Peut On Penser Une Societe Sans Etat

doit faire la différence entre ce que les hommes ont pu être et ce qu'ils sont devenus « à travers tous les changements que la succession des temps et des choses a dû produire dans sa constitution originelle » ( para.1 ). Tout le problème est qu'on ne peut partir dans la reconstitution de cette évolution que des hommes tels qu'on les connaît actuellement et qu'il est par conséquent difficile de séparer ce qu'il y a « d'originaire et d'artificiel dans la nature actuelle de l'homme » (para.4 ). C'est pourquoi

complètes. Le thème du texte est la liberté. Ce texte définit la liberté de l'homme dans une société organisée. L'auteur tente démontrer dans ce texte que la liberté de penser ne représente pas le moindre danger politique, qu'il n'y a aucune nécéssité de censurer les opinions des citoyens pour que l'État puisse se maintenir. Cette thèse nous montre qu'au XVII siècle, on considère que la liberté de penser représente un danger majeur sur un plan politique. À peu près tout les États européens ont

ont une valeur absolue, irremplaçable (dignité) tandis que les choses n’ont qu’une valeur relative (marchande) car H peut raisonner sur lui mm, mettre en question ses actes, dire « je ». Lacan (psychanalyste) : « stade du miroir » : jeune enfant se reconnait dans son reflet. Husserl : intersubjectivité est fondatrice de l’objectivité, c’est en communiquant avec autrui que le sujet peut sortir de sa subjectivité. Risque de solipsisme (certain de son existence mais doutant de la réalité du reste du monde) 

Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ? Il est aujourd’hui indéniable que la société est une donnée essentielle pour l’Homme dans le sens ou aucun être humain ne vit hors d’une société, hors de tout contact avec un autre congénère. Par société on peut entendre une association d’hommes qui vivent ensemble selon des lois qui leurs ont été léguées ou qu’ils se sont prescrites. Dire que l’on vit hors d’une société revint donc à dire que l’on vit sans être soumis à aucune loi, ce qui

Le Droit Ensemble des textes qui régissent une société qui si elles ne sont pas respecté appelle à la sanction. Prérogative de l’Etat qui formule et qui punit lorsqu’elles ne sont pas respectées. Premier texte juridique 1750 av. J.C. la loi Hannourabi. Texte babylonien. Règle qui touche de nombreux aspects de la société. Le Droit dans un premier temps va mettre un terme à la vengeance. Dynastie des Atrides qui va disparaître à cause de la vengeance. Cette justice, basée sur la violence, n’est

I. En un sens oui, car si l’absence d’Etat est l’état de Nature hypothétique, on peut imaginer comme Rousseau que les hommes y jouissent d’une liberté « totale » qui n’a pour bornes que les force de chacun. Qui dit Etat, dit forcément règles communes,donc limitation de la liberté de chacun pour bénéficier de la protection de la force commune. L’Etat étant un lieu de pouvoir on peut aussi craindre des abus à la mesure de ce pouvoir transcendant, alors qu’à l’Etat de nature, même si certains sont plus

, acquise,fondamentale Postulat : nous sommes des êtres sociaux donc nos comportements sont appris relèvent d’une éducation et sont travaillés par notre enviSe perçoit dans des choses anodines Culture peut aller jusqu’à ma manière de parler, marche et m’asseoir Culture travaille l’individu y compris dans des comportements qui semblent instinctifs Pratique hygiène corporels, tic, pratique obstétrique Réfutent les théories naturalistes

QUELLE EST LA VALEUR DU « PENSER PAR SOI-MEME » ? « L'homme est un animal doué de raison », selon Aristote. Cela signifie en ce sens que l'espèce humaine est à même de pouvoir juger, appréhender, élaborer des langages et surtout, a la particularité que chaque représentant de l'espèce a conscience de lui-même et possède la capacité de penser par lui-même. Mais qu'implique exactement le fait de « penser par soi-même » ? Il pourrait en effet paraître curieux de se dire que l'on pense par quelqu'un

entendement – en préférant sans doute êtres sous la direction intellectuelle d’un autre. Mais l’esprit des Lumières, c’est également se libérer de la tutelle des habitudes et mœurs de l’ancien temps ! Ainsi Fichte revendiquera bec et ongles la liberté de penser ; Locke et sa fameuse Lettre sur la Tolérance entendra fonder en raison la tolérance religieuse et la liberté de culte ; Montesquieu sera le théoricien de la séparation des trois pouvoirs, pour éviter que les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire

semble. On peut alors se demander si la loi est réellement une garante de nos libertés ou faut-il envisager une autre forme de liberté sans la loi ? Ce devoir porte sur la notion de liberté ainsi que son existence à travers la loi. La liberté correspond à une absence de contrainte par rapport aux actions d'un individu. La loi peut prendre, elle, plusieurs sens : elle peut faire écho aux lois juridiques, politiques et sociales, c’est-à-dire les lois appliquées par la Justice, mais on peut aussi entendre