pensée semble s'exercer, cependant on peut se demander s'il ne s'agit pas d'une autonomie illusoire. Ainsi nous allons disserter sur le problème suivant, est-il juste de dire que l'homme peut penser par lui-même ? Il existe de nombreuses définitions du fait de penser. Pour certain la faculté de penser se résumerait par le mot sentir, regroupant les sensations, les souvenir et les désirs. Mais pour d'autres

le surmoi est la voix en nous intériorisée de notre père ou des autorités qui dans notre enfance nous ont posés des interdits. D’ailleurs la culpabilité et la crainte dont nous parle Kant ont souvent à voir avec des désirs sexuels... Toutefois on peut malgré tout affirmer qu’une forme de conscience morale nous est inhérente car comme Dolto ou Lacan dans le stade du miroir l’exposent, il y a la conscience d’un regard extérieur sur nous-même propre au surgissement de la conscience réfléchi sur soi-même

l'influence des autres et on peut se demander si cela ne le conduit pas nécessairement au conformisme. Alors autrui est-il un obstacle à l’acquisition du soi-même ou au contraire le déterminant de la constitution de soi ? Dans un premier temps, il semble bien qu'on ne puisse être soi que dans la solitude qui nous préserve de l'influence d'autrui. Cependant placés dans une solitude absolue serions-nous vraiment capables d'être ? Si la réponse est négative, alors comment l'autre peut-il me constituer ?

sophistes qui se proclamait savant possesseur de la vérité, qui manipulait la rhétorique et faisait la moral aux gens. Donneurs de leçons toutes faites, prêtes à penser. Rhétorique : qui sait persuader Persuader : c’est faire accepter une idée à autrui par les sentiments = passivité intellectuel Socrate : 1er philosophe (SPA : Socrate Platon Aristote). Socrate a été obligé de boire du poison par les sophistes car il pensait trop. Il a été accusé de corrompre la jeunesse et de blasphème(ne pas croire

quels moyens peut-on connaître autrui ? Remarques préalables : • La question présuppose que l’on peut connaître autrui, on cherche juste le moyen. • Qu’est ce que connaître l’autre ? On peut envisager 2 types de connaissances : - avoir une idée exacte de la personnalité, de l’identité individuelle de l’autre. - Comprendre l’autre, savoir ce qu’il ressent, «communication mutuelle des consciences». Cela suppose une relation personnelle entre autrui et moi.

d’expliquer ses caractéristiques qui ne changent pas, car on peut identifier les différentes étapes de fabrication car ces dernières ne changent pas. L’objet est souvent défini par un mode d’emploi qui nous permet de comprendre son utilisation et son installation. Tandis que connaitre un sujet est bien plus difficile, car l’homme évolue tout au long de son existence, il n’existe aucun système permettant d’expliquer son fonctionnement. On peut cependant chercher à le comprendre, qui vient du mot latin