Peut On Renoncer A La Culture

Chapitre 1 : La vérité – La raison – La croyance 1) La recherche de la sagesse A partir de l’étymologie du mot philosophie : Philo : celui qui aime, Sophie (Sophia) : la sagesse= savoir =ordre de la connaissance, la vérité, salut= ordre de l’action, bien agir. Chez les grecs anciens : cohésion entre savoir et salut : si on sait, on agit pour le bien, contre le mal Pythagore aurait inventé la philosophie=modestie, humilité, recherche de la connaissance Opposition avec les sophistes qui

comme « Molière », est né à Paris le 15 janvier 1622 et il est mort en 1673, toujours à Paris. Il a décidé de renoncer à son rang familial pour suivre sa passion : le théâtre. Malgré les années passées, il reste l’une de plus importantes figures de la culture française grâce à son contribue à la dramaturgie et à la comédie. A’ travers ses œuvres, il a souvent observé et critiqué la société où il vivait (celle du XVIIe siècle), en soulignant ses mœurs et ses contraintes. Il a été un comédien et dramaturge

« connaissance exacte et approfondie ». Un art qui a permis découvertes technologiques fondamentales pour la vie de l'homme et qui avance jour après jour. Si on enlève aux hommes cette capacité il leur reste la conscience, la faculté de porter des jugements de valeur morale sur les actes; c'est donc l'âme de l'individu, la partie qui devrait aider à considérer les aspects positifs et négatifs des découvertes. Mais la science, doit-elle tenir compte de la conscience? A-t-elle toujours été exploitée pas des êtres

« l’appétit accompagné de la conscience de lui-même ». L’appétit est cette force qui pousse à rester en vie, cet effort à "persévérer dans son être", comme le dit Spinoza. L’appétit semble être spécifique à l’Homme car le désir relie à la fois les besoins du corps à l’esprit, la conscience. Mais la plupart de nos appétits sont inconscients ou instinctifs, par exemple, on respire sans y penser. Chez l’homme, à certains appétits viennent s’ajouter la conscience. Et c’est cette conscience qui transforme

de la personne, à savoir : « Qui JE suis dans mon environnement ? Quelle est MA JUSTE place ? » L’identité est en effet spécifique à chacun, c’est ce qui me distingue des autres… Amin MAALOUF, dans son livre « Les identités meurtrières », définit l’identité comme suit : « Mon identité, c’est ce qui fait que je ne suis identique à aucune autre personne. C’est une appartenance à une tradition religieuse, une nationalité, parfois deux, à un groupe ethnique ou linguistique, à une famille plus

illimité et propre à chacun. Il faut le distinguer du besoin, qui lui est déterminé par la nécessité et qui obéit au déterminisme du corps cherchant à se maintenir en vie (le besoin est vital). Le désir, quant à lui, implique la conscience.Cruel constat d'une privation: nous désirons ce qui nous manque (état d'insatisfaction).Il est contradictoire car il veut et ne veut pas être satisfait. Il est de son essence de ne pouvoir être satisfait (ici-bas)Le désir amène souvent à la déraison. Il pose

subjectivité et vérité Foucault n'est pas universaliste du vrai : société-civilisation. On présente des vérités de société-civilisation : relativisme culturel et non individuel→ consensus : accord empirique. Foucault est un Nietzschéen qui lui même a repris Protagoras. Pas de vérité absolue : la vérité se veut intemporelle. Foucault va appliquer ce paradigme notamment dans les rapports de la subjectivité et la vérité : il appelle ça des jeux de vérité: le sujet s'adapte de lui même au discours vrai

Amélie Nothom – p20-21- Appréciation de texte Avant l’extrait : Monsieur Omoschi a organisé une importante délégation. Amélie est demandée de faire le café pour cette réunion. Elle pense d’avoir accompli la tâche dans un mode très satisfaisant mais puis elle est appelée dans le bureau de Monsieur Saito qui est très fâché. Apparemment elle a mis en colère Monsieur Omoschi parce qu’elle a parlé le japonais. Apres l’extrait : Elle est triste et pensait de quitter la compagnie. Mais elle est aussi

Analyse du sujet Cette question conduit `a r´efl´echir au rapport, en l’homme, entre nature et culture. Plus exactement, le probl`eme est de savoir si le propre de l’homme est d’´echapper `a une nature animale (instinctive et sensible) par acc´eder, au moyen de l’´education, `a une nature humaine (cultiv´ee et rationnelle) dont le propre serait alors l’intelligence et la capacit´e `a raisonner. Ce probl`eme suppose donc de trancher au sujet d’une double d´efinition possible de l’homme, comme

formes qu’elle peut prendre incluant la liberté d’expression ou de penser a beaucoup évolué. C’est ainsi que l’on peut, comme Jean Starobinski, voir dans le siècle des lumières celui de « l’invention de la liberté. » Nous allons donc en réponse à cette affirmation, nous demander s’il est exact que la notion de liberté est la découverte centrale du siècle des lumières. Nous étudierons le point de vue de Jean Starobinski puis ses limites. Le point de vue de Jean Starobinski peut être étayé par