Peut On Juger Une Autre Culture Que La Sienne

stoïcisme. Les auteurs stoïciens parlaient de la subjectivité pour aller vers le droit. Mot formé dans une philosophe idéaliste. Historiquement le droit ne s’appuie que sur de rares textes de l’époque romaine = CICERON a formé le mot droit mais la culture romaine ne l’a jamais accepté. Le christianisme a favorisé l’émergence du sens subjectif du mot droit. Le droit était celui de la Cité, la morale stoicienne voulait une morale commune. -conformité à l'impératif : le mot droit vient de "recte factum"

mot “morale” vient du latin “mores” (pluriel de mos) et de éthos du grec qui signifient tous les deux manière d'être ou moeurs. Morale, éthique et moeurs sont des regles qu l'on doit obeir. Mais alors que les moeurs varient avec les cultures et l'époque, la morale peut se definir comme un ensemble de conduites permises à l'homme. Dès que l'on fait quelque chose que n'est pas moralement bonne, on aura une punition. Le regard des autres compte sur nous. L'éthique nous enseigne où est notre bien, cet

des traités de morale autorisés par la Sorbonne, l'auteur souligne quand même plus loin, que quiconque le lira pourra tirer profit de son expérience. Appréciée par les contemporains, la sagesse des Essais s'étend hors les barrières du dogmatisme, et peut en effet profiter à tous, car : « Chaque homme, porte la forme entière de l’humaine condition[4]. » Le bonheur du sage, consiste à aimer la vie et à la goûter pleinement : « C'est une perfection absolue et pour ainsi dire divine que de savoir jouir

universel] citation Mesurer l’opinion publique : propre des sociétés démocratiques (dans les états totalitaires taisent les chiffres à la population) On veut éviter la création d’une conscience collective, maintenir les individus dans l’ignorance, on peut alors interdire les réunions de plus de 3 personnes. Théories info-com : la plupart : les hommes ont besoin de connaitre les opinions des autres pour se construire la leur. On passe notre temps en train de chercher à connaitre les opinions des

cette même vie sociale. Aujourd’hui la loi française est fondée sur le principe de la stricte égalité des sexes, et toute forme de discrimination qui serait fondée sur le sexe, en matière d’emploi par exemple est passible de sanctions. Pour autant peut-on dire que c’est la loi qui fait l’égalité des sexes aujourd’hui, comme elle organisait leur inégalité les siècles précédents ? Ne sont-ce pas plutôt les acteurs sociaux qui par leur revendications ont obtenu que la loi soit adaptée à leurs attentes

GIOTI Ioanna Master 2 Didactologie des langues et des cultures – Paris III/Nouvelle Sorbonne Master 2 Littérature et Civilisation françaises – Paris IV Sorbonne II André Gide, La Symphonie pastorale (1919) SYNTHÈSE et RÉSUMÉ de la bibliographie: 1. Analyse de Lucien Giraudo proposée par l’édition de la Symphonie pastorale de folio plus classiques 2. Balises, La Symphonie pastorale, Olivier Got, éditions Nathan 3. Diverses ressources proposées sur le Net et notamment sur Wikipédia André Gide : quelques

ni personne qui puisse lui devenir un obstacle. La pensée dont il est question est l’acte de penser telle ou telle chose en exprimant clairement une opinion, et non la pensée immédiate et irréfléchie au sens général puisqu’il s’agit d’un verbe. On peut donc définir la liberté de penser comme la possibilité pour chacun d’avoir ses propres opinions sur un sujet sans devoir être accusé de non-respect des lois puisque la déclaration des droits de l’Homme donne la liberté d’opinion. Ensuite, il est posé

moins des connaissances que l'indépendance envers les parties. Ici l'infraction signifie désobéissance. La quatrième, l'autorité du modèle, est d'un tout autre ordre. A l'encontre des précédentes, elle est durable; son fondement n'est pas une nécessité d'occasion, mais le prestige qui rayonne du modèle et l'admiration qu'il suscite. Le modèle peut être un personnage historique, un artiste, une vedette du sport ou de la chanson, etc. Ici l'infraction apparaît comme de l'inculture. La cinquième, l'autorité

Quelles sont les difficultés du métier d’historien ? 2) Les événements auxquels on reconnaît, à un moment donné, une importance suffisante pour que leur soit attribuée une portée historique, ont-ils un sens ? 3) Si le passé est ce qui est révolu et ne peut être changé, à quoi bon vouloir le sauver de l’oubli ? I LE TRAVAIL DE L’HISTORIEN. A) La distinction de l’événement et du phénomène Si l’histoire est la connaissance des faits humains qui ont eu lieu dans le passé, elle se distingue des autres

conscience que nous avons de notre perception de notre environnement est une réflexion de la pensée vers elle-même. Avoir conscience de quelque chose signifie donc en quelque sorte y penser mais plus précisément savoir que l’on y pense. En effet, on ne peut pas dire que l’on a conscience d’une chose si nous ne savons pas que nous y pensons. La conscience se résume à une réflexion de la pensée vers elle-même puisque c’est penser et à la fois avoir conscience de penser. Ainsi, lorsque nous remarquons qu’il