Peut On Penser Seul

raison doit toujours être libre, et lui seul peut amener les lumières parmi les hommes… » – Emmanuel Kant, Qu’est-ce que les Lumières ? 1° paragraphe : Expliquez en vos mots la citation. Ce texte n’a pas été lu dans le cadre d’un cours, mais bien dans le cadre du commentaire comparatif. Dans le premier paragraphe du texte d’Emmanuel Kant, il explique que les hommes sont responsable de leurs propres minorité, c'est-à-dire qu’ils sont incapable de penser (entendement) sans l’aide d’autrui, et

philosophie Note :Appréciation :Peut-on penser par soi-même ? La raison est une faculté propre à l’Homme qui lui permet de connaître, à travers la réflexion. A première vue, il semble que l’accès à la connaissance s’offre à nous de part et d’autre du monde, à travers toute sorte de support. Cependant, n’y aurait-il pas une distinction à faire entre penser simplement et penser par soi-même ? Autrement dit, dans quelle mesure peut-on dire que l’Homme peut être maître de ses pensées, sinon

d'autrui, à la fois pour la conscience de soi et pour la connaissance de soi : cette interdépendance mutuelle peut même être vue comme une condamnation. D'une part, on a besoin du dialogue avec autrui pour sa construction intellectuelle, même si cela comporte des risques. D'autre part, autrui est essentiel à la construction morale : son jugement est implacable, au point où le regard des autres peut constituer un enfer. ILe besoin de l'Autre AL'hypothèse d'un monde sans autrui 1L'être cartésien, un être

d’âme. «  Par le corps, j’entends tous ce qui peut être terminé par quelque figure ; qui peut être compris en quelque lieu, et remplir un espace en telle sorte que tout autre corps en soit exclu ». (Descartes p.75) Enfin, tout est un corps, tout ce qui est une partie de matière, même la nature. Descartes ne doute aucunement de la définition du corps. « Je ne doutais nullement de sa nature » (p.75) Donc, puisque les mathématiques pour Descartes sont les seules connaissances fiables et qu’il ne doute pas

venir, comme pour h�ter son cours ; ou nous rappelons le pass� pour l'arr�ter comme trop prompt ; si imprudents, que nous errons dans des temps qui ne sont pas n�tres, et ne pensons point au seul qui nous appartient ; et si vains, que nous songeons � ceux qui en sont plus rien, et �chappons sans r�flexion le seul qui subsiste. C'est que le pr�sent, d'ordinaire, nous blesse. Nous le cachons � notre vue, parce qu'il nous afflige ; et s'il nous est agr�able, nous regrettons de le voir �chapper. Nous t�chons

Penser par soi-même est-ce penser tout seul ? Ou est-ce savoir faire la part entre ce que nous avons déjà acquis, et ce que nous voulons tirer de ces informations ? Penser serait alors une mosaïque de tout ce que nous avons appris et toutes les opinions et préjugés que nous avons inconsciemment en nous. Ainsi, peut-on tout simplement penser par soi-même ? I)1) La pensée, c’est l’ensemble des idées d’un individu, ou d’un groupe d’individu. C’est aussi la manière dont l’esprit s’exprime. C’est cette

Philosophie Peut-on dire « à chacun son opinion ? » Montesquieu a dit « la liberté est de pouvoir faire tout ce que les lois le permettent ». Vivre dans une communauté, c’est tout d’abord le fait de respecter certaines lois, d’évoluer avec des principes et des mœurs propres à notre communauté. L’individu seul n’existe plus au sein d’une communauté, seulement l’ensemble des individus a une réel importance. Dans le terme « peut on » nous pouvons aborder le thème de la liberté de penser. Pour être

plaisir participe à l’approche du souverain bien, comblement de tous nos désirs : le bonheur. Pourtant la pensée par ce même sentiment nous conduis à subir la douleur de la perte d’un proche à l’encontre de ce bien absolu. Faut-il alors s’abstenir de penser pour être heureux ? L’éradication de la pensée éviterait elle de connaître déplaisirs nous ramenant vers un bonheur plus certain ? La pensée ne serait elle pas source de plus grands plaisirs vers un plus grand bonheur ? Nous verrons dans un premier

d’un savoir, d’une culture inégalable et de beaucoup de techniques. Il sait raisonner et comprendre ses fautes pour mieux évoluer. L’Homme est également capable de penser à l’univers qui l’entoure et fait donc également preuve de conscience. De ce fait, l’Homme a-t-il une place privilégiée dans la nature ? Nous pourrions également penser que non, qu’il est seulement un acteur de notre univers qui le contient. Il a également besoin de la nature pour accomplir ses besoins vitaux tel que se nourrir et

Faut-il penser à la mort ? La mort, déprime, fais peur et sa pensée nous paralyse d'angoisse car elle apparaît comme inexplicable, inévitable. Être insouciant, c'est se libérer de la pensée de la mort, ne pas se projeter dans un après, qui pourra autant être demain que dans cinquante ans, afin de profiter du moment présent. Dans ce cas, l'homme ne s'attache qu'à des plaisirs éphémères et momentanés. Il vit de divertissements, comme Jacques le fatalistes de Diderot: « Boire de bons vins