Peut On Se Passer De L Hypothèse De L Inconscient Pour Explique Notre Conduite Texte D Alain

Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs (=atteindre le bonheur). Leur conduites pourraient donc être moralement bonnes. ex. Les pays développés ont plusieurs machines qui leurs permettent d’accéder à un mode de vie supérieure. LEVI-STRAUSS : Dés qu’une civilisation n’est pas très développée sur le domaine de la technique

gravitent autour d’elle et sont à approfondir. La notion de conscience doit s’étudier parallèlement avec d’autres concepts : inconscient, désir, pulsion, passion, illusion, mémoire, perception, raison, imagination... (et d’autres encore) Attention au concept d’ inconscient : le pb cs/incs est très récent. a. Distinguer le concept des philosophes (comme Leibniz, Nietzsche, Alain, Bergson, etc.) du concept psychanalytique (Freud, Jung, et leurs successeurs…) b. Les concepts de la subjectivité comme :

L'obstacle verbal et unitaire : un mot va être appliquer à tout bout de champ (lumière) Il y aurait aussi une psychanalyse seconde : qui chercherait la rêverie derrière l'expérience – connaissance objective. La science est travaillée par un inconscient. Freud a mis au point une psychanalyse première : le pouvoir de l'inconscient (qui est actif derrière notre conscience) – conscience subjective Bachelard s'est intéressé aux 4 éléments (l'eau, la terre, le feu, l'air) et a publié des ouvrages

opinion. Socrate utilisait une démarche rationnelle qui consistait en trois procédés : l’ironie, la maïeutique et l’induction. Cette démarche passait par le discours, c’était une démarche intuitive. L’ironie permet de mettre à jour une ignorance inconsciente. La maïeutique est l’accouchement des esprits. La mère de Socrate était sage-femme. Socrate, lui mettait au monde la vérité par la maïeutique qui met à jour une connaissance dont nous n’avions pas conscience (mythe de la réminiscence). L’induction

question de recherche : “L’influence de la littérature sur la vie réelle”……………………………………………………………………………………….5 II. L’état de la question…………………………………………………………………………. 8 2.1.La réalité narrative…………………………………………………………………………..... 8 2.2. Le monde du texte et du lecteur………………………………………….…………………..13 2.3. La lecture comme formation et expérience………………………………………………….15 III. Qu’est que je peux apporter de nouveau à mon sujet «L’influence de la littérature sur la vie réelle » ? ………………………………………………………………………

dialectique), mais à la confirmer. Vous devez préciser ce que recouvre l’expression « le monde ». « Pourquoi » vous invite à chercher les raisons de cette aptitude de la poésie, mais aussi les moyens auxquels elle a recours pour cela. La problématique peut être reformulée ainsi : Pourquoi la poésie est-elle particulièrement apte à faire connaître le monde ? Chercher des idées Scindez cette problématique en plusieurs sous-questions, en variant les mots interrogatifs : « Pourquoi les poètes voient-ils

Sébastien Niel    Thèse dirigée par :  Pierre Bayard                          Soutenue le mardi 28 juin 2011    Jury :  Denis Bertrant (Université Paris 8)  Alain Pagès (Université Paris 3)  Alain Trouvé (Université de Reims)  Résumé de la thèse  Zola est un grand écrivain de la folie. Ses œuvres décrivent les processus psychiques et inconscients de l’esprit humain. Il a dépeint les forces archaïques qui traversent le corps et ravagent le psychisme de ses personnages. On pourrait s’attendre à ce que

l’édition de référence, très utile parce qu’elle comporte notamment les brouillons du roman sous la forme de « notes préliminaires », de « plans » et d’« ébauches », mais malheureusement épuisée : Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, Miracles, précédé de Alain-Fournier par Jacques Rivière, texte établi et annoté par Alain Rivière et Françoise Touzan, présentation et bibliographie de Daniel Leuwers, Paris, Classiques Garnier, 1986. Toutefois les indications fournies permettront de se repérer aisément dans d’autres

de référence, très utile parce qu’elle comporte notamment les brouillons du roman sous la forme de « notes préliminaires », de « plans » et d’« ébauches », mais malheureusement épuisée : Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, Miracles, précédé de Alain-Fournier par Jacques Rivière, texte établi et annoté par Alain Rivière et Françoise Touzan, présentation et bibliographie de Daniel Leuwers, Paris, Classiques Garnier, 1986. Toutefois les indications fournies permettront de se repérer aisément dans d’autres

et le possible est une des provinces du vrai » écrit Baudelaire (texte 1). Mais l’imagination est également une source d’erreurs et d’illusions, car elle nous renseigne moins sur la réalité elle-même que sur les réactions de notre corps et de notre sensibilité à notre milieu. C’est l’interférence des sources de nos représentations qui serait la cause de l’illusion, dont l’imagination est en l’occurrence directement responsable (texte 2, d’Alain). Il faut donc se demander pourquoi l’imagination fait