Peut On Justifier La Vengeance N

vicomte de Valmont à la marquise de Merteuil, à Paris Valmont évoque ses sentiments toujours présents pour elle, mais aussi l’impossibilité de reformer un couple, face à leur libertinage et leurs mœurs dissolues. Puis il refuse sa demande et se justifie par son entreprise : séduire la présidente Tourvel. Son mari est en déplacement, et elle loge chez la tante de Valmont ; il restera donc là-bas jusqu’à l’accomplissement de sa mission. Il termine en exprimant son désir d’avoir Mme de Tourvel

victime d’une injustice à son tour. Mais pour autant qu’on puisse justifier cette pratique comme/au titre de “dédommagement moral”, je crois que les familles et les ami(e)s de la victime ne peuvent en aucun cas être récompensé(e)s par la mort du criminel. Bien au contraire, elle ne fait qu’étendre la souffrance de la famille de la victime à celle du condamné. En outre, contrairement à ce qu’on peut penser, la peine de mort est beaucoup plus chère que le maintien

qui le découpent en morceaux et lui donnent la mort malgré elles, le laissant ainsi bouillir au point que son corps soit méconnaissable, l’empêchant ainsi d’avoir une sépulture. Exil // 3e à 6e crimes : double régicide et double infanticide (on peut les regrouper car ils sont proches dans le temps et que leur cause est la même) Jason ne parvient cependant pas à regagner le trône de son père, et se retrouve banni avec Médée par Acaste, fils de Pélias ; ils se réfugient alors à Corinthe, où

fierté refait surface, comme il le montre au V.1141 Acte IV scène 2 de façon lyrique. Il aime malgré tout ses enfants mais des que Camille rompt moralement avec son père en n’acceptant pas l’honneur, il se sentira trahis jusqu'à renier sa fille et justifier l’acte meurtrier d’Horace vers 1411 Acte V scène 1 «  Elle était criminelle ». Il sait que pour la gloire il faut le sacrifice, même si se sont ses propres enfants. Il nous donne l’impression d’être impassible au malheur alors qu’il a perdu trois

pour ses enfants.  Le registre élégiaque : « Hélas ! »(v.28), « je les plains » (v.33) : Oenone partage la souffrance et les peurs de Phèdre.  Le lexique de la peur : « tremble », « crainte » + le comparatif « plus juste que la vôtre » : Oenone justifie l’état émotionnel de Phèdre.  Les questions rhétoriques : « Mais à de tels affronts pourquoi les exposer ? » (v.35), « Pourquoi contre vous-même allez-vous déposer ? » (v.36), « A votre accusateur que pourrai-je répondre ? »(v

croyances et des rites en relation avec le sacré. Aspect théorique : un ensemble de croyances Aspect pratique : un ensemble de rites La croyance religieuse : Croire s’oppose à savoir. Tout ce qui échappe au savoir rationnel (questions métaphysiques) peut être l’objet de croyance. Croire que : signe de l’énoncé incertain Croire à : signe de l’incertitude objective (il n’y a pas moyen de démontrer la légitimité de la croyance) + conviction subjective (croire à la justice, à l’immortalité de l’âme…)

son administration, mais qui lui convient bien et qui l’aide à penser à autre chose, à vivre … Et puis, il n’attend pas d’être reconnu… La vie lui a tant appris qu’il n’était rien de toute façon… Brodeck est quelqu’un sans haine ni esprit de vengeance. Pourtant, sa vie ressemble à un drame perpétuel. Alors qu’il croyait avoir trouvé un refuge paisible au sein de ce petit village, Il fut le témoin et la victime lors de la seconde guerre mondiale de la lâcheté des villageois qui n’hésitèrent pas

lamentations de Hermione. Elle se confie à Cléone et révèle à quel point elle se sent dépitée. Oreste va la voir humiliée, et cela l’anéantit. Cléone lui conseille de ne pas hésiter à revoir le prince Oreste, mais surtout de se sauver avec lui. Hermione ne peut pas se résoudre à accepter. Elle pense que Pyrrhus va revenir. Dans la seconde scène,Oreste révèle ses sentiments à Hermione. Il lui apprend que  Pyrrhus n’a jamais eu l’intention de relâcher Astyanax. Hermione entre dans une colère noire. Elle ne

Jean-Jacques Rousseau, écrivain du18e siècle, rédigea son œuvre en partie pour se justifier de calomnies répandues à son sujet par Voltaire. Dans cet extrait du Livre premier des Confessions, Rousseau relate l’anecdote suivante : jeune apprenti à Genève chez un graveur dont il subit les mauvais traitements, il tente en vain de lui dérober une pomme. Son maître le surprend et le châtie. Pour raconter cette anecdote apparemment banale, Rousseau met en œuvre des procédés d'écriture qui donnent à son

nouvelle amante de son mari, lais aussi ses propres enfants, Phérès et Merméros. Nous étudierons ce mythe au travers des œuvres des auteurs susmentionnés, car s'il apparaît clairement que Médée est une femme cruelle, déterminée, qui peut se montrer dangereuse, on peut aussi s'apercevoir que « Médée la sorcière » est aussi humaine, et qu'il y a une raison à sa triste réputation. C'est le sujet sur lequel nous allons nous pencher. Médée, une femme cruelle … Le nom de