Peut On être Heureux Sans être Libre

(17 octobre 1883 et mort le 23 septembre 1973) était psychanalyste et pédagogue. Dans sa jeunesse Neill connu quelques emplois divers puis, conseillé par son père dans son il devint institueur mais ce rendit compte que ce n’était pas ce qu’il souhait être. Le destin le forcera à accepter un poste de directeur d’école à Greta Green, en écosse. C’est là qu’il commence à réfléchir sur la pédagogie et qu’il écrit son premier livre intitulé Journal d’un instituteur de campagne dans lequel il commence sa

Tout d’abord, l’Homme est malheureux sur Terre. La mort de sa sœur, à fait prendre conscience à Auguste que le bonheur sur Terre n’existe pas : « Les hommes meurent et ils ne sont pas heureux. » (p.27). La mort et la souffrance représentent la fatalité de la condition humaine. Effectivement, l’Homme croit être heureux, mais cela ne dure jamais, il est donc impossible de connaitre le bonheur, puisque l’Homme est voué à souffrir au cours de sa vie. C’est ce constat qui rend la vie humaine absurde aux

par-dessus tout dans ce pays? Les gens veulent être heureux. […] Je veux être heureux […] Nous ne vivons que pour ça, non? Pour le plaisir, l’excitation? » (p.88) (L’idée de paix d’esprit est très importante pour le régime- ne pas répéter). Beatty, comme représentant du pouvoir utilise les verbes désirer (« désirons par-dessus tout ») et vivre (« ne vivons que pour ça ») afin de souligner l’importance du bonheur pour le peuple exploité. Le désir humain d’être heureux est naturel. Le bonheur n’est atteignable

penser, de se comporter en fonction de ce nous vivons (expériences), rencontrons (modèles). Chaque action peut être présentée comme un programme (de réussite, d’échec etc…). Ainsi, face à une situation identique, plusieurs personnes vont mettre en place des programmes différents, car personnels.  Tout programme peut être décodé pour être ensuite rendu plus performant ou adapté au bien-être, par exemple. Neuro : cette capacité à mettre en place des programmes personnels repose sur nos capacités

mépriser l'opinion des autres, se prouver qu'il est doué, qu'on le prenne en considération. | | Il n'aime pas | être obligé de patienter, prendre son temps, se remettre en cause, se sentir coincé, les larmes aux yeux et les grands sentiments. | | En amour | n'est capable de fidélité qu'avec ceux qu'il admire, dédain apparent des amplifications émotionnelles | | Son désir | être admiré, adulé, sans se sentir engagé, aime par-dessus tout qu'on l'écoute et tire profit de ses conseils. | |

Faut-il faire de sa vie une œuvre d’art? Il s’agit de faire de son vécue une œuvre qui est unique et qui provient d’une réflexion libre et contrairement à la technique une œuvre d’art n’a pas d’utilité. On peut se demander si faire de sa vie une œuvre d’art c’est faire de sa vie en construction, à l’état encore de reflexion une œuvre d’art ou bien de sa vie déjà remplie par des événements, ou l’on a déjà choisit comment vivre notre vie. Mais il faut d’abord se demander si il est possible pour

part, selon Descartes " par la sagesse on n'entend pas seulement la prudence dans les affaires, mais une parfaite connaissance de toutes les choses que l'homme peut savoir ", soit la sagesse ne s'applique pas uniquement par des gestes ou des actes mais elle nécessite également une connaissance. La sage est tranquille, heureux et se sent libre. Cette notion d'idéal, chose qui n'existe que dans la pensée, c'est également le but de toute une vie. Cet idéal n'existe pas, pourtant chacun d'entre nous

a) Hoe seul : heureux et bon b) Hoe en société : encore heureux et bon c) Hoe en société : Division du travail : Provisions : l’idée de la propriété privée : hoe méchant et malheureux, esclavage, guerres et domination : inégalités et aucune garantie des libertés et des droits : état civil : société civile : Contrat social d’association : République Libre (démocratique) Obéissance à la loi qui est l’expression de la volonté générale : Obéissance à la Raison : on est libre : « La soumission

dissert philo Etre heureux par définition, s’assimile à la quête du bonheur. Le bonheur, un état basé sur la longévité, un bon présage qui se perpétue au fils du temps, renvoie cependant à des enjeux individuels, collectifs, moraux, culturels et politiques. Nos actions, nos interventions peuvent modifier mais aussi changer la condition du bonheur. Celui-ci se dévoile tel qu’un tout absolu présenté comme un idéal durable avec un maximum de satisfaction mais aussi comme un bonheur réel, accessible

L’insatisfaction des citoyens d’une nation face à sa politique n’est pas un phénomène récent, et les politiques on souvent été accusés de ne pas remplir leurs fonctions puisque les citoyens ne se sentent pas heureux : les individus attendraient donc de la politique qu’elle leur apporte le bonheur. Ceci ne peut qu’inciter à se poser la question : doit-on faire du bonheur le fondement de la politique ? Par « bonheur », on entend ici la situation de satisfaction complète universellement recherchée dans laquelle