Peut On Juger Une Autre Culture Que La Sienne

Levy-Strauss Sommaire I Introduction II Présentation de l'auteur et du livre A L'auteur B Le livre:RACE & HISTOIRE 1 Contexte historique 2 Structure de l'œuvre III Les thèses de l’auteur A L’ethnocentrisme B Race 1 Racisme 2 Cultures C Histoire 1 Notion de progrès et de hasard 2 Critères de comparaison IV Réflexion sur le thème Humain Inhumain ??? V Conclusion I Introduction Dans le cadre du thème de cette année proposée en F.H.S. : "l'Humain et l'Inhumain", nous

Fontaine s’inspire ici d’un auteur de l’antiquité romaine, Phèdre. La Fontaine fait une satire de l’être humain a travers une fiction animalière .Il montre de façon plaisante un défaut qui consiste à voir les imperfections des autres mais pas les siennes. Lecture du texte Pour montrer par quels moyens la fontaine conduit le lecteur à réfléchir sur la question humaine j’ai choisi une explication par axe. I. La Fontaine utilise le détour plaisant de la fiction pour introduire le sujet de la réflexion

Selon Albert Jacquard, le concept de race ne peut exister, il est non opérationnel. L’Homme, contrairement aux animaux, a homogénéisé ses patrimoines génétiques. Les différences fondamentales se situent à l’intérieur des groupes et non entre ceux-ci. Les potentiels humains sont variés mais très différents donc ils sont non hiérarchisables. Pour Jacquard, le plus difficile est de lutter contre le racisme et le concept de race, car ce sont des affirmations qui n’ont pas de sens. L’attitude du raciste

l’auteur __________________________________________5 A L’ethnocentrisme ____________________________________________5 B Race _______________________________________________________6 1 Racisme ___________________________________________________6 2 Cultures ___________________________________________________6 C Histoire ____________________________________________________7 1 Notion de progrès et de hasard __________________________________7 2 Critères de comparaison _______________________________________8

La culture rend-elle libre ? L’homme est définit comme un être de culture. Par opposition à la nature, la culture est l’ensemble des valeurs, règles, lois, mœurs et connaissances qui caractérisent la société humaine. C’est ce à quoi nous initie l’éducation, en tant qu’elle a pour but de nous ouvrir au monde humain. A rapprocher de la notion de civilisation. On cherche ici à démontrer si celle-ci nous permet d’être libre. Libre désignant le pouvoir d’agir

La tolérance est l'action, l'attitude de supporter ou à de ne pas interdire ce que l'on désapprouve et qu'on ne peut éviter. La tolérance est aussi une dérogation admise à certaines règles. En matière de religion, de philosophie, de culture ou de politique, la tolérance est la capacité à accepter et à respecter des idées, des sentiments, des manières d'agir différents des siennes. Condition nécessaire à la liberté de conscience, la tolérance est cependant une attitude plutôt passive, voire condescendante

j'obtienne ce à quoi j'ai droit Le droit attend donc d'être respecté, suivi. Mais la question est de savoir ce qui fonde ce pouvoir d'obligation du droit. Lorsque le droit est transgressé il peut y avoir recours à la force. (cf forces de l'ordre). Mais cette force qui est de l'ordre de la contrainte physique peut-elle constituer la force du droit? N'est-elle pas simplement le moyen du droit témoignant par là que le droit est par lui-même incapable de produire nécessairement son effet, de contraindre

d'aller en prison juste parce que le chef l'a décidé. Ainsi, les sociétés qui respectent les droits de l'Homme, l'égalité entre les individus et qui garantissent la liberté pour tout le monde semblent donc plus civilisées que d'autres. En effet, leur culture est meilleure vu que ce sont des sociétés où on ne pratique pas la torture ou des actes violents tels que la lapidation. Nous pouvons donc en déduire que ce sont des sociétés plus civilisées et «meilleures» que les autres. De plus, certaines sociétés

« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée; car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que la diversité

Eichmann à Jérusalem, Condition de l'homme moderne, La crise de la culture et La Vie de l'esprit. Arendt ne se définissait pas «philosophe» mais par rapport à son métier : professeur de théorie politique. «Les oeuvres d'art sont les seules choses à n'avoir aucun rôle dans le processus vital de la société» Au sens propre de terme, l'art n'a aucune utilité, aucun usage. Arendt dans son Essai La crise de la culture distingue les objets d'usages et les oeuvres d'art. Elles les compare