Peut On Ne Pas être Soi Même

Introduction: L'Homme, entre nature et culture. Peut-on veritablement parler de Nature humaine ? I°/Pourquoi n'accordent-on pas la conscience aux animaux ? A- La nécessaire médiation du language (Texte de Karl Popper) B- Comment devient-on conscient ? (Texte de Hegel) II°/La pensée est-elle une émanation de la matière ? A- Que signifie l'expression :»Le cerveau pense» ? B- Peut-on distinguer l'esprit du corps ? III°/Peut-on se connaître soit même ? A- La question de l'identité B- Qu'est-ce

PHILOSOPHIE La Conscience Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme un redoublement à l’intérieur de nous-mêmes de ce que nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que nous faisons communément

l’est peut-être pas ! ». En disant « dans l’absolu », on ne fait aucune relation entre cette personne et qui que ce soit. On est dans le domaine de l’absolu, même dans un cas aussi précis et aussi concret. L’_absolu_, c’est ce dont l’existence ou la réalisation ou la valeur est indépendante de toute condition de temps, d’espace, de connaissance. Le relatif, c’est au contraire, ce qui devrait être comparé avec la moyenne des notions, des choses ou des êtres de même espèce, et ne peut être évalué

Les Méditations métaphysiques (ou Méditations sur la philosophie première) sont une œuvre philosophique de René Descartes, parue pour la première fois en latin en 1641. Plan des Méditations 1. Première méditation : Des choses que l'on peut révoquer en doute. 2. Méditation seconde : De la nature de l'esprit humain ; et qu'il est plus aisé à connaître que le corps. 3. Méditation troisième : De Dieu ; qu'il existe. 4. Méditation quatrième : Du vrai et du faux. 5. Méditation cinquième : De l'essence

L'amour n'est pas explicable et ne peut pas être commandé. Par conséquent, l'amour apparait intérieurement et ne se ressent pas forcément par une attirance physique. Le vrai amour ne peut être détruit par un simple changement physique ou par un manque d'attirance à cause de la vieillesse. Ainsi, on peut se demander si, comme le prétend Camus «  Aimer un être, c'est accepter de vieillir avec lui ». La beauté joue tout de même un rôle dans une relation. Il n'est pas probable d'aimer quelqu'un que

La connaissance de soi est elle possible? Cette notion de connaissance de soi semble être récurrente depuis l'antiquité grecque et peut être même plus. Comme on peut le constater, avec par exemple l'inscription sur le fronton de Delphes, « connais-toi toi même », elle semble même être une valeur quasiment indispensable. Mais cette notion qui semble être une valeur majeur, soulève de nombreux questionnement comme, par exemple: quels buts vise cette connaissance? Qu'est t-il nécessaire

le soit ? Pour traiter ce sujet, il parait nécessaire de clarifier la différence entre le sentiment de liberté et la liberté réelle. Le sentiment de liberté renvoie à un état psychologique : on se pense libre, et ainsi, on se considère maitre de soi même, responsable de ses actes. Ce sentiment est sûrement nécessaire pour vivre, lié au désir de reconnaissance : comment vivre si l’on pense que l’on n’est pas maitre de soi. La liberté réelle implique non seulement de se sentir libre mais de l’être dans

au devenir et au changement, reste pour nous l’idée d’un morceau de cire autrement dit, l’ego peut concevoir avec son entendement n’importe quelle idée même l’infini, et ici, la cire fondue ou solide, reste la cire que nous conceptualisons.La connaissance de l’âme par elle-même est intrinsèquement plus claire, plus évidente et par conséquent elle doit être première.Méditation I (Des choses que l’on peut révoquer en doute) : —> Question de base : Y a-t-il une vérité qui soit absolument certaine

Être généreux avec autrui, est-ce une manière déguisée d’attendre quelque chose en retour, ne serait-ce qu’une reconnaissance ? Autrement dit, le don n’est-il qu’une forme d’échange intéressé ? À la question de savoir si la générosité peut être désintéressée, le stoïcien Sénèque répond, dans cet extrait de l’ouvrage Les Bienfaits, que si l’on peut tirer une satisfaction à faire le Bien, l’intérêt reste secondaire par rapport à ce que pourrai être un « vil calcul » ; en ce sens la morale elle-même

serais heureux si j’avais…”. En attendant que celle-ci se réalise, il ressent un manque, il est malheureux car il souffre de ce manque. En effet, il semble exister un paradoxe inhérent au désir. Le désir peut être compris comme le mouvement de mon existence, et en ce sens être l’affirmation de mon être propre. Cependant, il semble aussi avoir pour fonction de barrer l’accès à la jouissance puisqu’on ne désir que ce qu’on ne possède pas. En effet, la notion désirer provient du latin “desiderare”, c’est-à-dire