Peut On Légitimer La Violence

"jus ad bellum" implique une cause "juste" (-empêcher un gouvernement criminel de nuire pour protéger la vie d'innocents et sécuriser les droits fondamentaux de l'homme) pour faire la guerre. Celle-ci doit être déclarée comme telle par une autorité légitime responsable de l'ordre public international et non par des individus ou des groupes privés, (-le Conseil de Sécurité de l'ONU), ceux qui font la guerre doivent avoir des intentions "droites" ( n'ayant aucun intérêt dans l'issue de la guerre autre

social ≠ état de nature = seul, isolé, peut être attaqué, individuel… Se demander si l’Etat est légitime revient à se demander premièrement s’il est préférable de s’associer plutôt que de vivre à l’état de nature comme des animaux. Et en second s’il est justifié que certains commandent et d’autres obéissent. Nous semblons avoir choisi l’Etat comme cadre de notre existence, avons-nous eu raison ? La justification naturelle Certains auteurs pensent qu’il est légitime, qu’il se justifie car il est la condition

vivons, dont nous sommes témoins ou qui font régulièrement la une des journaux, donnent l’envie de partager cette conception. La violence et l’injustice semblent en effet prédominer dans le fonctionnement de notre société, la justice et la vérité apparaissent comme l’exception et non la règle. Dans ce contexte hostile où ces notions semblent avoir si peu de place, on peut légitimement s’interroger : “faut-il lutter pour que triomphe la justice?” Autrement dit, est ce obligatoire, impératif, de mener

 Au début de sa réflexion Weber se pose la question de l'ethos du politique en tant que « cause » à défendre, il se demande : Quelle est indépendamment des buts qui lui sont propres, la mission que la politique peut remplir dans l'économie globale de la conduite de la vie ? Quel est pour ainsi dire le lieu de l'éthique où elle réside ? tribuent à l'économie globale de la conduite de la vie correspondent chacune à un ethos particulier. Définir cet ethos c'est définir les caractéristiques de l'être

avec ce corps de lois essentielles sinon elles sont anti-constitutionnelles et impossibles en droit, contradictoires avec le droit fondamental qui définit le fonctionnement de l'Etat. Mais même si l'Etat est amené à changer et à se redéfinir ( on peut modifier la Constitution), il est doté d'une constance plus importante que celle de la vie d'un homme. Il dure. Il s'inscrit dans le temps, dans l'histoire. La Constitution d'un Etat lui assure d'ailleurs cette permanence. La création politique qu'est

l’abolition de la monarchie absolu. Le problème apparaît alors différemment, la révolte est-elle légitime dans le sens où elle porte en elle une idée de refus face à une injustice, ou une autorité que l’on peut juger arbitraire ou au contraire est-elle illégitime puisqu’elle peut parfois se montrer abusive voir inéquitable, pour répondre à cette problématique les réponses peuvent être oui la révolte est légitime ou non elle ne l’est pas. Dans la réponse à cette problématique il s’agira de délimiter à la

des faits présentés, l’infraction commise par Axelle semble être une infraction volontaire, en effet Axelle a volontairement foncé sur une personne. Cet acte matériel peut être qualifié d’une violence volontaire sans intention de la donner, infraction prévue à l’article 222-7 du CP. Elle a la volonté de commettre des violences, mais aucun élément nous permet de dire qu’elle avait la volonté de tuer. • Puis la deuxième question. Sur 5 points, donc mettre des éléments du cours. Bien définir.

La légalisation des drogues douce en France serait-elle la solution la plus efficace pour en calmer ses effets sur la société ? Nous verrons que si la prohibition est une solution pour légitimer le combat contre les drogues douces, elle n’en est pas le meilleur remède. I/ Des raisons pourraient légitimer la légalisation des drogues douces(…) A) La légalisation des drogues douces n’en arrêtera pas ses effets néfastes sur l’organisme(…) - Pas d’overdose due au cannabis, mais troubles du

contrainte légitime qu’elle « transfère » au groupement qu’elle constitue, comme étant le moyen normal d’action de celui-ci. L’État possède cette contrainte, cette violence physique, en monopole, qui est l’une des conditions sine qua non de son existence : l’auteur précise que sans celle-ci, le groupement politique serait une anarchie (i.e. une organisation politique sans autorité coercitive suprême), et non un État. En effet, comment imaginer une organisation politique dans laquelle la violence physique

chambre criminelle refuse d’appliquer cette incrimination au motif que le directeur avait l’obligation de publier en vertu de la loi (loi civile) et que sur ce point il n’avait aucun pouvoir d’appréciation. §2 le commandement de l’autorité légitime La légitime défense des personnes prévue à l’article 122-4 il permet à un subordonné de s’exonérer de ses obligations pénales en invoquant un ordre reçu. L’autorité est une autorité publique (=civile ou militaire). Cela exclu l’autorité parentale ou