Peut On Obéir Librement

Rapport de psychosociologie Sommaire Introduction 3 1. l’Obéissance à l’Autorité 4 a) D’un point de vue sociologique 4 b) D’un point de vue psychologique 5 c) Illustration de TAYLOR 6 2. la soumission librement consentie 7 a) L’autoritarisme : bien loin de l’idéal démocratique 7 b) Expérience de David GLASS 7 3. la soumission par obligation 9 a) les étapes de l’Obéissance 9 b) L’état agentique d’un individu 10 c) Expérience de MILGRAM 10 CONCLUSION 12 BIBLIOGRAPHIE

NECESSITE—OBLIGATION La nécessité doit être distinguée de l'obligation : est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être (ce qui est forcément) , tandis qu'est obligatoire ce qui est exigé par une loi civile ou morale. Ce qui n'est pas nécessaire, ce qui peut soit être, soit ne pas être est appelé contingent. Est nécessaire ce qui relève d'une règle logique (par exemple, il est nécessaire que A soit égal à A) ou d'une loi physique (par exemple, il est nécessaire que si je me jette par la fenêtre

réaliser. Obéir aux lois ne serait pas faire abstraction de sa propre liberté. Dans ce sens nous verrons que le texte se scinde avec trois thèmes distincts : dans un premier temps nous verrons que les lois de la nature sont nécessaire pour la société car elle obéissent à un déterminisme, d’autre part nous montrerons l’importance que Rousseau accorde aux lois comme élément indéniable d’une coercition et enfin nous montrerons que dans l’analyse de Rousseau, obéir aux lois n’est pas obéir à un seul

acquérir tout au long de sa vie, c’est une aspiration commune a tous. on peux définir le bonheur comme un état durable de satisfaction. Comment le bonheur peut il être atteint ? Il y a-t-il des conditions qui nous empêche d’être heureux comme par exemple l’aliénation de l’individu ? Dans la question « Faut il se libérer de la morale » on peut se demander si l’on doit se libère de la morale afin de vivre épanoui et heureux Il est alors insinué que la morale est différente de la liberté. La morale

puissance de choix exclut-elle le soumission à des règles de vie pratiques et morales? Peut-on accepter toutes les idées ? Etre maître de soi. La liberté n'est-elle qu'une passion ? (Liberté) La liberté n'est-elle qu'une passion ? (Liberté) "C'est plus fort que moi" Peut-on etre responsable sans etre coupable ? Le prisonnier est-il libre? Sommes nous libres ou déterminés? (Liberté) Qu'est-ce que la maîtrise de soi? Peut-on être libre sans être responsable? L'égalité et la fraternité sont-elles nécessaires

contrainte. Donc si nous devons, nous n’agissons plus comme nous le voulons, et nous avons donc la sensation de ne plus être libres. Pourtant, est-ce que liberté et obéissance s’oppose réellement ? Obéir, est-ce réellement renoncer à être libre ? Et tout d’abord, qu’est-ce qu’obéir, ou être libre ? Obéir, c’est généralement se soumettre à la volonté d’une autre personne, ou d’un groupe, d’une autorité supérieure, d’une loi, … Être libre est une notion complexe que chacun définit à sa manière et qui

que les autres ont sur nous. » Cela implique que mon devoir est une contrainte exercée par les autres, c’est une force extérieure qui m’empêche l’action volontaire. Le devoir est-il réellement une contrainte qui m’est extérieure ? Si c’est le cas, on peut alors se demander qui est autorisé à me dire « Tu dois », c’est à dire qui a le droit de me dicter mon devoir. Le droit est ce qui est légitime ou légal, ce qui est permis par des règles non écrites, le droit naturel (l’ensemble des prérogatives

JACQUES ROUSSEAU Depuis des siècles, l’homme vit entouré d’autres hommes sur la planète. Tout a commencé par la vie en communauté, c’est-à-dire une vie commune partagée entre les hommes dans des communautés qui se sont développées en cités et qu’on peut appeler maintenant une société. La société est principalement construite des individus qui ont décidé de vivre ensemble dans une communauté puisqu’ils partagent tous les mêmes besoins fondamentaux. Par contre, vivre en communauté implique des conséquences

L’obéissance est-elle nécessairement contraire à la liberté ? On peut définir la liberté comme l’absence de contrainte dans l’action. En ce sens, tout être pouvant agir de lui-même peut agir librement. Néanmoins, l’animal ne fait que suivre ses tendances, ses désirs, tandis que l’homme, par la volonté, est capable de les réfréner et d’agir en fonction d’autres motifs. En ce sens, seule l’action humaine peut être dite libre. On peut néanmoins contester cette différence, c’est-à-dire refuser l’idée

serfs, sujets, bref des êtres soumis à des pouvoirs en place. Obéir est-ce renoncer à sa liberté ? La liberté est vue couramment comme le fait de pouvoir faire tout ce que l’on veut sans aucune contrainte. Obéir c’est se soumettre, se plier à la volonté d’autrui. L’obéissance suppose alors un état de contrainte puisqu’on se voit contraint, soumis à ce que quelqu’un d’autre souhaite et qui ne vient donc pas de notre choix personnel. Obéir aurait alors pour conséquence de renoncer, d’abandonner sa liberté