Peut On Justifier Une Opinion

des rapports logiques et non contradictoires entre l’argument et le point de vue; l’argument et les preuves; les preuves et le point de vue; une preuve et une autre preuve; - Elle est convaincante, c’est-à-dire qu’elle ne s’appuie pas sur une opinion personnelle, mais sur les textes à l’étude. - Pour que votre explication soit complète, tâchez de répondre à trois questions : en quoi cette citation prouve-t-elle mon idée secondaire, en quoi prouve-t-elle mon idée principale, puis en quoi est-elle

De qu'elle vérité l'opinion est elle capable ? Introduction : - Nous avons coutume dans le language courant, de distinguer l'oinion de la vérité pour montrer qu'il ne peut y avoir de coincidence entre elles. Lorque quelqu'un emettant un avis quelconque ajoute : "ce n'est que mon opinion", on on comprend par la qu'il ne prétend à aucune vérité et que son propos est a prendre comme une affirmation très provisoire ou en tout cas très fragile en attente d'une éventuelle démonstration qui pourrait

I. motifs de discrimination interdits : Aucune personne ne peut être écartée d'une procédure de recrutement si elle est fondée sur l'un des motifs suivants :  • l'origine, le sexe, les mœurs, l'orientation sexuelle, l'âge, la situation de famille, la grossesse, des caractéristiques génétiques, • l'appartenance ou la non appartenance (réelle ou supposée) à une ethnie, une nation ou une race, les opinions politiques, les activités syndicales ou mutualistes, les convictions religieuses

Il s’agira donc de a) Définir les termes du sujet. b) Rechercher des synonymes, c) …des antonymes (des contraires, donc), d) … des expressions où l’on trouve utilisés les termes du sujets (« se forger son opinion », par exemple, si le mot « opinion » se trouve dans le sujet), e) … des mots formés sur le même radical que ceux du sujet (le mot « raison » renvoie ainsi à l’adjectif « raisonnable », par exemple). f) …des termes que l’on associe spontanément à ceux du

la première phrase et d’en tenir compte.  La présence de Si : La phrase débute par Si, ce qui attire l'attention sur l'idée d'une condition. Cette idée est soulignée par le mode du verbe principal, « je dirais ». Le conditionnel présent peut avoir ici valeur de potentiel (action réalisable dans l'avenir) ou d’irréel du présent (action irréalisée dans le présent). La présence de la condition, la volonté de défendre l'esclavage, éclairent le choix modal. Il s'agit d'une pure hypothèse, d’un

paraît dans certains cas justifiable pour réaliser la perfectionmorale.Cette lecture est marginale parmi les interprètes de Mill et laplupart voit dans son œuvre la défense d’une liberté individuelle totalequ’aucune considération morale ne pourrait justifier la limitation. S’ily a des limites à la liberté et à la tolérance, on ne devrait les tracerqu’en considérant les torts effectifs que les individus peuvents’infliger les uns aux autres dans l’exercice de la liberté. Cetteinterprétation robuste du

toute attitude universalisante ne peut être qu'illusoire ? De même, ne remet-elle pas en cause la valeur de la démocratie en traduisant une indifférence et un laisser-faire vis-à-vis des lois? Loin d'être cette vertu suprême qui nous obligerait, n'apparaît-elle pas alors plutôt comme l'une des conséquences majeures du nihilisme contemporain ? I - Nos sociétés démocratiques sont fondées sur le pluralisme et la relativité des valeurs impliquant le respect des opinions individuelles et de la liberté

L'homme a-t-il besoin de croyances religieuses ? Sujet : Opinion commune :  l’homme a besoin de croyances religieuses pour se structurer, pour différencier le bien du mal, pour se rattacher à dieu et donné un sens à son existence. Objection thèse : l’homme n’a pas nécessairement besoin de croire au divin, il a en lui les ressource pour faire face à la vérité en tant qu’homme libre

Introduction Dans Jour de colère, paru en 1942, Pierre Emmanuel exprime ses sentiments et ses opinions à l'égard des oppresseurs nazis. Ce texte montre que les prisonniers sont, en fait, libres, que leur souffrance est une force. Leurs bourreaux ne pourront qu'être vaincus puisque tout – notamment les valeurs fondamentales, comme celles liées à Dieu – les condamne. Nous montrerons d'abord que ce poème est lyrique et pathetique pour embellir l'image des victimes. Puis, nous verrons que, devenues

à sortir de soi pour s'intéresser à l'autre, à se mettre à la place d'autrui par une opération de décentration. Bergson précise cette expérience qui confine à l'empathie puisqu'il s'agit de comprendre l'interlocuteur sans pour autant partager son opinion et de laisser entendre que la relation qui s'instaure avec lui est quelque chose de rare, attitude que partage et illustre Philinte. [C. Fonction intellectuelle] Cet entraînement psychologique va de pair, selon Anne Debarède et Henri Bergson,