Peut On être Indifférent à La Beauté

Définitions : Désir : tendance consciente d’elle-même, dirigée vers une fin que l’on se représente. D’après son étymologie : latin desidare, « regretter l’absence de quelqu’un ou quelque chose », et de sidus, « étoile, astre », le désir renvoie au manque, et à un objet inatteignable. Bonheur : état de satisfaction complète, caractérisé par sa plénitude et sa stabilité. L’étymologie de « bonheur », composé de « bon » et « heur », terme lui-même dérivé du latin augurium, « augure, présage, chance » souligne

mal, a une place spécifique dans les Fleurs du mal : Il fait partie de la section Spleen et idéal, qui en annonce le plan en hystéron-protéron ; elle relève donc de l’Idéal, ce que corrobore le sujet des pièces précédentes (en alternance d’ailleurs avec des poèmes spleenétiques, comme l’Ennemi ou le Guignon, voire le poème le précédant : Le Masque, au vu de la distanciation: «Elle , beauté parfaite» en second hémistiche du v. 29, alors que notre texte l’interpelle directement…): La Beauté, l’Idéal

pourtant à ton coeur ( la confidence psychologique ne fait pas de doute, malgré la lucidité des mots je reste soucieuse de garder secret des détails que soigneusement j'offrirai à ton ouie...) Mon état d'âme est une forme originale de la passion, la plus profonde sans doute et moins accessible, je ne veux pas que tu sois frappé ou pénetré par un ennui, une lassitude ou un découragement indicible ou dire que la qualité lyrique de l'expression rend pour aussi dire contagieux le bien être essentiel

TEXTE 1 : →comment Montaigne parvient à convaincre son lecteur et comment plus largement il légitime sa propre réflexion. 1) L’éloge du Sauvage 2) Le blâme des nations européennes 3) De la relativité de la norme humaine Question possible d´entretien : Comment Montaigne montre-t-il l´humanité du sauvage dans cet extrait? La réponse s’organise en fonction des différents sens que l’on peut donner à ce mot, du plus évident au plus abstrait. Il est ainsi possible d’envisager une réponse

COMMUNICATION DE CLAUDINE GOTHOT-MERSCH À LA SÉANCE MENSUELLE DU 11 FÉVRIER 1995 O n sait que Leconte de Lisle était un éternel amoureux, depuis son adolescence, où, selon la bonne tradition, il faisait (dit-on) la cour à une petite cousine, jusqu’à sa vieillesse, qui le vit, à près de soixante-dix ans, s’éprendre encore d’une jeune fille (dont il avait aimé la mère vingt ans plus tôt) ; et il mourut dans les bras de sa dernière égérie, celle qui a signé Jean Dornis son livre de souvenirs

pratique (1788), signe la date de naissance véritable de l’esthétique moderne. Elle a été préparée par les philosophes anglais du XVIIIe siècle qui réfléchirent sur le goût, ses rapports à l’entendement humain et à la morale — Burke en particulier, mais aussi Hume, Gerard, Addison, Hutcheson, Alison, et Shaftesbury pour commencer — et en Allemagne, par Baumgarten. Mais c’est Kant qui le premier, et à mon avis pour toujours, a compris la structure du jugement esthétique, son profond paradoxe, voire son scandale

doc Critique de la faculté de juger – Analytique du beau (Kant, 1790) Deuxième partie : deuxième paragraphe Mode d’emploi : Ces pages sont à imprimer après que le texte ait été expliqué en classe. Pour plus de commodité, les paragraphes du livre ont été lignés, afin que vous repériez les passages expliqués * Acquis du premier paragraphe : On a déterminé ce qu’est un jugement de goût : Il informe sur le sujet qui contemple et non sur ce qui est contemplé. Il est émis lorsqu’on éprouve un

l’argent : Entrée en matière : « L’argent, qui possède la qualité de pouvoir tout acheter et de s’approprier tous les objets, est par conséquent l’objet dont la possession est la plus imminente. L’universalité de sa qualité fait la toute puissance de son être. » Marx. Un moyen facilitant l’échange économique : * Selon Simmel, L’échange suppose l’équivalence entre ce qui m’intéresse et ce qui intéresse autrui. Or, dans le cas du troc, l’équité de l’échange et la réciprocité de l’intérêt n’est pas toujours

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I )Émile Zola (à l'état civil Émile Édouard Charles Antoine Zola1) est un écrivain et journaliste français, né à Paris le 2 avril 1840 et mort dans la même ville le 29 septembre 1902. Il est fils d'un ingénieur italien naturalisé et d'une mère originaire de la Beauce. La famille s'installe à Aix-en-Provence et connaît, à la mort du père, de graves difficultés financières. En 1859, Émile Zola échoue par deux fois au baccalauréat. Ne voulant plus être à la charge de sa mère, il abandonne ses études