Peut On Penser Seul

dissertation. I - Sujet : « Peut-on être esclave de soi même ? » Les hommes sont naturellement libres de penser et d'agir selon leurs envies et leurs besoins. Il leur arrive parfois de ne pas pouvoir se contrôler et de réagir en suivant leur instinct ou leurs sentiments, de parfois avoir des pensées qui n'ont pas lieu d'être. Les pensées sont souvent symboles de liberté, car personne ne peut contrôler celles d'une autre personne. Même les esclaves noirs pouvaient penser ce qu'ils voulaient, seuls

comme indices au début du texte « c’est aujourd’hui samedi » (p31). Quelques temps après on peut lire « passer la journée de dimanche dans son cabanon » après deux semaines de travail et un weekend « à la plage » (p51) avec Marie. On peut en conclure que la première partie se déroule sur deux semaines. La deuxième partie qui traite de l’instruction du dossier de M. Meursault se déroule sur onze mois car on peut lire « les onze mois qu’a duré cette instruction » (p108) jusqu’en juin « mon affaire … se

* Y a-t-il un âge pour penser ? * Peut-on apprendre à penser ? * Peut-on penser par soi-même ? * La pensée a-t-elle besoin de guides? * Penser par soi-même est-ce ne pas penser comme les autres ? * Y a-t-il un art de penser ? * Qu'est-ce que penser par soi-même ? * Faut-il apprendre à penser ? Ici, on vous interroge sur la possibilité d'une pensée autonome, libre, ne dépendant pas des autres. Car il est toujours possible de penser par l'intermédiaire des autres, c'est

contredisent la loi de ma liberté, c'est la loi de mes passions dans mon expérience. Obéir à la loi, c'est obéir à la raison. Nous avons un besoin de penser à la possibilité d'un progrès infini de notre acte libre et besoin d'y croire en dépit du monde et de sa réalité, cela est en quelque sorte approprié à l'intention de ma bonne volonté. L'homme a besoin de se penser comme accomplissant le Souverain Bien, nous sommes à ce niveau en référence avec la dialectique de la raison pratique. Dans le paragraphe 9

pensées d’un individu. Mon cerveau est donc pour moi condition nécessaire de mon accès à la pensée. Mais est-il pour autant à lui seul le sujet de la pensée ? Est-ce mon cerveau ou est-ce moi qui pense et qui cherche à se connaître soi-même, ou au moins à se comprendre ? Quel pourrait être ce moi distinct du cerveau quoique inséparable de lui ? Faut-il penser une âme distincte du corps, entraînant de graves difficultés d’union de cette nouvelle substance avec la substance corporelle, ou bien

première vue autrui ne peut pas faire partie de ma conscience car celle-ci m'appartient... Mais si j'ai une conscience de moi(soi), tout comme moi, autrui peut avoir une conscience de lui même, mais, si notre conscience de soi nous permet de penser, la conscience d'autrui peut aussi nous penser, il y aurait donc une relation entre soi et autrui? Nous essayerons de répondre à cette question; la conscience de soi nécessite t-elle la présence d'autrui? Ainsi, il est naturel de penser dans un premier temps

en saisissant leur essence par le penser subjectif. C'est entre autres cette naïveté qui a amené Kant à en faire une critique. (Hegel, Heidegger et la métaphysique: recherches pour une constitution, p. 164) Cette métaphysique dogmatique limitait la philosophie à plusieurs égards. Pour qu'une réalité soit admise comme véritable, il fallait qu'elle soit comprise par et en la chose même; avec le penser comme seul outil. C'est donc dire que cette action de penser ne se ferait pas d'une quelque manière

Peut-on apprendre à penser ? L'homme semble se définir par sa pensée. Cette faculté qui lui permet de concevoir, de juger, de raisonner lui est indubitablement réservée. Pourtant dès lors que l'on pose cette affirmation, un problème se dessine : celui de l'apprentissage de cette capacité. Apprendre est un processus qui vise à passer d'un état d'ignorance à un de connaissance. Cela voudrait-il supposer qu'à la naissance, l'individu n'aurait pas cette aptitude à penser et que sans

que tout le pouvoir de décréter appartienne soit à tous collectivement, soit à quelques-uns, soit à un seul. Puisque, en effet, le libre jugement des hommes est extrêmement divers, que chacun pense être seul à tout savoir et qu’il est impossible que tous opinent pareillement et parlent d’une seule bouche, ils ne pourraient vivre en paix si l’individu n’avait renoncé à son droit d’agir suivant le seul décret de sa pensée." Le Traité Théologico-Politique est un ouvrage de Spinoza, écrit au XVIIème

L'importance de bien maîtriser sa langue maternelle. C'est en apprenant sa langue maternelle, que nous apprenons à parler. Le mot «parler» peut-être défini comme un moyen d'exprimer sa pensée par le langage articulé, par des gestes ou encore comme un moyen de communiquer avec autrui. Si nous prenons un enfant en bas âge à qui personne n'apprend à parler et n'est pas stimulé pour parler, à long terme, nous remarquerons qu'il n'évoluera pas comme les autres. Alors qu'un enfant avec plus de stimulation