Peut On Vivre Sans Oublier

sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici.-« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car nous fuyons vers d’autres temps ( le passé et l’avenir) plutôt que de le vivre. Nous sommes toujours dans la fuite, dans l’imaginaire ou dans l’oubli.- Se "tenir" à quelque chose c'est s'en tenir à lui et s’en contenter. Or nous fuyons précisément le présent car nous ne nous en contentons pas. Il ne nous contente pas car il nous

devoir de mémoire et de résistance face a des fléaux inévitables de notre histoire. Certains ont réussi é dénoncer, d’autres ont vainement essayé de vivre en écrivant, et d’autres ont réfléchi a ce que pouvait au font être l’humain et ces conditions de vie après des génocides, après des massacres, après une guerre avec cette envie ,non pas de vivre, mais de survivre. Il fut un temps où pouvoir parler de ce que l’on ressentait, de ce que l’on vivait était très dur et assez mal-vu par la population

à la frustration mais il ne faut pas oublié que celui-ci est une partie de l'homme. Cependant, les désirs nous empêcheraient-ils d’être libre ? Ou bien, au contraire, doit-on en réaliser certains pour être libéré ?Mais peut-on seulement vivre sans désirer ? Toutes ces questions posent un problème assez clair : Renoncer à nos désirs, c’est-à-dire abandonner, refuser de réaliser quelque chose dont on a envie mais qui ne nous serait pas nécessaire pour vivre ; serait une condition pour être libre 

sensations : La lecture à l'école est exigeante, elle est intensément active puisque le lecteur doit y lutter contre la tentation de se laisser emporter par le talent de l'auteur, garder une distance et maintenir son attention éveillée. Cette démarche peut cependant apporter beaucoup de plaisir. La lecture est un moyen de nous détendre, de nous décontracter. Cela nous donne l’opportunité d’oublier le monde réel qui est autour de nous pour nous plonger dans le monde imaginaire de la littérature. Il

que tu me procurais. J'y ai réfléchis tu sais, et si j'avais dû te donner un nom pour te qualifier ou un deuxième prénom, je t'aurais appelé Bonheur. Parce que c'est ce que tu étais, le bonheur en lui-même. Tu amenais en moi un sentiment de joie de vivre, de bien être que je n'avais certainement jamais connu auparavant. » ~ « On joue à pile ou face ? Pile t'es à moi, face, on recommence... » ~ « Je suppose que si mon absence ne change rien à ta vie, c'est que ma présence n'avait aucune importance

défense de la littérature » au chapitre XI qui a pour but de prouver la place de la littérature dans la société : « Nous ne lisons pas pour oublier la vie, au contraire, pour l’éclairer. Les livres nous aident à voir, à agir, à vivre. ». C’est-à-dire, est-ce-que nous lisons pour échapper, l’espace d’un instant, à nos vies ou au contraire pour mieux les vivre. Nous montrerons que la lecture permet de s’évader des problèmes quotidiens de la réalité grâce à des histoires toutes aussi fantaisistes les

La nature est quelqu'un de tout a fait responsable. Pour commencer il est logique de considérer que la nature est a respecter. Il ne faut pas oublier que ce dernier nous permet de vivre sur la terre, ne pas respecter la nature, c’est comme ne pas respecter l’Homme car elle permet à celui-ci d’exister. Cependant, le respect n’existe-t-il pas qu’envers les êtres qui vivent, qui pensent et même qui peuvent avoir du respect ? N’est-ce pas considérer la nature comme quelqu'un d'humaines que de la

facile de quitter son travailler pour un autre et de revenir quelques années après dans la même entreprise. Ceci n’est pas courant en France. L’Inde est soumise à une organisation du travail très particulière qui a une influence sur la manière de vivre des indiens, et plus particulièrement des travailleurs indiens. a. Incapacité à se projeter dans l’avenir En règle générale, les indiens ne savent pas se projeter sur du moyen ou long terme. Ils n’ont aucune vision du futur. La projection dans

tu vas me suivre » Prosper Mérimée veut faire comprendre par-là que le personnage est prés a tous oublier si sa bien aimé part avec lui dans un autre continent afin qu’ils puissent enfin vivre ensemble leur amour. « Je suis las de tuer tous tes amants ; c’est toi que je tuerai » ici l’auteur veut montrer que le personnage serais prêt à tuer les amants de Carmen mais aussi la tuer elle si il ne peut pas l’avoir, la passion du narrateur vire carrément a l’obsession ici. « Carmencita » le surnom qu’il

dans la vie humaine. Ce thème a longtemps inspiré tous les artistes que ce soit en peinture, en poésie ou encore dans la musique. Pour définir ce thème il faudrait séparer chaque terme et trouver pour chacun d’eux une définition. Pour l’émotion, on peut trouver : « trouble intense de l’affectivité, réaction immédiate, incontrôlée ou inadaptée à certaines impressions ou à certaines représentations. ». Le terme amoureuse a pour définition : « propre à l’amour, qui dénote de l’amour ». Cette émotion